L'âme soeur de l'alpha

Chapitre 44

Il tomba ensuite juste à côté de moi repu et fatigué a cause de notre récente intense activité sexuel. J'allais me pelotonner contre lui et il me serra fort dans ses bras, par curiosité, je regardais au passage la morsure que m'avais fait Derek.

Pour l'instant c'était plusieurs petits trous ovales d'où perlait quelques petites gouttes de sang qui commençait à sécher.

Puis quand nous fûmes redescendu de nos orgasmes il partis rapidement dans la salle de bain me laissant seul, et frissonnante car je ne sentais plus son corps chaud contre le mien.

Il en ressortit un peu après avec un gant humide et tiède. Il s'assit à côté de moi, toujours avec son gant qu'il posa sur mon sexe. C'est alors que je lui dit d'une voix tendue et paniquée.

- Qu'est ce que tu fais ?! Dis-je en essayant d'éloigner sa main gântée de mon sexe.

Il appuya sur mon buste, pas assez fort pour me faire mal, mais assez pour m'empêcher de bouger. Il me répondit alors calmement.

- J'enlève le sang que tu as en bas .

Je bougais encore plus, rouge comme une tomate je gêne.

- Arrête ! C'est gentil mes je peux le faire toute seul !

- Arrête de bouger. Dit-il en utilisant sa voix d'Alpha.

Je me tus aussitôt et j'arrêtais de bouger, légèrement triste et vexée qu'il ai utiliser son pouvoir sur moi. Tout en enlevant le sang de mon sexe, comme s'il avait remarqué qu'il m'avais un peu blessé, il dit gentiment pour adoucir son précédent ordre.

- Tu n'as pas à être gênée. Je viens de te faire l'amour et j'ai exploré chaque courbe de ton corps. Donc tu n'a plus besoin d'être timide ...

J'étais mieux maintenant qu'il m'avais dit tout ça.

Quand il eu finis il retourna dans la salle et il en sortit avec un petit ciseaux de premier soin.

Je regardais le ciseau et je lui demandais.

- Qu'est que tu fais ?

Il s'assit sur lit et il me souleva pour me mettre à califourchon sur lui. Assise de cette façon, je pouvais sentir son sexe, à présent mou, sous mes fesses. Mais dès que je fus à califourchon sur lui, il recommença à durcir.

- Nous n'avons pas encore finis le lien. Je t'ai marqué, certes, mais il faut encore que tu boive mon sang.

- Mais ... si je fais ça tu ne vas pas avoir mal ?!

Il me souris, écarta tendrement quelques mèches de cheveux de mon visage, embrassa chastement mes lèvres, et il me dit d'une voix rauque, sensuel et virile.

- Non, au contraire ... tu vas me faire tellement bien que j'aurais sans doute une nouvelle érection de folie, et je serais prêt pour un second round ... si tu vois ce que je veux dire ...

Je devins toute rouge.

- D'a ... d'accord.

Alors à l'aide de son petit ciseau il se fit une entaille au niveau de la nuque, et son sang commença à couler de cette dernière.

- Bois vite avant que l'entaille ne se referme.

Je plongeais alors ma tête dans son cou, et je posais mes lèvres sur la coupure de sa nuque. J'aspirais alors le sang et au lieu de me dégoûter comme je l'aurai pensée, ça m'excitais plus qu'autre chose, en référence à la moiteur de mon sexe ... Je léchais, j'aspirais, je suçais sans m'arrêter une seule seconde le plaisir me submergeant à chaque goûte de ce liquide rouge et âpre que j'avalais ...