Désirs Interdits

Oh... Putain !

** Jade **

Je rentre en colère, d'avoir laisser Antoine et Stacey seules tout les deux... " Maman ?! Maman  ? " Criais-je en étant sur le point de la tuer. J'aperçois ma mère assise sur son lit, le téléphone à la main. Elle est sérieuse ou elle s'est juste foutue de moi ? La voir assise paisiblement me mettais en rage...

- Jade, c'est ton père... Il voudrais te parler ! Je lui ai dit que tu n'étais pas...

- Eh oui, ta gueule ! Lui gueulais-je. ( Je pris le téléphone )

** Au téléphone **

- Coucou ma chérie, tu m'avais manqué ! Dit-il.

- Oh la la, c'est bon ! Arrête ton blablatage. De quoi veux-tu me parler ?

- Je vais me MARIER chérie ! 

** Je raccroche **

Je n'en croyais pas mes oreilles. Mon père allait se marier avec sa " pouf ". Il a déjà tourner la page et se projette vers l'avenir. Il a oublier maman si vite... Mais et moi ? Il ne m'a même pas demander ce que j'en pensais, mon avis. Mais bref... À ce moment là, je n'avais pas envie d'entendre les commérages de mon père, j'avais juste envie de retrouver Antoine et qu'il me console à sa façon : par le sexe. Et le visage de Stacey s'afficha dans mon esprit. Je laissa ma mère planté là et courus retrouver ses deux-là. 

Je rentre dans l'appartement d'Antoine sans même prendre le temps de frapper ( j'avais envie de les surprendre ) et je reste outrée... Je n'en croyais pas mes yeux ! Antoine léchait Stacey. Ce qui me pertubais le plus, c'est pas qu'il couche ensemble là... Mais qu'il l'a faisait ce qu'il me faisait à moi, quand nous prenons notre pieds tout les deux.

- Tu es sérieux ?! Dit-je en essayant d'articuler malgré les larmes que je sentais couler sur mes joues. Tu es sérieux Antoine ?! Tu viens à peine de me dire " je t'aime " * Snif *et de me proposer à sortir avec moi ! Tu es sérieux ?! Tu n'es qu'un enfoiré de première... * Snif * Je t'aime pas et dégage de ma vie... Sort de ma vie j'te dis... * Snif *

J'arrivais plus à contenir mes larmes, je pleure, et devant cette salope en plus. J'ai honte et j'me sens coupable d'avoir donné ma confiance trop tôt à ma nouvelle voisine, ou je dirais plutôt, à NOTRE nouvelle voisine. Stacey se lève du canapé et rentre chez elle ( je crois ), mais au moins, c'est qu'elle est partie. Quelques seconde plus tard, Antoine s'approche de moi, et dépose un tendre baiser sur mes lèvres. Nous nous regardons ainsi pendant plusieurs heures. Je n'arrive pas à lui pardonner, et puis, de toute façons, je n'en ai pas envie. Ce que je sais, c'est que j'ai plus confiance en lui... Je peux avoir confiance en personne à part à moi-même. Il me prend dans ses bras, et m'entraîne vers lui jusqu'à la chambre. J'embrasse ses lèvres ( malgré les siennes ont touché autre part, tout à l'heure là ) mais je m'en fou un peu de l'endroit où ils les a fourrées, parce que j'avais pas la tête à sa pour le moment, et que ma seule envie pour l'instant, c'étais de m'emparer de son corps. Je veux que mon corps s'échoue sur le sien. Je monte sur lui et il passe ses mains sur mes cuisses. Il l'aient caresses, les pressent et me mordille la lèvres inférieure en même temps. On se caresses et s'embrasses sans jamais aller plus loin. Nous restons sensuelles et doux, en gardant une touche de romantique sans baiser ensemble. N'avait-il plus envie de baiser avec moi après avoir pris sa dose dans les jambes de Stacey ? Je chasse cette idée de la tête en lui faisant des petits bisoux dans le cou. Je le sens frissoné, je sens qu'il a envie, mais qu'il n'ose pas. Fallait que je fasse tomber sa timidité. Je lui caresse le sexe de mes mains et sens qu'il bande sur moi. Il pose sa main sur mes fesses et de l'autre, il l'a fait rentrer  tout entière. Il ne fait pas rentrer ses doigts, mais toutes sa main. J'avais mal et je voulais lui dire, mais sa lui donnait tellement envie que je me suis laisser faire. Il faisait des vas-et-viens avec sa main de plus en plus vite... Je n'arrête pas de crier, c'est tellement bon que j'en souffre. Il me retourne sans même prendre d'enlever sa main et s'allonge sur moi en continuant de remuer sa main dans mon corps. À ce moment là, j'avais l'impression d'être son objet... Sa chose. Et je commençais à avoir honte.