Chapitre 19

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1 heure plus tard :

Derek avait était soigner par Sofia et il était à présent allongé dans un lit pour reprendre des forces . Moi , j'étais à son chevet à attendre impatiemment qu'il se réveil. En attendant je me mis à réfléchir sur tout ce qui c'était passé ces derniers temps. Si Derek était dans cette état c'était de ma faute ... S'il ne m'avais pas connu il n'aurait jamais dû se battre contre un vampire ... Mais hormis cette sangsue quelque chose  d'autre me perturbais. À chaque fois que j'étais à ses côtés de lui je me sentais toute chose ... Par exemple quand il me regardait intensément je rougissais bêtement, ou quand il me parlait de sa belle voix rauque et que mon corps tout entier vibrait. Mais le plus perturbant, était qu'à chaque fois qu'il me touchait, les battements de mon coeur devenaient effrénés et une étrange boule de chaleur venait se former dans mon bas ventre. Quels étaient ses émotions ? Qu'es que je ressentais lorsque j'étais auprès de lui ? Et c'est sur ses questions sans réponses qu'il ouvrit faiblement les yeux .

Quand je vis qu'il était complètement réveillé je poussais un soupir de soulagement, et je posa doucement ma tête contre son torse . Puis des larmes coulèrent doucement le long de mes joues ... Il mis alors sa main sur ma tête qu'il commença à caressé tendrement puis il me demanda d'une voix douce .

- Qu'es qu'il t'arrive, trésor ?

Je lui répondis d'une voix en raillée par les pleurs .

- J'ai eu ... peur ... pour toi . Tout ... tout ça c'est ... de ma ... faute !

Il se redressa doucement à fin d'être assis sur le lit, puis il me pris dans ses bras où il me sera fort sans pour autant me faire mal . Puis il me murmura à l'oreille.

- Non trésor ... Je t'interdit de dire ça. Ce n'est pas de ta faute . Je l'est fais parce que je voulais te protéger. Je n'était pas obligé de le faire . Je le voulais juste, parce que je ...

Je me redressais et je le regardais fixement de mes yeux rouge et gonflés.

- Parce que tu quoi ?

- P ... parce ... parce que je suis ... protecteur !

Sans que ne sache trop pourquoi je fus dessus de cette réponse ... Il poussa alors les couvertures de son corps et il se leva . Je me précipitais vers lui et essayais de le faire se rasseoir .

- Tu ne doit pas te mettre debout ! Tu viens à peine de te réveiller !

- Chérie ! Dois je te rappeler que je suis un loup garou et que par conséquent je guéris dix fois plus vite qu'un homme ordinaire ?

Je fus vraiment troublée par le surnom qu'il venait de me donner " chérie " c'était la première fois qu'il l'utilisait avec moi , et je dois avouer que sa me plaisais énormément ... Peut être même un peu trop ... Ma gêne fût accentué lorsque je remarquais qu'il ne portais qu'un jogging, et que toute sa splendide musculature au dessus de son bassin était exposée à mes yeux gourmand et avide ...

- Tu est trop mignonne ! Tu est toute rouge .

Je me rendis compte qu'en effet mes joues étaient fortement chaude . Il me planta un rapide baisers sur la joues . Et il me dit :

- Si tu me cherche je serais dans mon bureau donc n'hésite pas .

Et il sortis rapidement de la chambre . Au bout de quelques minutes je décidais d'aller prendre une douche bien chaude , histoire de faire redescendre la pression que j'avais accumulée tout au long de la journée. Quand , par la suite , je fus propre sèche et détendue, je m'habillais d'un legging noir et d'un long et ample tee-shirt bleu azur, qui reprenait exactement la même couleur que les yeux de Derek . Je me rappelais subitement que Derek m'avait montré une bibliothèque à mon arrivée, je décidais donc d'aller voir si je ne trouverais pas un livre qui me plairais, car après tout se que j'aimais le plus après le dessins était la lecture . J'étais surtout une très grande fan de la littérature française. La façon poétique et cru de la version du monde que les écrivains couchaient sur papier me fascinais. C'était comme découvrir une nouvelle façon de penser à chaque ligne , et je me perdais très facilement pendant plusieurs heures dans ses lectures enrichissantes . Une fois dans la bibliothèque je parcouru plusieurs rangée de long en large des yeux pour enfin trouver mon bonheur . Les fleurs du mal de Charles Baudelaire . J'avais déjà lu ce livre une bonne dizaine de fois sans jamais m'en lasser, voulant entreprendre ma lecture je m'assis sur un gros fauteuil marron confortable près de la cheminée dans laquel un doux feu crépitait .

Plusieurs heures plus tard :

J'avais était tellement absorbée par ma lecture que je n'avais pas fais attention au temps qui défilait. Ce fut seulement lorsque de grandes main se posèrent sur mes épaule que je relevais le nez de mon livre .

- Que lis tu ?

Je reconnu immédiatement qui étaient le propriétaire de cette voix, car après tout c'était le possesseur de cette même voix qui était la cause de mes tourments ces derniers temps ...

- Les fleurs du mal , c'est un recueil de poèmes mais le livre ne parle justement pas du ...

Aussitôt un beau rire rauque sortit de sa gorge .

- Pourquoi tu ris ? Si ce n'est pas ton style ce n'est tout de même pas la peine de te moquer .

Voyant que je boudait il se ressaisit rapidement et il vint s'asseoir sur un des accoudoirs du fauteuil dans lequel j'étais assise .

- Non tu te trompe je ne me moque pas de toi c'est juste que tu m'explique de quoi parle les livres comme si je ne savais pas de quoi il retournait, alors que moi aussi je les est tous lus .

Je regardais l'immense bibliothèque ou des centaines de livres étaient proprement rangés, et je ne pûs m'empêcher de le regarder les yeux écartés par la surprise .

- Tu ... tu a lus tout les livres dans cette pièce !?

Il rigola à l'intonation de ma voix et il me dit avec un sourire.

- Bien sûr que oui . À quoi ça sert d'avoir des livres si ce n'est pas pour les lire . Pourquoi ? Ça t'étonne ?

- Désolée mais oui . Je ne te pensais pas intellectuel.

Il me souleva et il me déposa sur ses genoux puis il me parla d'une voix basse et intime tout en me regardant dans les yeux malicieusement .

- Il y a plein de chose que je sais faire et qui t'étonnerait mais que tu ignore .

Puis il approcha sa tête de mon cou ou il déposa une pluie de baisers et il vint tendrement me sussoter le lobe de l'oreille ce qui me fis lâcher un petit gémissement .

- Tu est ... si sensible ...

Il trouva alors mon point faible qui était ma clavicule je lachais aussitôt un second gémissement. Alors voyant que c'était l'endroit le plus sensible de mon coup, il commença par le lécher pour ensuite le suçer et finir par le mordiller. Pendant ce temps je m'accrochais désespérément à sa tête de peur de tomber dans l'abîme du plaisir, tout en tirant délicatement sur son épaisse et douce chevelure noir corbeau dans laquelle mes mains jouaient et se perdaient ... Au bout de quelques secondes quand le plaisir fût trop grand je gémis son nom .

- De ... Derek ...

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Et voilà pour le chapitre 19 n'oubliez pas de voter et de commenter et à bientôt.

KISS KISS mes petits chimpanzés choutés au baobab périmé ^^ !

L'âme soeur de l'alphaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant