Cela fait maintenant un mois que nous vivons ensemble Derek et moi. Nous nous entendons à merveille, c'est encore mieux que si nous étions sur la même longueur d'ondes, on se comprends d'un seul regard en fait on est connecté. On devine tout l'un de l'autre avec aisance, et en plus de notre merveilleuse entente émotionnelle, nos béats sexuels sont toujours aussi endiablés comme si le nous faisions pour la première fois.À l'heure actuelle Derek était partit s'entraîner au combat avec ses hommes alors que j'étais restée à la maison. Ses derniers temps, le matin, je me sentais étrangement barbouillée et il m'arrivait souvent dallée vomir ... Mais je n'en avais pas parlée à Derek de peur de l'inquiéter.
J'étais toujours dans mon lit en train de somnoler, il devais être dans les alentours de 10 h 00 mais j'étais épuisée à cause de Derek qui m'avait fait faire du sport intense toute la nuit ... Par conséquent, je préfèrais rester enfouis bien au chaud sous mes couvertures comme une marmotte.
La porte s'ouvrit doucement et je vis Derek entrer complètement nu et couvert de sueur ... Qu'est ce qu'il pouvait être sexy ! Je lui souris et je m'étirais doucement, savourant les picotis qui se repandaient dans mon corps à ce mouvement. Il s'approcha, embrassa doucement mon front, et se dirigea vers la salle de bain où il entra pour prendre une douche.
Je convenu avec moi même que je me leverais quand il serait sortit de la douche, me laissant ainsi une dizaine de minutes de répit. Quelques minutes plus tard la porte s'ouvrit doucement et Derek sortis. Son corps était sec, en revanche ses cheveux était humides et il avait une serviette noué autour de la taille de façon négligemment érotique.
Il alla devant l'armoire et il se mit dos à moi, puis il laissa tomber sa serviette, me donnant une vue imprenable sur son postérieure et ses jambes musclées. Il prit un boxer noir qu'il enfila rapidement puis il s'approcha de moi. Il s'assit sur le rebord du lit, près de moi, et tout en me caressant délicatement le front il me dit.
- Bonjour mon amour ... Bien dormis ?
- Oui. Dis-je d'une petite voix enrouée par le sommeil. Et toi ?
- Très bien. Tu viens ? On vas aller déjeuner.
Je m'étirais un énième fois.
- D'accord. Je me lève.
Il s'allongea sur le lit et il me regarda ma lever rapidement. Peut être un peu trop rapidement car un nausée me prit d'assaut, et c'est la main sur la bouche que je partis en courant au toilette pour vomir le contenu de mon estomac.
Je venais à peine de me pencher sur la cuvette des toilettes, en commençant à vomir, que Derek apparut dans mon dos. Il saisit rapidement d'une main mais délicatement la masse de cheveux blond que j'avais sur la tête, afin de que je ne les recouvre pas de ce liquide poisseux, et il me carressa doucement le dos, comme un signe de soutien.
Et même si son attitude était adorable et honorable, j'aurais tout donnée pour qu'il ne me voit pas comme ça ... Car comment dire ... Je ne trouvais pas que j'étais au summum de ma sensualité, penchée ainsi sur la cuvette à faire des bruit bizarre quand une goulée de nourriture remontais de mon estomac ...
C'est pourquoi quand je me relevais car j'avais fini régurgiter, morte de honte, je me précipitais vers la salle de bain où je m'enfermais, tout en évitant soigneusement le regard de Derek, pour me brosser les dents avec une tonne de dentifrice.
Je sortais quelques minutes plus tard, d'un pas mal assuré ... Derek m'attendais juste devant la porte.
- Ça vas mieux ?
- Oui ...
- Tu veux que j'appelle Sophia pour qu'elle t'examines ?
- Non ne t'inquiète pas ça m'arrive souvent ses derniers temps, surtout le matin.
Il me regarda, songeur, quand un éclair de lucidité traversa ses prunelles. Il s'avança vite et il m'enlaça puissamment, puis il enfouit son nez dans mon cou en inspirant fortement et longuement mon parfum.
Après plusieurs longues minutes, pendant lesquelles Derek n'avait toujours pas lâché mon cou, il s'écarta de moi les yeux brillants de larmes et il finit par dire la voie enrouée par l'émotion.
- Comment ai-je fais pour ne pas m'en rendre compte plus tôt ?
- De quoi tu ...
Je n'eus mais pas le temps de finir ma phrase, qu'il écrasait ses lèvres contre les miennes pour m'embrasser à pleine bouche.Bien qu'étonnée, je répondais à son baiser, car j'adorais les moments où nous nous embrassions. Tout en continuant de m'embrasser, il entoura ma taille de ses bras et il me fit virevolter dans les airs m'étant ainsi fin à notre baiser. Je rigolais de bon coeur lorsqu'il me reposa doucement au sol. Je reprenais le fil de mes pensées et je lui demandais un peu perdue.
- Qu'est ce qui ce passe ?
- Il se passe que tu est enceinte ! Dit-il avec entrain.
Je ... j'étais enceinte ... Non ce n'était pas possible ...
- Tu dois te tromper !
- Non ! Je n'avais pas fais attention mais ton odeur est en train de changer. Tu attends notre petit !
- No ... Notre enfant ?! Dis-je incrédule.
- Oui.
Je lui sautais dans les bras, en rigolant et en pleurant de bonheur, nous faisant tomber sur lit, moi sur lui. Alors c'était ça le fameux " bout de chou " dont ma mère m'avait parlée ?
J'allais être mère ... C'était fabuleux ! J'étais si contente ! J'allais avoir un enfant, comme ma mère assez tôt certes, mais je m'en fichais complètement. Au côté de Derek je me sentais capable de tout accomplir, et je savais que je ne serais pas seul pour m'occuper de mon bébé.
J'étais déjà sûr que quand j'annoncerais à Sophia et à Lilia que j'étais enceinte elles serait ravie et elle me proposeront leurs aide. De plus, j'étais sûr que Derek allait être un excellent père.
En attendant mon loup était toujours sous moi et il embrassait doucement mes paupières et me joues pour sécher les larmes qui s'y été répendu.
Nous finîmes par faire l'amour à nouveau et tout le reste de notre journée se passa au lit ... Cette fois c'était définitif, je n'aurais pas pûs être plus heureuse. Le destin avait certes été cruel avec moi au début, mais à présent la roue avait tournée et je nageais dans un océan de bonheur au côtés de Derek ...
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Si vous avez aimé ce roman, je vous invite à jeter un coup d'œil au nouveau ! 😉
Synopsis :De l'enfance, Pia Parisi et Dani Corleone conservent un souvenir commun et impérissable.
Mais en dix ans, les enfants ont bien grandi : Pia est désormais une artiste de renommée internationale ; Dani, un redoutable parrain de la Cosa Nostra sicilienne.
Et si tout les sépare aujourd'hui, le destin se moque royalement de ce genre de considération. Il suffira d'une collision pour que tout vole en éclats et que leurs vies s'entrelacent.
Mais en enfer, les ailes ont vite fait de se brûler...
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L'âme soeur de l'alpha
Hombres LoboLa solitude c'est la définition exacte de ma vie et ceux depuis déjà 9 ans. 9 ans que je suis seule sans amour et sans amies, parce que je suis dans un ophelinat. Pas parce que j'ai été abandonnée, maltraitée ou pour une autre raisons, mais parce q...