Quelques heures plus tard, ma cousine prépara ses valises. Elle devait repartir vivre avec son père qui était rentrer de voyage. Je ne voulais pas qu'elle parte. Elle n'est même pas rester longtemps. Je vais devoir repartir à zéro avec une famille de merde, et surtout le compagnon de ma mère que je n'arrivais même plus à supporter. Il encombre mon espace personnel. On entendit un bruit de moteur qui s'avançait dans ce silence... Son père était arriver. Je lui fit un gros calin, et quelques larmes coula sur mes joues, parce qu'elle me manquait déjà.
Maintenant qu'elle n'était plus là, j'avais envie de rester seule. J'ai rembarrer Antoine parce que je ne le sentais plus, à cause de l'avoir trop goûter, et ma meilleure amie m'avait laisser tomber pour son vulgaire petit copain. Même la voisine qui me restait, je lui faisais plus confiance à propos de ce qu'elle avait fait avec mon petit copain ( où dirais-je plutôt, mon ex ). J'avais la tête dans mes pensées et l'ordinateur devant moi, me fixait sans scrupule. Je devais m'inscrire sur un site, pour passer à autre chose et goûter à de nouvelle expériences. Mais d'abord, je devais chercher une excuse pour pouvoir retourner en cours demain matin. Devais-je dire la vérité en disant que j'ai passer la journée avec mon copain, puis ma cousine avant qu'elle parte ? Pour une fois que le " petit copain " de ma mère allait me servir à quelque chose, je fonce lui demander de m'aider à trouver une excuse.
- Non ! Ne compte pas sur moi pour t'aider... Je te signale qu'à ton âge, je séchais jamais les cours et avais des notes exemplaires ! Dit-il sur un ton hyper sérieux.
- C'est bien pour sa qu'aujourd'hui... Comme vous ne trouvez plus de femmes, vous vous êtes attarder sur une prostituée ? Disais-je en ricanant.
Il arrêta de parler, ou plutôt, d'ouvrir sa gueule pour me raconter des bobards et renonça à m'aider pour demain. Je ne pouvais pas dire que j'étais malade, sinon ils allaient me demander un certificat... Soudain, une envie me monte à la tête. J'avais envie de baiser ! Comme Judith est rentrer et que j'avais plus besoin d'Antoine, je décide de me changer les idées en allant acheter une cigarette.
** Dans la boutique **
- Bonjour, puis-je avoir une cigarette ?
- Nous sommes désolé, nous vendons pas au mineurs...
Je me casse avant même que le caissier finit sa phrase parce que j'avais ras-le-bol de leurs règles pourries. Je n'allais quand même pas, faire comme ma mère en me prostituant et en vendant mon corps aux mecs pour combler mes envies. Finalement, j'allais voir le mec qui habite à deux pas de chez moi et qui m'avait super baiser comme une chienne. Je me remémore le chemin en tête et suivais mon instinct si mes souvenirs son bons. Arrivée devant sa porte, j'hésita à sonner, mais comme j'avais grave envie de sexe, je pressa le bouton.
- Hey ! Je pensais que tu m'avais oublié ! Dit-il avec un magnifique sourire au lèvres.
Il me laissa entrer, la porte à peine fermer, il souleva ma robe et retire ma culotte. Apparemment, lui aussi avait une envie dévorante de sexe, ou plutôt de moi. Je détache son jean, et le baissa pour laisser à mes lèvres de finir le travail, ou dû moins, le commencer. Je m'installe sur son canapé et prend son sexe entre mes mains. J'avais déjà oublier qu'elle était énorme. Je la lui caressa puis au moment ou je devais mettre ma bouche, il m'allonge et me pénètre. Il n'était même pas rentrer doucement mais avec une force que je n'aurais jamais imaginé. C'est bizarre, mais même si j'avais l'impression qu'il m'avait déchirer en entrant, j'adorais cette sensation et m'avait terriblement manquer. Au bout d'un moment, je voyais un autre mec apparaître sous mes yeux. Je croie que je m'étais immiscée dans une partouze, mais j'avais tellement de baiser que je ne refusait point. Le deuxième me soulève et me met sur ses genoux. Il me pénètre par derrière tandis que le premier me pénètre par devant. Jamais on m'avait pénétrer par derrière et cette sensation me provoquait de terrible douleurs. C'est à ce moment-là, que j'ai été sauvagement dévierger par derrière. Deux pénis en moi, je n'arrivais toujours pas à y croire, puis je pensais à ma mère... Et maintenant, je pouvais dire que j'étais comme elle, et cette sensation me dégoûtais au plus profond de moi. J'avais envie de tout arrêter, mais c'étais comme si mon corps était paralysé, puis quelqu'un sonna à la porte. " Sauvé par le gong " ! Comme l'expression le dit... Celui qui me pénétrait par la chatte alla ouvrir et une jeune fille apparaît ( elle devait avoir mon âge ).
- Tu peux repartir chez toi maintenant, nous avons trouver quelqu'un pour te remplacer ! Me dit-il.
Je n'arrivais pas à croire ! Ils s'étaient servis de moi en attendant leurs pétasse ? Arrivée en bas, je n'arrivais même plus à me servir de mes jambes. Tout le monde me regardait et doivent sûrement se dire que je suis une p'tite salope. Tout le monde dans le quartier savaient que quand une femme, ou une jeune fille marchait maladroitement, qu'elle s'était faite baiser malproprement. Notre quartier à le surnom de " cité à putes ". J'avais hyper honte, et je me sentais très sale. Quand j'arrive à la maison, il était déjà 18 heures passer et ma mère était partie faire le trottoir tandis que son mec était devant la télé. J'allai prendre une douche pour me laver de toutes conneries de la journée. Je me baisse pour fermer l'eau, puis une main entra dans mon culs... Oh putain ! Que c'était bon, j'avais envie d'écarter de plus en plus grand pour savourer cet instant. Ooh ouiii !!! OOoow ouii putain ! Criais-je de plus en plus fort. Le mec m'avait excité comme une folle et j'avais qu'une envie : qu'il passe sa langue et qu'il l'enfonce dans ma chatte. Je me retourne, pour voir qui me donnait autant de bien, et qui est-ce que je vois ? Le compagnon de ma mère. Je n'arrivais pas à croire qu'il m'avait touché avec ses mains dégueulasse qu'ils avaient fourrées dans la chatte dans ma mère. Je me préoccupais même plus de sa situation et m'assied sur le bord de la baignoire avec les cuisses grandes ouvertes et sa tête entre. Il me léchait tellement bien, et je croie que ma mère devait partager son petit copain pour mes envies sexe. Oh putain ! Il lèche super bien mon clitoris que je mouille dans sa gueule. Il me dit qu'il a envie de me pénétrer, mais moi je veux pas que sa bite sale entre dans ma chatte et qu'il se contentera de ses doigts et sa langue sur et dans ma chatte.
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Désirs Interdits
RomanceJade s' installe en France avec sa mère après le départ de son père... Jacqueline sa mère, tente de trouver un nouveau père en multipliant les conquêtes d'un soir. La vie de Jade bascule quand elle se fait violée par le copain de sa mère... Désirs e...