Chapitre vingt.

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Ce chapitre contient un lemon.
Le début sera marqué par et la fin par
Je ne vous oblige pas à le lire, je ne suis donc pas responsable de ce que vous lisez.
 
Mon dos fut plaquer contre la porte la fermant au passage. Sa main diminua le choc m'empêchant d'avoir mal.

Ses lèvres embrassaient les miennes avec envie. Nos langues dansaient une douce valse langoureuse.

Il tenait fermement mes cuisses entre ses grandes mains, enfonçant ses doigts dans ma chair avec hardeur.

Ses dents se mirent à mordre ma lèvre inférieure fiévreusement. Un désir brûlait en nous comme un feu sacré.

Mes mains caressaient avec douceur sa nuque, mes doigt jouaient avec quelques petites boucles qui tombaient sur sa peau.

Il me souleva collant son bassin au mien. Mes jambes s'enroulèrent autour de son corps.

Ses mains se posèrent sur mes fesses, un haletement de surprise quitta la barrière de mes lèvres quand ses doigts s'enfoncèrent dans mon jean.

Puis ses lèvres quittèrent les miennes, à mon grand désespoir. Ses yeux verts se plantèrent dans les miens.

Je me languissais de ses lèvres, je les voulais encore contre les miennes.

Avant que je puisse ouvrir la bouche, je sentis son souffle caressait ma peau me faisant frémir.

Puis des baisers doux, humides, brûlant furent posé sur toute la peau de mon cou. Il grogna contre ma gorge et poussa ma tête à l'aide de la sienne lui laissant plus d'accès.

Ses cheveux caressaient ma joue, ma respiration était haletante. Mes yeux étaient fermés me concentrant sur le plaisir qui secoué mon corps.

Ses mains massaient mes fesses, je sentais quelques fois mon corps vibrer sous le plaisir qu'il me donnait.

Sa langue humidifia une petite partie de ma peau, puis ses lèvres sucèrent ma peau avec hardeur.

Un gémissement quitta mes lèvres sans que je ne puisse rien faire.

Dans les secondes qui suivirent, mes fesses heurtèrent durement le sol me décrochant un cri. Qu'est ce que j'avais fais ?

Je regardais le brun tournait en rond dans la chambre, se frottant durement le visage.

Il marmonnait des mots incompréhensibles.

Qu'est ce qu'il lui arrivait ? Je ne comprenais plus rien. Était-ce de ma faute si il était dans cet état ?

Je me levais difficilement, m'appuyant contre la porte. Il ne cessait pas de répété « non, non, non.» secouant sa tête.

J'approchai doucement de lui priant au fond de moi pour qu'il ne devienne pas violent.

Ma main toucha prudemment son épaule. Ses yeux croisèrent les miens, ses joues étaient rouges, il semblait être au bord des larmes.

- Ne me touche pas s'il te plaît. Sa voix était base, grave. Elle n'exprimait aucune colère contre moi.

Je laissa ma main sur son épaule, et avança doucement plus près de lui. Ses yeux suivaient chacun de mes gestes.

Sa respiration était lourde, il était immobile, massif. Sa grande silhouette surplombant la mienne d'une quinzaine de centimètres.

J'enroulai mes bras autour de son cou laissant traîner mes doigts contre sa peau. Je posa ma tête se posa contre son torse, écoutant les battements de son cœur, respirant son parfum masculin.

- S'il te plaît Joy, tu ne sais pas dont je suis capable. Me dit-il. Je pourrais te faire du mal et je ne veux pas.
- Tu ne me fera pas de mal. Ai-je murmurer.
- Tu n'en sais rien, je .. c'est incontrôlable. Je ne veux pas faire ça, si je risque de te faire mal.

Je releva la tête vers lui, ses iris verts me fixaient. Il semblait avoir peur, peur de me faire du mal.

J'avais confiance à lui, il ne me fera pas de mal.

- J'ai confiance. Mes yeux étaient clos, mon nez frottait contre son t-shirt.

Il ne dit rien. Je sentais son regard sur moi, mes mains descendirent le long de ses épaules et de ses bras. Je glissai mes doigts contre les siens, attendant qu'il referme les siens sur ma main.

Il ne fit rien. Je releva la tête, ouvrant mes yeux. Je voulais sondé son esprit mais c'était impossible, ses yeux ne trahissaient aucune émotion, du moins aucune que j'avais déjà vu.

- Joy a tu déjà fait quelques choses avec Tom ?

Je pensais avoir compris sa question mais je n'en été absolument pas sûr. Il me fixait durement attendant ma réponse qui semblait importante.

Mais qu'est ce que cela pouvait lui apporter ? Je veux dire, si je dis oui il sera jaloux et je dis non il risque de refuser de faire quoique ce soit ce soir. Alors que j'étais prête, je le voulais.

- Joy es-tu vierge ? Demanda-t-il durement.

Son regard était plongé dans le mien. Il voulait une réponse, je le voyait, mais je ne savais pas si j'étais prête à lui donner. Il était mon copain il avait le droit de savoir cela mais j'avais peur de ce qu'il pourrait penser de moi.

- Je ... Oui, je le suis. Bégayai-je.

Son regard s'agrandit, il semblait surpris. Qu'est-ce qu'il allait faire ? Si je lui avait demander de le faire c'est parce que j'étais prête. Je voulais lui donner ma virginité à lui et à personne d'autre.

- Joy. Souffla-t-il. Je ne peux pas faire ça. Fini-t-il en s'éloignant de moi.
- Mais pourquoi ? Harry je ... si je te le demande c'est pour une bonne raison. Je le veux Harry.
- Il ne suffit pas que tu le veux pour que j'accepte et pour moi c'est non Joy.
- Pourquoi ? Tu préfères que je perde ma virginité avec un autre et que je reviennes après c'est ça que tu veux ? Criai-je.
- Non, tu es à moi !
- Alors que veux tu ? Harry je veux que ça soit toi et personne d'autre.
- Joy, je ne suis pas assez bien ! J'ai changé je ...
- Je m'en contre fou que tu es changé merde ! Je t'aime Harry, je le ferai avec toi. Pourquoi tu ne veux pas ?
- Joy. Dit-il plus calme en s'approchant de moi. Je veux que ta première fois soit parfaite, et je ne suis pas apte à t'offrir cela.
- C'est parce que c'est avec toi que ça sera parfait. Je veux le faire avec la personne que j'aime et c'est toi que j'aime Harry.
- Je sais que tu m'aimes, et moi aussi. Là n'est pas le problème Joy.
- Alors explique moi, je veux résoudre le problème.
- Tu ne comprendrais pas.
- Pourquoi tu compliques toujours tout ? Demandai-je haussant le ton.
- Joy. Souffla-t-il. Viens.

Il tendit sa main vers la mienne, je la saisi fébrilement. Qu'est ce qu'il n'allait pas chez lui ? Pourquoi ne voulait-il pas comprendre que c'est à lui que je veux offrir ma virginité ?

Il s'assit au bord du lit avant de me faire asseoir sur lui. Ses bras entourèrent ma taille, sa tête posait contre mon épaule, je sentais sa respiration contre ma peau.

- Tu te souviens de cette promesse ? Que notre première fois, on la ferais ensemble ?
- Oui pourquoi ?
- Je ne l'est pas tenu. Sa voix s'était éteinte.

Je ne retourna, je voulais être face à lui. J'étais assise sur ses cuisses, mes jambes serré de chaque côté de son bassin. Je posa ma main sur sa joue la caressant avec douceur.

- Harry ... je m'en fiche.
- Attends s'il te plaît.

Mes yeux étaient plantés dans les siens, sa main caressait ma cuisse avec douceur.

Il baissa la tête, ses boucles tombèrent devant son visage. Je ne comprenais pas ce qu'il lui arrivait, il ne voulait rien me dire, il voulait tout garder pour lui alors que je voyais que ça lui faisait mal.

Je posai ma tête dans son cou, laissant son parfum chatouiller mon odorat. Je pris le lobe de son oreille entre mes lèvres le suçotant légèrement.

Son torse vibra contre moi, ses bras se resserrèrent autour de ma taille. Je souriais en sachant que c'était moi la cause de ses frissons.

- Dis-moi Harry.

Je le sentis souffler, son souffle chaud s'écrasa contre la peau de mon cou.

- Je suis pas sûr que tu veuilles le savoir.
- Harry s'il te plaît, reste pas tout seul avec ça alors que ça te fait mal.
- Je crois que je préféré le garder pour moi que te voir mal à cause de ça.
- J'aime pas te voir mal Harry.
- Je vais te le dire, mais garde ta tête dans mon cou, s'il te plaît. Ton souffle m'apaise, et je ... si je voyais tes yeux je ne pourrais pas continuer
- D'accord.


Je sentais son cœur battre irrégulièrement. Ses mains caressaient mon dos. Il avait besoin de réconfort et je voulais lui donner tous celui que je pouvais lui donner.

- C'était en prison, j'étais dans une prison pour adolescents depuis une semaine. Mon camarade de cellule était devenu mon ami ...

Il s'arrêta sans que je sache pourquoi. Sa respiration irrégulière avait trahit son mal-être.

- Qu'est ce qu'il avait fait lui ?
- Il avait voler une bague qui appartenait à la collection de joyaux de la reine pour sa petite amie.
- C'est mignon mais idiot.

Il ria à ma remarque, mes questions semblaient l'aider un peu.

- C'était un chouette type, il m'avait parler de sa copine, il avait toujours une photo d'eux sur lui. Je lui ai parler de toi aussi.

Je souris à l'idée que son camarade me connaissait sans même m'avoir vu. Je trouvais ça adorable que j'ai pu rester dans ses pensées même en prison.

- Lors d'un repas, nous étions avec d'autre détenus et ils parlaient tous d'un mec qui était sortis plutôt grâce à une gardienne. Je n'avais pas tout compris alors le soir j'ai demandé à Tommy, c'était son prénom.
- Comme ton frère.
- Ouais. Donc il m'a explique que ce mec était devenu le toy-boy de cette gardienne. Elle faisait ça souvent, elle choisissait un des jeunes, si il acceptait de devenir son toy-boy, elle s'arranger pour écourter la peine.
- Mais c'est illégal !
- Si tu savais ce qu'il se passait vraiment dans cette prison tu serais horrifié. Joy, il ne faut pas que tu me juges d'accord ?
- Je ne le ferais pas.
- Un soir, je m'étais battu avec un autre détenue, il t'avait insulté, il ne te connaissait pas et il avait osé dire que tu ....Ses mots traduisaient toute la colère qu'il avait ressentit ce soir là. Enfin, je l'ai frappé. Sa respiration était lourde, ça semblait dur pour lui à expliquer. On s'est battu jusqu'à ce qu'on soit tout les deux en sang. On a terminer à l'infirmerie et c'est là qu'elle est venu me chercher. Elle me l'a proposer d'être son nouveau et je suis resté la nuit entière à réfléchir. Joy, il faut que tu saches que j'aurais fait n'importe quoi pour te revoir, je ne tenais plus sans pouvoir te voir, te toucher, t'embrasser, te câliner. Alors je t'en supplie ne me juge pas pour ce que j'ai fait.

Son cœur battait à dix milles à l'heure, et une larmes roula sur ma joue à l'image du tout jeune garçon obligé de faire ça, pour pouvoir sortir.

- Je ne te juge pas toi, c'est elle que je juge Harry.
- J'ai accepté, et le soir même, j'ai brisé notre promesse. Une seconde larme roula sur ma joue. Joy, je suis si désolé si seulement tu savais.
- Je sais Harry, je sais. La colère avait envahie mon corps, pas contre Harry non, mais contre cette femme.
- Et elle m'a eu, elle a fait de ma vie un cauchemar en prison, les autres me regardaient mal, même Tommy ne me parlait plus. Je me battais souvent, je me droguais, j'ai fait tout ces tatouages, j'ai tourné mal, très mal. Et elle aimait tellement ce que je lui faisait qu'elle en a profité, elle n'a pas écourté ma peine, elle a joué avec moi ...

Les larmes roulaient sur mes joues sans que je puisse les retenir. Je n'arrivais pas à croire que c'était la faute de cette femme si Harry avait tourné mal comme il le dit. Je ne faisais aucun sons qui aurait pu trahir mes larmes et pourtant je sentis son corps se raidir.

- Joy ? Mon ange ne pleure pas je t'en supplie.
- Je suis désolé Harry, j'aurais du empêcher ça, j'aurais du tout faire pour que tu n'y ailles pas.
- Tu n'y es pour rien, arrête de pleurer bébé s'il te plaît.

Je retira ma tête de son cou, fixant ses iris verts. Son pouce essuya mes larmes avec une douceur infini.

- Je veux toujours le faire Harry.
- Joy. Souffla-t-il.
- Qu'est ce qu'on en a faire de cette pute hein ? Ce n'est pas elle qui va changé mes sentiments pour toi.
- Joy, je suis incontrôlable. J'étais violent avec elle, et elle m'encourageait car elle aimait ça. Je ne veux pas risquer ça avec toi Joy, je ne veux pas te blesser.
- Tu ne le fera pas.
- Comment peut tu en être si sûr ?
- J'ai confiance à toi, tu ne perdras pas le contrôle.
- Je ne veux pas prendre de risque.
- Et moi je veux le prendre.

Avant qu'il puisse prononcer le moindre mots, je plaqua mes lèvres en douceur contre les siennes. Une douce chaleur pris mon bas ventre quand il répondit au baiser.

J'ouvris la bouche laissant sa langue y entrer librement. Notre baiser devenait de plus en plus sensuel. Ses mains glissèrent sous mon pull, ses doigts faisaient des petites cercles sur ma peau nue.

Il m'allongea sur le lit, se mettant à califourchon sur moi. Son regard était plongé sur moi pendant que ses mains relevaient mon pull, dévoilant peu à peu mon buste.

Je leva les bras attendant qu'il le retire complètement. Ma poitrine se gonfla, alors que ses yeux brûlaient mon corps nue.

Je le regardait retirer à son tour son t-shirt. Sa peau était halée, ses muscles abdominaux étaient clairement délimité. Cet homme était-il un dieu ?

J'étais surprise de voir que les seules tatouages qui marquaient la peau de son torse étaient deux hirondelles et une phrase sous son V bien tracé.

Ses bras étaient parfaitement musclés, mais remplit d'encre noir. Mes mains se posèrent sur son torse, d'un doigts fébrile je traçais les lignes de ses abdos.

Ses yeux me fixaient, j'essayais de ne pas penser au faite que ma poitrine lui était quasiment dévoilé.

Il prit mes mains et entrelaça mes doigts avec les siens. Je le regardais descendre vers moi avant de sentir ses lèvres contre ma peau.

Il embrassait mon cou divinement. Nos peaux étaient collés l'une à l'autre, des frissons prirent ma peau alors que ses lèvres embrassèrent ma clavicule.

Il souleva mes bras au dessus de ma tête pendant que ses lèvres continuaient leurs chemin sinueux sur mon buste.

Harry commença à embrasser mes seins, il en suçotait la chair visible. Mon soutien-gorge couvrait encore mes tétons. Quelques haletements précieux s'écharpèrent de mes lèvres.

Il frotta son jean au niveau de mon point sensible, créant des vibrations dans tout mon corps. Je pouvais sentir son érection fortement pressé contre le tissu raide de son jean.

Il arriva au plus prés de mon jean, embrassant avec envie la peau brûlante de mon bas-ventre.

Alors qu'il libéra nos doigts, je compris se qu'il allait faire. Je retenais difficilement mon souffle, quelques expires lourde résonnaient dans le silence noir de la chambre.

La lune pleine était notre source de lumière, une lumière blanche et pure.

Mon jean glissa avec douceur le long de mes jambes. Après l'avoir retirer, Harry se mit debout en face de moi. Son regard brûler ma peau nue.

Seul mes sous-vêtements couvraient mon corps. Il me regardait alors que son jean quitta bientôt ses jambes dévoilant son excitation grandissante dans son caleçon noir.



Il écarta mes jambes avec douceur, et s'installa entre elles. J'étais tendu, je n'avais aucune idée de ce qu'il allait me faire, j'étais complètement inexpérimenté.

Il mit ma jambe gauche sur son épaule et commença à embrassait l'intérieure de ma cuisse.

Plus il approchait de ce point sensible plus j'étais tendu, plus les tremblements se faisaient fort.

Il fit de même avec mon autre jambe, embrassant chaque parcelles de ma peau.

J'attrapai violemment les draps, les serrant avec force quand il souffla contre ma petite culotte.

Il leva la tête vers moi alors que je fixais ses yeux verts. Mon souffle était irrégulier, traduisant mon stress et mon excitation.

D'un doigt il dégagea mon intimité toujours en me fixant. Son autre doigt effleura mon intimité. Un haletement s'échappa de ma bouche.

Je mordais ma lèvre inférieure quand je le sentis entrer en moi. Harry me fixait toujours de ses grands iris verts.

Il commença à bouger doucement son doigt. Mes doigts serrèrent un peu plus les draps.

Après quelques doux vas et viens, un deuxième doigts fut ajouté, caressant doucement mon intérieure.

- Détend toi Joy.

Sa voix était douce, elle se voulait rassurante.

Ses doigts continuèrent leurs vas et viens doux. Des frissons piquaient mon bas-ventre.

Des vibrations avait pris tout mon corps. Quand il accéléra le rythme, un gémissement lourd quitta mes lèvres.

Le plaisir avait pris tout mon corps, je ne pouvais pas le contrôler. C'était effrayant mais à la fois terriblement bon.

Mes yeux étaient clos, je ne trouvais pas la force de les garder ouvert.

Puis la sensation douce et forte de ses doigts en moi avait disparu.

J'ouvris les yeux, ses iris verts me fixaient. Et avant que je ne le vois venir, il baissa la tête et embrassa mon petit bout de chair sensible.

Mes lèvres s'ouvrirent et un gémissement quitta mon corps sans que je ne puisse rien empêcher.

Un chaleur exquise avait pris mon corps. Mes mains tenaient fermement le drap.

Ses lèvres mouvaient contre moi. Je n'avais jamais rien sentis de si doux et de si agréable de toute ma vie.

J'avais les yeux clos, il m'était impossible de les garder ouvert. Ma poitrine montait et descendait à une vitesse folle.

Je ne contrôlais plus mon corps. Il contrôlait mon corps.

Ma lèvre inférieure était fortement pressé entre mes dents étouffant tout mes gémissement. Je n'aimais pas ça, j'avais l'impression d'être vulgaire en gémissant.

- Ouvres-les yeux bébé. Je veux voir tes jolies yeux.

Sa voix vibra contre moi. Sa demande semblait irréalisable.

Je pris quelques secondes avant d'ouvrir les yeux et voir ses orbes verts me fixaient. Il était si beau.

- Bien. Maintenant je veux t'entendre dire mon nom. Me dit-il droit dans les yeux. Jouis pour moi Joy. Murmura-t-il contre moi m'arrachant un gémissement sourd.

Je relâcha ma lèvre, je la sentais se gonflait et se dégonflait à cause de la pression.

Sa langue approfondit le travail avec ses lèvres. Mes gémissements étaient de lourd soupir aigu.

Je ne comprenais pas ce qu'il se passait, je semblais partie dans un autre monde. La douceur de ses lèvres contre moi était une chose qui ne pouvait pas s'arrêter.

Ma respiration irrégulière me faisait tremblé. Je n'arrivais pas à soutenir mon corps. J'étais complètement enfoncé dans le matelas, ma tête posait sur l'oreille, mes cheveux éparpillaient autour de ma tête.

Pas une seule seconde il n'avait arrêter ses mouvement divins donnant à mon corps un plaisir absolu.

Son nom tombait entre deux gémissement. J'étais si proche, c'était insoutenable.

- Harry. Implorais-je.

Il fit un dernière mouvement avec ses lèvres, embrassant mon intimité avec hardeur.

Un ultime gémissement avait fait tremblait tout mon corps.

Mes yeux étaient fermés mais je ne pouvais plus faire autrement.

Je sentis le tissu de ma petite culotte me recouvrit alors que son corps chaud fut collé à mon côté.

Sa main chaude s'était posé sur mon ventre avec douceur décrochant des milliers de frissons sur tout mon corps.

Il posa ses lèvres sur mon oreille avec douceur.

Nos respirations était le seul bruit qui remplissaient l'espace vide de la chambre.

J'ouvris les yeux en douceur. Je ne bougeais pas d'un millimètre observant le plafond.

- Je viens de te donner ton première orgasme bébé. Firent ses lèvres frôlant mon oreille.

Je tourna la tête pour l'observer. Un sourire de victoire marquait ses lèvres.

Il était magnifique. Son visage si doux, ses grands yeux verts lui donnait un si innocent qui contrastait avec son corps sculptait et tatoué.

La lumière blanche de la lune soulignait à merveille les tracés net de ses muscles. Ses tatouages était si intriguant, et pour certains si beau.

Mais ils étaient pour moi vide de sens. Je voulais découvrir l'histoire derrière tout cette encre.

Mes doigts tracèrent les traits de ses dessins. Je voyais des frissons accroître sur sa peau quand de mes ongles de traça la fine rose qui se terminait sur son épaule puissante.

Il prit mon poignet dans sa grande main, et descendit vers son caleçon. Il posa ma main tout prés de son caleçon noir.

Je voyais nettement son érection encore présente mais je n'osais pas bouger. Il descendit un peu son sous-vêtement jusqu'à une petite ligne de poils.

C'est alors que je vis l'écriture arrondi sur sa hanche.

She Will Be Loved

Je passa lentement mon doigt sur la peau marqué de noir.

C'est nous. C'est notre chanson.

- C'est mon tout premier tatouage.

Mon cœur cogna si fort que je cru qu'il allait quitté ma poitrine. Il s'était tatoué le titre de cette chanson que nous chantions à tu-têtes, cette chanson qui nous représentait nous.

Dans un grand élan d'amour, mes lèvres embrassèrent les siennes avec passion. Et nos langues dansèrent ensemble.

Il me fit basculé sans problème contre son corps. Je sentais sa bosse contre mon intimé.

Ses hanches roulaient, me décrochant un gémissement étouffé par nos lèvres. On en avait envie tout les deux et à ce moment plus rien ne pourrait ne pouvait nous en empêcher.

D'une main tremblante, je commença à descendre son caleçon. Mes doigts effleurèrent sa peau à de nombreuses reprises.

La vitesse lente de mes doigts lui était devenu insupportable. Il rompu notre baiser, et termina ce que j'avais commencé en balançant le tissu noir à l'autre bout de la pièce.

Puis sans le moindre mal, il s'allongea sur moi. Son membre dur appuyer contre mon bas-ventre.

Ses lèvres s'étaient égarées sur la peau de mon cou. Plus il descendait plus je sentais une sorte de stress montait en moi.

Il s'arrêta à ma poitrine, embrassant intensément la peau dévoilé de celle-ci.

- Tu sais j'adore tes sous-vêtement.
Dit-il en dégrafant mon soutien-gorge. Mais je souhaite quand même te les retirer.

D'une main il retira mon soutien-gorge lui dévoilant ma poitrine. Son autre main jouais depuis de longue minute avec l'ourlet de ma petite culotte bleue marine, faisant augmenter mon excitation.

Il embrassa ma poitrine maintenant nue. Sa langue lécha avec insistance mon téton.

De lourds expires remplissaient le silence de la pièce.

Il s'arrêta un moment, se redressa pour observer son œuvre, mon sein rougis par son baiser.

Alors ses mains chaudes attrapèrent chaque côté de mon dernier sous-vêtement. Le faisant glisser avec une lenteur absolue le long de mes jambes.

- Harry. Gémis-je d'impatience.
- Reste calme.

Il jeta le petite bout de tissu marine, il atterrit non loin de son caleçon.

J'étais complètement nue devant lui. Je sentais le feu brûlait mes joues.

Son regard était entrain de détailler mon corps nue devant lui.

Je croisai mes bras sur ma poitrine la cachant à son regard insistant. Mais il saisi mes poignets et les tenues au dessus de mon corps.

- Ne te cache pas à moi. Dit-il durement.

Ma cage thoracique se soulevait et se baissait à une vitesse folle. Il relâcha mes poignets, mais je n'osai pas bouger.

Sa main se nicha dans mes cheveux, son pouce caressa ma joue avec une douceur infini.

- Tu es si belle.

Ses mots firent bondir mon cœur. Jamais ce compliment n'avait sonné aussi vrai.

- Tu es prête ?

J'hochai la tête, ses yeux fixaient les miens. Il déposa un chaste baiser sur mes lèvres.

Il se leva, et alla récupérer le petit sachet aluminium dans sa valise. Je le regarda ouvrit le petit sachet avec ses dents avant de dérouler le préservatif sur sa longueur.

Il remonta sur le lit, me fixant de ses grands yeux verts.

Puis il écarta doucement mes jambes et se mit entre elles. Je le sentais raide contre mon entrée.

- Ça va faire mal au début, mais j'irai doucement pour que tu t'y habitue.

Il me regarda intensément, je ne dis rien le laissant faire.

Il entra doucement en moi. Une douleur prit tout mon corps, c'était horrible, je me retenais de crier et de pleurer.

Une fois qu'il fut entièrement en moi, il ne bougea plus me laissant le temps de m'habituer.

Ses boucles brunes tombaient autour de son visage. Il était si beau, on aurait dis un ange.

- Ça va ? Demanda-t-il visiblement inquiet.

Je ne voulais pas répondre à ça. Je savais qu'il ne ferait rien si je lui disait qu'une douleur me brûlait intérieurement.

Je passa mes bras autour de son cou avant de ramener sa tête à la mienne pour l'embrasser. Ce n'était pas pour le rassurer c'était pour moi, pour évité de pleurer, je ne voulais pas pleurer mais c'était si dur.

Quand il se retira, il hocha la tête et commença à se retirer avec douceur. Puis il revenue en moi avec cette même douceur et lenteur.

Je l'avais senti, il avait touché le fond. C'était fait, c'était fini.

Je n'étais plus vierge.

Ses bras tenaient sa grande silhouette au dessus de moi tandis qu'il continuait ses lents va et vient.

Je ne savais pas quoi prendre, j'avais besoin de prendre quelques choses entre mes mains.

J'étais tellement mal à l'aise que sans le vouloir je me referma autour de lui.

- Oh putain Joy. Souffla-t-il.
- Désolée. Fis-je d'une voix tremblante.
- Mets tes mains dans mon dos, si ça peut t'aider. Mais je t'en supplie laisse moi bouger.

Je voyais sa frustration, je posa mes mains sur son dos, accrochant mes doigts sur ses omoplates ressortit.

- Détends toi ma belle, tu es parfaite. Dit-il en caressant ma joue avec sa main.

Puis il reprit ses vas et viens. La douleur était de moins en moins présente, le plaisir commençai à prendre place.

Des gémissement quittaient ses lèvres, alors que ses yeux fixaient les miens.

Les miens se faisait plus discret, mais ils aidaient à remplir le silence de la chambre.

Mes doigts bougeaient sur son dos au rythme de ses hanches.

- Harry. Gémis-je quand il toucha plus profond en moi.

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