Chapitre 43

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/!\ Attention : ce chapitre contient des passages à caractères sexuels pouvant choquer les plus jeune et les âmes sensibles. Je suis responsable de ce que j'écris et non de ce que vous lisez.
Sur ceux, bonne lecture !

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Il m'embrassait langoureusement et aucun minuscule centimètres ne nous séparaient. J'étais littéralement plaquée contre lui, au bout de quelques minutes il se mit debout mais il ne me lâcha pas pour autant.

Je me débattais avec les boutons de sa chemise, pour tenter de la lui enlever, mais je n'y arrivais pas car je n'avais pas l'habitude. Derek le remarqua et au lieu de m'aider à défaire les boutons de sa chemise, il l'arracha carrément en tirant fort dessus. Tout en l'embrassant, je n'ai pu m'empêcher de ricaner en voyant à quel point il était impatient, au point d'en arracher ses vêtements.

Plus le temps défilait plus le baiser devenait torride. Sa langue jouait, soumettait, taquinait, et caressait la mienne par intervalles et sans repos ...

Il suça ma lèvre inférieure se qui me fis gémir. Derek répondit à mon gémissement par un grognement sauvage et bestiale, comme si c'était son loup qui avait émis ce bruit et non lui. Il murmura ensuite contre mes lèvres et entre deux baisers.

- On n'est ... pas ... à part ... égal !

- Comment ... ça ?

Ce n'était pas évident de se parler alors qu'on s'embrassait, car à chaque fois nous étions coupés par un bisous.

- Pourquoi ... je suis ... le seul à qui ... il manque ... des vêtements ?!

Pour toute réponse je gloussais contre sa bouche. Et alors que nous nous embrassions et qu'il se débattait avec la fermeture éclair de ma robe, je tentais tant bien que mal de détacher la boucle de ceinture de son pantalon.

Quand il eu finis d'ouvrir ma robe, il fit glisser les bretelles de mes épaules, et il laissa la robe tomber le long de mon corps. Puis il s'écarta de moi et il me contempla. Comme je savais ce que je voulais qu'il se passe, j'avais enfilée, en début de soirée, les sous vêtements osés que nous avions achetés lui et moi au centre commercial, la dernière fois que nous y étions allés. La lingerie que j'avais enfilée se résumait en un ensemble en cuire rouge, avec de la dentelle noire, et quelques fausses pierres argentées ça et là. Et je devait avouer qu'à certains moments de la soirée ses sous vêtements s'étaient montrés particulièrement inconfortable, à tel point que j'avais eus envie de les enlever.

Mais malgré tout j'étais contente d'avoir souffert un peu car j'étais grandement récompensée par la réaction de Derek. Il affichait un regard prédateur et sauvage, tout en se mordillant la lèvre inférieure. Une autre preuve de son excitation était visible à son entre jambe qui ne cessait de gonfler, me faisant appréhender.

- ... Tu est incroyablement splendide ... et sexy ! Dit-il, la voix devenu beaucoup plus rauque à cause du désir.

Il m'attira rapidement contre lui dans un geste possessif, et il s'empara avidement de mes lèvres. Et alors qu'il m'embrassait toujours je détachais avec difficulté la ceinture de son jean. Mais avant que je n'ai pûs faire glisser son pantalon le long de ses jambes, il attrapa la totalité de ma chevelure qu'il enroula autour de sa main droite. Puis il tira légèrement dessus, sans me faire mal, pour me faire incliner la tête en arrière, afin d'exposer mon cou à ses lèvres.

Il sussota et mordilla ensuite doucement la peau tendre de mon cou. Il partis de ma clavicule, remonta mon cou en le léchant, et il finis sa course juste en dessous de mon oreille, dont il suça d'ailleurs le lobe.

L'âme soeur de l'alphaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant