Je m'habille rapidement et récupère mes bagages puis je file vers les ascenseurs pour monter. Je suis devant sa chambre et je suis prise de doute, un nœud se forme dans mon estomac, je souffle un bon coup et je frappe. La porte s'ouvre...
- Gigi : Surprise !!
- Antonio : Gigi ? Qu'est-ce que tu fous là ?
- Gigi : Je te fais une surprise, tu n'es pas content de me voir
- Antonio : Si bien sûr mais je t'avais dit de rester à la maison
- Gigi : Tu me laisses rentrer ?
- Antonio : Oui, oui bien sûr rentre
- Gigi : Tu n'as pas l'air heureux de me voir
- Antonio : Je suis surpris c'est tout mais bien sûr que je suis heureux, comment as-tu fait ?
- Gigi : J'ai pris un avion privé hier soir tout simplement
- Antonio : Hum viens là toi, dit-il en me prenant dans ses bras
Je passe mes bras derrière sa nuque et lui offre mes lèvres qu'il s'empresse de prendre, il me déshabille avec empressement et je fais de même, sans s'arrêter de nous embrasser nous avançons vers le lit et montons dessus, sa main se glisse entre mes cuisses et caresse mon intimité doucement, je gémis de plaisir alors que je prends son sexe dans ma main et commence des vas et vient lentement, nous n'arrivons pas à nous abandonner à de plus longs préliminaires, il m'allonge et monte sur moi et me pénètre avec douceur en enfouissant son visage dans mon cou, je caresse son dos et ses fesses le plaquant contre moi, il accélère alors la cadence de ses mouvements de plus en plus vite, j'enroule mes jambes autour de sa taille afin de mieux le sentir en moi, ses coups de reins deviennent de plus en plus puissants c'est alors qu'il éjacule en moi mais continuant jusqu'à ce que j'atteigne l'orgasme, un orgasme qui me fais crier par son intensité.
- Antonio : Putain que c'est bon ! J'avais trop envie de toi
- Gigi : Moi aussi c'est une des raisons que je ne pouvais rester loin de toi
- Antonio : Comment va-t-on faire pour ta sécurité ?
- Gigi : Je vais ouvrir un peu plus les yeux et faire confiance à personne
- Antonio : Cela ne me rassure pas plus que ça
- Gigi : De toute façon nous n'avons pas beaucoup d'option
- Antonio : Je sais, promet moi de faire attention, je tiens trop à toi
- Gigi : Je ferais gaffe promis
Soudain nous sommes interrompu par des coups donner à la porte, nous nous regardons puis je me lève m'enroule dans une serviette et je vais ouvrir
- Nina : Oh ! T'es revenu toi ? dit-elle surprise
- Gigi : Eh oui ! Heureuse de te revoir moi aussi, dis-je moqueuse
- Nina : Mouais c'est ça
- Gigi : Qu'est-ce que tu voulais ?
- Nina : Euh non rien, c'est pas grave, laisse tomber
- Gigi : Mais non, ne soit pas gênée nous avons fini, dis-je railleuse
- Nina : Je t'ai dit de laisser tomber, crie-t-elle
Antonio se place à mes côtés, lui aussi vêtu d'une serviette autour des hanches
- Antonio : Y'a un souci ?
- Nina : Euh non pas du tout, je me suis trompée de chambre désolée, dit-elle gênée
- Antonio : Ce n'est pas grave, ça arrive
- Gigi : Mais oui ça arrive, enchainais-je avec un sourire moqueur
Et nous refermons la porte et éclatons de rire
- Gigi : Elle faisait une drôle de tête dis donc !
- Antonio : Elle a cru nous déranger je pense
- Gigi : En tout cas elle n'était pas heureuse de voir
- Antonio : Tu ne vas pas recommencer
- Gigi : Je dis ça mais je ne dis rien, dis-je en zippant ma bouche avec mes doigts
- Antonio : Je t'ai montré combien tu m'as manqué, dit-il d'un air coquin
- Gigi : Ouh ! Je te vois venir toi... File à la douche plutôt
- Antonio : Ok si tu y viens avec moi
- Gigi : C'est demandé si gentiment ! (rire)
Nous allons donc ensemble prendre une douche qui ne se limite pas à une simple douche, nous refaisons l'amour avec tendresse, il me plaque contre le carrelage et se colle à moi tout en montant une de mes jambes sur sa hanche, il caresse ma poitrine tout en m'embrassant, je m'accroche à ses épaules et monte ma deuxième jambe l'enserrant ainsi contre moi, il ne lui en faut pas plus pour me prendre avec douceur, dos au mur je reçois ses coups de reins intense qui me font gémir et griffer son dos, il jouis alors en venant au plus profond de moi, en même temps que je parviens à une jouissance extrême, il me fais redescendre et nous finissons notre douche.
Nous retournons dans la chambre et nous nous allongeons sur le lit pour récupérer un peu de force, car il doit être en forme pour le concert ce soir, et moi je n'ai pas beaucoup dormi cette nuit. Nous nous assoupissons quelques heures.
C'est encore des coups portés à la porte qui nous réveille, c'est Antonio qui cette fois va ouvrir. C'est Sandro qui voulait savoir si on voulait aller au resto avec le concert, mais mon homme décline l'invitation, voulant rester avec moi.
- Gigi : Waouh ! Je vais finir par croire que tu es amoureux dis donc (rire)
- Antonio : Mais bien sûr que je le suis ! Tu en doute ?
- Gigi : Non je le sais, je te taquine c'est tout
- Antonio : Tu préfères aller manger avec les autres ?
- Gigi : Cela serait plus sympa non ?
- Antonio : Ok je les rappelle pour qu'ils nous attendent
En fait ce n'est pas le fait d'aller manger avec le groupe qui me tenait à cœur, non c'était de voir la tête de Nina, la si pétillante Nina quand je suis là. Bien sûr j'avais raison, quand nous sommes arrivés elle à commencer à tirer une gueule de six pieds de longs.
- Gigi : Tu as vu combien Nina reflète la joie, dis-je à l'oreille d'Antonio
Pour toute réponse j'ai eu un hochement de tête et il passe son bras autour de ma taille, me rapprochant de lui. Tout le monde, ou presque, est heureux de me revoir en bonne santé et nous passons un agréable moment, sans heurts ni dispute. Nous allons à la salle de concert afin de tout installés et faire quelques répétitions ensuite c'est direction l'hôtel pour se reposer un peu avant le grand show.
PDV ANTONIO
Gigi a raison, le comportement de Nina est quand mêmebizarre. Elle n'était pas la même quand ma femme était en convalescence, je necomprends pas ce qu'il se passe entre elles. Bien sûr j'ai une idée mais je nepense pas que cela soit la raison ou si c'est ça alors le cas de Nina est graveet il faudra que je m'en mêle avant que les choses tournent au drame.
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Mémories
RomanceVotre mari va venir vous voir ! Ces mots résonnent encore dans ma tête. Mon mari ? Quel mari ? Et puis qui suis-je ? Et où suis-je ? J'ai beau me concentrer, c'est le grand vide dans ma mémoire. C'est le brouillard complet, je n'ai pas une seule bri...