Ne me lâche pas (En pause)

Chapitre 1

Flash-back :
7 avril 2016

Mon réveil sonna, il afficha 7h.

Comme à mon habitude je le retardai et conclusion après la 5ième sonnerie je le regardai et je sursautai ; il était déjà 7h45.

Alors j'enfilai vite fait un t-shirt noir, un short en Jeans et des Adidas.

Look basique mais je m'en foutais.

Niveau maquillage je traçai un trait de liner, un peu de mascara et c'était bon.

Après mes cheveux : c'était et c'est toujours la galère chaque matin pour les coiffer.

La coiffure que j'ai le plus facile à faire c'est un chinion coiffé décoiffé. Donc, j'avais un élastique autour de mon poignet et je fîs mon chinion avec.

Je pris mon téléphone et j'envoya un message à Luna.

Luna on peut dire que c'est ma meilleure amie, on se complète bien.

Elle est mince avec cheveux longs bruns et de magnifique yeux bleus, ils sont bleus.

Je lui envoyai un message comme quoi je serai en retard. Elle me répondit 30 secondes après :

"T'inquiète pas vas ! J'ai l'habitude ! xD".

Et elle m'avait renvoyer un sms :

"De tout façon on t'attend à l'arrêt de bus avec Fanny"

Fanny c'est une autre amie. Je suis moins fusionnelle comparé à la relation que j'ai avec Luna mais elle est super sympa. C'est une petite brunette avec des lunettes et de beaux yeux bruns.

Je regardai l'heure sur mon téléphone et je vis 8h20.

Merde mon bus est à 30, j'allais le rater.

Je decendis les escaliers 4 à 4 et pris un biscuit, un jus D'orange très vite et je partis.

Je mis mes écouteurs pris les clefs de chez moi et fermai la porte.

Je sprintai pour pas rater mon bus, je pouvais déjà apercevoir Luna et Fanny au loin. Je m'arrêtai devant elles.

- Et bah tu en a pris du temps ! s'exclama Luna.

- Chut ! Tais toi !!

- Retardé ton réveil et encore sursauté parce que tu as vu que tu étais encore en retard, pas vrai ?

- Comment tu sais ?

- Je te connais par coeur Emy cherche pas.

- C'est vrai, dis-je en me grattant la tête.

- Je suis ta deuxième mère, je crois, elle rigola et je fis la même chose.

Le bus pointa le bout de son nez. L'heure d'aller en cour avait sonné.