19. Isaac, un voisin assez étrange (TW)

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Cet imagine est assez spécial puisqu'il se passe en dehors de Beacon hills, suite au départ de notre Isaac adoré. Encore une fois je précise (et ce pour l'intégralité de mes imagines) je préfère mettre mon prénom (et le votre pour les commandes) plutôt que y/n ou t/p je trouve ça plus réaliste ;) voilà, bonne lecture. N'hésitez pas à jeter un coup d'oeil à mes autres fictions et à commenter, et voter cet imagine si il vous a plut ; )

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Je marchais dans la rues de cette grandes villes qu'est Paris. J'avais très froid. En effet j'avais dû rentrer à pied de mon travail parce-que les bus n'étaient pas passés à cause de la neige mais en ce mois de décembre, les rues étaient assez vivantes puisque les habitants faisaient leur dernier achats de Noël .

Avant de taper le code d'entrée et pénéter dans mon immeuble, je levais les yeux vers la lune qui me fascinait. Je m'étais toujours interrogé sur cette étrange force qu'elle exerçait sur moi et ceux de " mon espèce " si je pouvais dire.
Je tapotais finalement mes pieds sur le sol afin de décrocher la neige qui s'y était logée.
Je grimpais ensuite une à une les marches des escaliers pour arriver au 5e et dernier étage.
J'aurai pu prendre l'ascenseur en effet mais je détestais ça, je détestais cette sensation d'étouffement.

Avant de pousser la porte de mon appartement, je jetais un coup d'œil à celle de l'appartement voisin. Elle n'était même pas décoré, il n'y avait même pas une couronne.
Mais ce n'était pas le plus étrange puisque de nos jours, les gens décorent moins en moins leur habitation, ce que je trouve bien dommage.
Non, le plus étrange c'était que je la voyais très souvent fermé, trop souvent même.
J'avais vu mon voisin une seule fois, lorsqu'il avait emménagé.

Je me rappelle être restée là à le détailler pendant ce qui m'a semblé être une éternité. Il avait clairement dût me prendre pour une folle.
Mais ce qui m'avait vraiment marquée c'était son air renfermée, ses yeux vides et son odeur enivrante.
J'avais sentie quelque chose d'étrange que je ne savais décrypter.

Je trouvais cela dommage qu'il fête Noël seul parce-que je savais ce que ça faisait mais je ne pouvais pas l'inviter pour la simple et bonne raison que c'était la pleine lune et que je ne me contrôlais pas assez. Il ne serrait pas en sécurité.

Sentant les effets de la pleine lune qui commençaient à se faire sentir, j'attrapais de quoi m'attacher quand soudain, j'entendis un fracas suivie d'un grognement dans l'appartement voisin.
Je me precipitais vers ce dernier et tentais d'ouvrir la porte en vain.

L'image de mon voisin se faisant attaqué par un de mon espèce, un loup garou, me vint en tête et sans réfléchir j'enfonçais la porte.
Je fus stupéfaite de trouver un loup garou enchaîner.

Et si c'était un chasseur ? Songeais-je terrifiée.

Sur mes gardes, je pénétrais dans l'appartement à pas de loup, c'est le cas de le dire, et m'approchais doucement de la bête devant moi.

Je le regardais dans les yeux et me perdais quelques secondes dans leurs clartés puis je le reconnu. C'était lui. C'était mon voisin.

- tu... tu es comme moi ? Lui demandais-je peu sûre de moi.

Pour toute réponse il me grogna déçu.

OK. Quand je disais avoir du mal à me contrôler ce n'était rien comparaît à lui visiblement.
Je priais pour ne pas me transformer.
Je tentais une autre approche :

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