Chapitre trente-sept.

2 1 0
                                    

« Il n'y a pas d'amour perdu" Marcel Achard »

Dans tout les scénarios que j'avais pu imaginer sur mes derniers mois, jamais je n'avais envisagée cela : Harry demandant ma main. Nous avions déjà parler de nous marier il y a bien longtemps, quand nous étions encore de tout jeunes ados complètement ébloui par l'amour.

Dans notre imagination, c'était une grande réception avec tout nos proches où je pourrais porter la robe de mes rêves et lui serait vêtu d'un élégant costume qui mettrait plus en valeur sa carrure d'homme. Ce soir où il me ferait danser toute la nuit coller contre son corps protecteur.

Aujourd'hui tout était différents, nous n'avons que 17 ans et non quelques années de plus comme la norme, je n'avais pas de grande robe de princesse, nos proches n'étaient pas présent et notre union n'avait rien d'officiel aux yeux de la loi. Mais je me fichais de tout ça, tout ce que je voulais c'était de savoir que j'étais à Harry jusqu'à ma fin.

Alors que je me regardais dans cette robe dans le miroir je compris ce qu'il se passait réellement et j'en été plus qu'heureuse. En plus cette robe était réellement très joli, courte elle m'arrivait juste au dessus du genoux, elle était ivoire avec un bustier en V, et elle était entièrement recouverte d'un voile léger avec des motifs très élégant mais que je ne serais décrire convenablement. C'était Elisabeth qui l'avait choisi en prévision de ma réponse positive. Car évidement ils étaient tous au courant et je suis surprise qu'ils aient réussi à tenir leur langues.

La demande d'Harry avait été si belle, je n'aurai pu imaginer mieux que cela. Alors j'avais été obligé de lui répondre oui et de fondre en larmes dans ses bras. Tout le monde nous avait applaudit alors qu'il ne cessait de dévorer mes lèvres.

Et aujourd'hui était comme on dit « le plus beau jour de ma vie » même si a présent elle avait une date de fin précise. Je veux profiter de ce moment sans penser une seconde à cela.

On frappa à la porte de la chambre, je me retourna pour voir Eli apparaître par celle-ci.

- On n'attends plus que toi. M'informa-t-elle

Ceci fit monter la pression en moi. J'étais stresser évidement qui ne le serait pas. Elisabeth approcha et me prit dans ses bras, je me laissa aller appréciant le réconfort de mon ami.

- Tu sais son état est pire que le tien. Rit-elle à mon oreille

Harry stressait ? Je ne l'avais jamais vu dans cette état, donc évidemment je n'arrivai pas à y croire. Il était si calme et sur de lui alors comment pouvait-il avoir peur ? Avait-il peur que je dise non au dernier moment. Mais ça brisera son cœur et c'est bien la dernier chose que je veux.

- Bon allons-y avant qu'il ne tue quelqu'un parce que tu ne viens pas.

Elle prit ma main et nous quittions la chambre pour nous rendre en bas où il avait tout installer comme dans une toute petite église. Elle me remit un bouquet avant de s'installer avec les autres. J'étais en face d'une allée qui avait été installée pour mon arrivée. Louis était en face de moi me souriant. Je pouvais voir le dos d'Harry et à quel point il était tendu, ses épaules contracter ne se soulevait qu'au rythme de sa respiration. Il portait un veste de costume avec son habituel jean slim, je souris doucement en l'imaginant de face, je voyais déjà son sublime visage et ses cheveux partant en bataille autour de sa tête.

Louis me fit un signe et je commença à m'avancer dans l'allée le bouquet entre les mains comme dans les films romantiques que j'avais si souvent regardée. Et comme dans ses mêmes films Harry se retourna et resta fixer sur moi ses yeux verts brillants. Moi non plus je n'arrivais plus à avancer éblouis par sa beauté. Il portait une chemise blanche légèrement ouverte qui laisser apparaître les deux hirondelles sur son torse, seule trace d'entre tout ces tatouages car ses bras noircis d'encres étaient couverts. Il était absolument magnifique.

Everything Has Changed Where stories live. Discover now