0 : Prologue

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Désolé si le prologue est un peu brouillon.

Penser.

Il m'arrive souvent de penser à beaucoup de choses.
Mais penser n'est pas réfléchir et réfléchir n'est pas penser. Il y a la différence que la pensée, on ne la contrôle pas, les mots nous viennent seul, du tréfond de notre esprit, de notre inconscient.

Et de ce fait, nous ne nous connaissons pas. Ou nous ne connaissons pas cette petite voix, si elle est vraiment nous.

Mais elle l'est, elle raporte notre inconscient à la lumière, elle nous définit plus que n'importe quoi, et on est les seuls à l'entendre. C'est Injuste ? Oui.

Nous ne nous connaissons pas réellement, et les autres encore moins puisque nous leurs montrons ce que nous voulons qu'ils voit par manipulation, ou bien par inadvertance, le contraire de ce que nous souhaitons révèler.

La vérité sur nous même est enfoui en nous, et le seul moyen de la connaître, c'est de penser.

Je suis bien placé pour dire que ce n'est pas souvent une partie de plaisir, il arrive que nous pensions ce que nous ne voulons pas penser. Et que notre pensée nous corrompe, nous tiraille intérieurement et sans scrupule, faisant mener certains au bout de leurs résistence interne.

Parce que oui, je suis intimement convaincu que notre pensée nous a été attribué pour nous remettre en questions, nous les hommes, et de faire les bons choix, non pas pour diriger le monde, mais pour le préserver et en faire parti, trouver notre place. C'est une forme de sélection naturelle, la force mentale domine à présent.

Et c'est cette pensée, cette voix, ce moi même venu de l'inconscient qui m'a appris beaucoup. Elle a retenu des erreurs du passé, de ma mémoire, des cours de l'école au lycée, des conseils de mes proches, de paroles de connus ou d'inconnus....

Elle a retenu de ma vie, m'a créé une expérience, une personnalité propre à moi même et par dessus tout, m'a encré une idée.

Cette idée.

L'idée la plus folle et délurée qui n'était jamais sorti de moi même.

L'idée qu'une adolescente normale de 18 ans ne devrait pas avoir en temps normal.

Celle de Liberté.
La vrai avec un grand L.
Pas celle que les politiciens qui pratique leurs art a leur appogé nous vendent. Pas celle socialiste qui n'est réelle que par les mots.

Non, celle qui délie nos liens a la société.

Celle qui nous permet de vivre, de sentir, de pré sentir.

C'est tellement magnifique d'imaginer : c'est l'amie de la pensée. C'est penser par l'image, le mouvement, le réel ou l'irréel.
Mais nous ne pouvons pas démêler le réel de l'irréel, le souvenir de l inventé.
Alors l'avais je imaginé cet espoir divin ?

Cette simple lumière douce et flou, atteignable seule par une grande volonté de l'esprit.
Non je la ressens cette envie, ce besoin de découverte, de renouveau, d'identité.
Je ne connais pas le monde ou je le connais trop. Je ne sais pas. Ce que l'on dit, ce que l'on montre, es la réalité ? La vérité ?

Je voudrais le voir de mes propres yeux. Sentir, ressentir par moi même. Par des sentiments, et pas par des mots, même si ils ont le pouvoir de transposer le réel.

Je sais aussi quelque chose. Le fait que si j'étais née ailleurs, dans une autre famille, un autre pays, même si seule mon enveloppe charnelle différait, je penserais autrement. Ou je ne penserais même pas, ça dépend.

Notre pensée, notre conscient dépend totalement de notre environnement, de notre entourage, de nos connaissances. Mais si nous étions né loin de notre société, serions nous des animaux ? Je pense. Nous avons toujours évolué ensemble, alors la société est une bonne chose pour l'existence humaine, mais pas pour le reste.

Si je part en temps qu humaine, que personne savante, douée de penser et non ignorante, je pourrais peut être vivre libre. Pourquoi es que je veux quitter ma vie, la société humaine pour vivre loin ?

J'ai peur de l'inconnu, de la force qu'est la nature lorsqu'elle ne m ébloui pas.

L'homme est arrivé à un stade de on évolution ou il ne sais plus quoi faire. Il se pose trop de questions parce qu'il est lucide sur le monde qui l'entoure.

Par exemple, celle qui revient tout le temps et qui est l'essence meme de nos pensées : pourquoi on est la ? Ne me dites pas que vous ne vous êtes jamais posé cette question...

L'Homme est au stade de l'ennui, et il a trouvé un remede : la Société.

Si nous sommes tous pareil, c'est parce que la même société nous forge depuis des générations. Nous avons les mêmes peurs, les memes habitudes, les memes langues, les memes espoirs, le meme mode de vie...

Mais moi, j'ai une question à présent.

Qui serait une personne en recherche d'identité, ayant vécu dans une société civilisé, cultivé et érudit, en plaine nature et loin de sa société?

C'est l'aventure que je vais tenter, moi, Alizée Martin, humaine de 18 ans.

Ne vous inquiétez pas, les chapitres ne seront pas brouillon comme ça. Ce sera un récit avec le pdv de Alizée bien sure.

Qu'en pensez vous?

Merci pour votre lecture Maelle2000

La suite arrive des que possible si ça plaît

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