- Pierre : Merci, vous m'avez enlevé une épine du pied
- Antonio : Pourquoi ? Je pensais que vous filiez le parfait amour
- Pierre : Non elle allume tous ceux qui passent dans son sillage, tu n'es pas le premier
- Gigi : Il faut qu'elle se fasse soignée, dans le fond je pense que c'est une gentille fille
- Pierre : Peut-être mais elle le sera avec un autre, en plus j'ai rencontré quelqu'un
- Antonio : Je comprends mieux
- Gigi : Je suis heureuse que cela se finisse ainsi, excuse-moi Pierre de dire cela mais pour moi c'est une délivrance
- Antonio : Suis-je alors pardonné et lavé de tout soupçons ?
- Gigi : Ah ma grande joie OUI ! Je t'aime tellement mon amour, dis-je en l'embrassant tendrement
- Antonio : Moi aussi je t'aime, comme un fou, dit-il en répondant à mon baiser
- Pierre : Euh ça va ? Je ne gêne pas ?
- Antonio : Désolé mec ! Et si on le prenait cet apéro ?
- Pierre Volontiers en plus il donne envie
- Gigi : Merci Pierre
Nous prenons donc l'apéritif tout en parlant de tout et de rien. Tout le monde est soulagé de l'issue de cette situation, mais quelque chose me dit que ce n'est pas fini, Nina est beaucoup trop instable pour qu'elle abandonne aussi facilement. Nous passons un très bon moment, puis Pierre prends congés en disant qu'il avait des choses à régler avec sa femme et qu'il devait rentrer.
Nous nous retrouvons tous les deux face à face ne disant rien, comme si nous étions intimidés et qu'on n'osait pas parler le premier. Je range les bouteilles et charge le lave-vaisselle en me demandant ce que je pouvais bien dire à Antonio.
- Gigi : Je suis heureuse que l'union du groupe n'ait rien à craindre
- Antonio : Oui moi aussi et puis cela m'aurait emmerdé de perdre un ami comme Pierre
- Gigi : Oui aussi tu as raison, je suis curieuse de connaitre sa nouvelle conquête
- Antonio : A mon avis il nous la présentera bientôt
- Gigi : On va se coucher ?
- Antonio : Oui j'ai quelque chose à rattraper dit-il mielleux
- Gigi : Ah bon ? Je ne vois pas quoi, dis-je taquine
- Antonio : Viens je vais te montrer, dit-il en me soulevant et me portant jusque dans la chambre
Il me dépose sur le lit et se met à me déshabiller doucement, je le déshabille à mon tour et une fois nus tous les deux nous nous allongeons et il commence alors à me caresser tout le long de mon corps, il commence par mes cuisses puis s'attarde sur ma hanche pour finir sur mon sein qu'il pétrit doucement en jouant avec le téton, je procurant des frissons le long de l'échine, je caresse son dos et remonte à ses épaules pour descendre vers son torse puis son ventre, alors qu'il m'embrasse ma main fini sur son sexe et je me mets à le caresser doucement, il pousse un gémissement rauque et ses yeux s'embrume, sa main se pose sur mon intimité et commence de longues et douces caresses m'excitant au plus haut point, ma respiration devient saccadée, il monte alors sur moi et présente son sexe à l'entrée du mien et d'un coup puissant il me pénètre me faisant crier de plaisir, il accélère le mouvement en passant ses mains sous mes fesses, j'enroule alors mes jambes autour de ses hanches tandis qu'il effectue de longs et lents vas et vient, je le rejoins avec des mouvements de hanches, je ferme les yeux et cambre mes reins pour mieux le recevoir, il accélère de plus en plus ses vas et vient en râlant de plaisir et alors que je suis emporté par une jouissance extrême, il jouis en moi en enfouissant son visage dans mon cou, il m'embrasse avec douceur tout en me caressant les seins me faisant gémir, je le regarde avec tendresse et lui dit
- Gigi : Je suis heureuse de ne pas te perdre
- Antonio : Tu ne me perdras jamais, je t'aime trop
- Gigi : Moi aussi je t'aime, murmurais-je
- Antonio : Tu n'es pas redevenu celle que tu étais et cela me plait
- Gigi : Pourquoi ? Tu ne m'aimais pas avant ?
- Antonio : Si bien sûr, mais tu étais coincée sur certaines choses
- Gigi : Et maintenant ? Je suis dévergondée ? (rire)
- Antonio : Tu te lâches plus, tu es devenue sexy et gourmande (rire), j'aime ça, finit-il de dire dans un murmure
- Gigi : Obsédé (rire)
- Antonio : C'est ta faute.... Tu m'excites
- Gigi : Et encore tu n'as rien vu, dis-je mystérieuse
- Antonio : Je ne demande qu'à voir, dit-il avec envie
- Gigi : Parlons sérieux.... Tu penses que c'est fini avec Nina ?
- Antonio : Je pense oui, elle a une épée de d'Damoclès sur la tête
- Gigi : Mouais ben moi je ne suis pas convaincue, elle est trop tarée
- Antonio : Restons sur nos gardes alors
- Gigi : C'est clair
Nous nous levons et allons prendre une douche puis nous nous recouchons dans les bras l'un de l'autre, nous nous laissons emporter par un sommeil réparateur.
Le lendemain matin, je me réveille la première, je le lève et enfile un tee-shirt puis descends à la cuisine préparer le petit-déjeuner. Je fais des tartines grillées et du café bien fort, je presse aussi des oranges pour avoir du jus bien frais. Antonio entre dans la cuisine et se colle derrière moi, sa main remonte sur ma hanche, me donnant des frissons de désir. Je me retourne vers lui et me colle à lui, je sens son érection contre moi, il me soulève et m'assois sur le plan de travail, il écarte mes jambes et se place entre elles, il enlève mon tee-shirt et se met à sucer mes seins, je passe mes doigts dans ses cheveux le tenant contre moi, il baisse son boxer et me prends dans ses bras, il me pénètre alors avec violence, m'arrachant un petit cri de surprise et de plaisir, il me fais monter et descendre en me plaquant contre le mur, je m'agrippe à ses épaules, il accélère le mouvement et éjacule en moi alors que je suis submergée par un orgasme me faisant trembler par son intensité. Il me repose au sol mais me garde contre lui, je passe mes bras autour de son cou et lui donne un doux baiser.
- Gigi : Bonjour à toi beau gosse dis-je avec humour et en remettant mon tee-shirt
- Antonio : Bonjour à toi beauté, répondit-il
- Gigi : Une petite envie matinale ?
- Antonio : Non une grosse envie, quand je me suis réveillé tu n'étais plus là
- Gigi : Eh non, je te faisais un bon petit-déjeuner
- Antonio : C'est de toi que j'ai envie, mais merci dit-il en souriant
- Gigi : Tu es insatiable.... Mais j'aime ça !
- Antonio : Et tu n'as pas tout vu toi non plus
- Gigi : Comme toi je ne demande qu'à voir (rire)
- Antonio : Je te promets que tu verras, je vais te faire ta fête ! dit-il en riant
- Gigi : Hum il me tarde d'y être !
Nous prenons notre petit-déjeuner dans la bonne humeur, puis nous remontons prendre une douche et nous habiller, je décide de mettre une jupe crayon noir avec un chemisier blanc et des escarpins, quand Antonio me voit, il siffle en signe d'approbation
- Antonio : T'es sexy comme ça
- Gigi : Ce n'est pas une raison pour me déshabiller... du moins pas tout de suite (rire)
- Antonio : Tu n'y échapperas pas crois moi
- Gigi : Je l'espère bien, dis-je en déposant un baiser sur ses lèvres.
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Mémories
RomanceVotre mari va venir vous voir ! Ces mots résonnent encore dans ma tête. Mon mari ? Quel mari ? Et puis qui suis-je ? Et où suis-je ? J'ai beau me concentrer, c'est le grand vide dans ma mémoire. C'est le brouillard complet, je n'ai pas une seule bri...