Je rentre chez moi et vois qu'Antonio n'est pas encore rentré, je m'installe sur le canapé et l'appelle pour lui expliquer mon entretien avec Nina, il n'est pas très surpris même si certaine chose le mette en colère, comme le faire passer pour l'investigateur de tout ceci. Il espère lui aussi que tout est terminé et qu'on peut passer à autre chose. Je raccroche et m'affaire à préparer le diner de ce soir. Soyons positif et disons-nous que c'est fini, et pour cela j'envisage un repas gourmand aux chandelles en tête à tête.
Pendant que cela cuit je monte à l'étage prendre une douche et m'habiller d'une longue robe blanche moulante en dentelle très échancré dans le dos et fendue sur une jambe, je me maquille légèrement, brosse mes cheveux et m'enveloppe d'une brume de parfum. Je redescends et dresse la table puis j'attends le retour d'Antonio.
Il fait son apparition une demi-heure plus tard et reste pantois lorsqu'il me voit, ses yeux s'allument de millions de flammes
- Antonio : Comme tu es sexy comme ça !
- Gigi : Ça te plait ?
- Antonio : Me plais ? Le mot est faible, t'es de la bombe !
- Gigi : Arrête tu vas me faire rougir, dis-je le rouge au joue
- Antonio : Des chandelles ? dit-il en regardant la table
- Gigi : Le grand jeu quoi, dis-je en souriant
- Antonio : Et que me vaut tout ça ? Sans que je m'en plaigne bien sûr
- Gigi : En espérant que ce soit enfin la paix
- Antonio : Pour des paix comme ça je suis prêt à faire la guerre souvent !
- Gigi : Le contraire m'aurais étonné, dis-je en m'avançant vers lui
- Antonio : Si tu comptes manger avant évite de t'approcher de trop près
- Gigi : Sinon ?
- Antonio : Sinon je ne réponds plus de rien et je te saute dessus
- Gigi : Je prends le risque, dis-je en me collant à lui
- Antonio : J'ai envie de te prendre là maintenant toute suite murmure-t-il
- Gigi : Chiche !
Il n'en demande pas plus pour me soulever et me déposer sur le canapé, il s'allonge sur moi et m'embrassement sauvagement tandis que ses mains parcours mon corps avidement, il glisse sa main sous ma robe et remonte le long de ma cuisse, il attrape mon string qui fais glisser le long de mes jambes puis il déboutonne son jeans et me pénètre sans passer par les préliminaires, il donne de grand coups de reins puis ses vas et vient deviennent plus doux, plus longs me faisant gémir de plaisir, sa bouche m'embrasse avec tendresse, il passe sa main sous mes reins et me colle un peu plus à lui, je le sens au fond de moi, il accélère à nouveau ses mouvements et éjacule en moi au moment où je suis submergée par une vague de jouissance intense, il enfouis son visage sans le creux de mon cou essayant de reprendre son souffle, puis il me regarde avec intensité
- Antonio : Je veux un enfant de toi murmure-t-il
- Gigi : Quoi ?
- Antonio : Tu as très bien entendu, je veux faire une famille avec toi
- Gigi : Mais tu n'as jamais voulu, pourquoi ce changement ?
- Antonio : J'ai réalisé mon erreur, et je veux que nous en fassions un avant qu'il soit trop tard
- Gigi : Je t'aime mon amour, j'ai toujours voulu porter ton enfant
- Antonio : Il va falloir qu'on fasse l'amour souvent tu sais dit-il en souriant
- Gigi : Je vois que tu ne perds pas le nord ! Demande acceptée !
- Antonio : Ça creuse tout ça, quand est-ce qu'on mange ?
- Gigi : Toi alors ! Allez, à table !
Nous nous levons du canapé et faisons honneur au repas que j'ai préparé, nous nous installons ensuite dans le salon avec un verre de digestif.
- Antonio : Alors que penses que Nina va nous laisser tranquille ?
- Gigi : Je n'en suis pas certain mais je crois qu'elle a compris que c'était peine perdue
- Antonio : Dire qu'elle a voulu te faire croire que c'était moi qui voulait ta mort, j'en reviens toujours pas
- Gigi : Si je ne t'aimais pas aussi fort que je t'aime j'aurais pu croire à son histoire
- Antonio : C'est du n'importe quoi, je donnerai ma vie pour toi au contraire !
- Gigi : Mon amour ! dis-je attendrie
- Antonio : La preuve que je t'aime... Je suis prêt à te partager avec un enfant plutôt que de te garder pour moi, dit-il en me faisant un clin d'œil
- Gigi : Qu'est-ce qu'il ne faut pas entendre !
- Antonio : Bien sûr ! Par exemple tes seins sont à moi mais c'est lui qui va les sucer
- Gigi : Ha ha ha ! Toi alors tu n'en perds pas une !
- Antonio : Non, pas une, dit-il en me soulevant
Puis il me jeta par-dessus son épaule et alors que je lui martèle le dos de mes poings il monte à l'étage et me dépose sur le lit
- Gigi : T'es complètement fou !
- Antonio : Oui, fou de toi !
Il me déshabille lentement puis me tire parle la main et m'entraine dans la salle de bain, il fait couler la douche et se déshabille à son tour et me pousse délicatement sous le jet d'eau puis il se met derrière moi et tout en me collant il m'embrasse tendrement dans le cou, malgré l'eau chaude je suis parcourue de frissons, je glisse ma main dans mon dos et attrape son sexe que je caresse doucement, il gémis tout contre mon oreille, il me mordille le lobe et me murmure : penche-toi, m'appuyant sur le carrelage c'est ce que je fais, il présente son sexe à l'entrée du mien et avec une infinie douceur il entre en moi et commence de long et lents vas et vient, il me tient d'une main par la hanche et de l'autre un sein puis il met ses deux mains sur mes hanches et accélère le mouvement avec des à-coups plus puissant me faisant crier, il va de plus en plus vite en poussant des râle de plaisir, mes gémissements se mêlent aux siens et alors qu'il éjacule en moi, je joins ma jouissance à la sienne, il se retire de moi et me retourne vers lui, il me plaque le dos contre le carrelage, tiens mes bras par-dessus ma tête et m'embrasse avec fougue, puis il pose son front contre le mien
- Antonio : Tu n'imagines même pas l'effet que tu me fais, susurre-t-il
- Gigi : Si si j'imagine très bien, dis-je le souffle court
- Antonio : Ton corps était sage avant l'accident, à présent il brûle
- Gigi : Est-ce une plainte ?
- Antonio : Loin de là, nous avons pleins de choses à rattraper au contraire
- Gigi : Hum J'aime quand tu me parles comme ça !
Nous finissons de nous doucher puis j'enfile une nuisette et lui un boxer puis nous redescendons au salon. Je nous sers un whisky-coca avec deux glaçons et nous nous installons sur le canapé, lui semi allongé et moi entre ses jambes. Il m'entoure de ses bras et m'embrasse dans le cou.
PDV ANTONIO
Elle me rend dingue ! Je ne l'ai jamais connucomme ça, cela me donne l'impression d'être avec une autre femme. Je l'aimetant ! J'ai envie de lui faire l'amour à longueur de journée. La caresser,la faire vibrer, lui donne du plaisir. Je veux faire un enfant avec elle, j'aienvie de construire quelque chose que rien ni personne ne pourra détruire.
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Mémories
RomantikVotre mari va venir vous voir ! Ces mots résonnent encore dans ma tête. Mon mari ? Quel mari ? Et puis qui suis-je ? Et où suis-je ? J'ai beau me concentrer, c'est le grand vide dans ma mémoire. C'est le brouillard complet, je n'ai pas une seule bri...