Chapitre vingt-trois.

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Il était assis par terre, il ne disait rien, sa respiration était encore lourde de toute sa colère.

J'avais séché toute mes larmes, je me contentais de le regarder. Il avait ses genoux collés à sa poitrine et m'avait interdit de l'approcher, je détestais ça.

J'étais assise sur le bord de mon lit, il était juste en face, il me fixait sans rien dire. À vrai dire nous nous fixions l'un l'autre.

Ça faisait mal car aucunes émotions ne passait dans son regard, j'avais l'impression qu'il me détestait, cette sensation était très dur à supporter dans l'état dans le quel j'étais.

Mais j'en avais plus qu'assez de pleurer, alors je gardais ma peine à l'intérieur.

Je me leva doucement posant mes pieds nue sur le parquet.

Je ramassa mes cahiers que Harry avait jeté au sol d'un revers de main. Je les posa sur mon bureau avant de m'agenouiller pour ramasser les stylos éparpillaient devant moi.

- Je suis désolé..

Sa voix rauque créa des centaines de frissons sur toute ma peau. Il avait mis ma chambre sans dessus dessous et je n'avais rien pu faire à part le regarder, terrifié.

- Ce n'est pas grave Harry.

J'entendis le froissement de son jean quand il se leva. Je ne le regarda pas me contentant de ramasser tout mes stylos pour les remettre dans ma trousse.

Je la reposa finalement sur le bureau à côté de mes livres. Puis je me retourna vers Harry, il était entrain de ramasser les coussins de mon canapé.

J'observais les muscles de son dos, à travers son t-shirt, bougeaient dans ses mouvement. Il était tellement beau.

C'était un ange, mais comment un ange pouvait-il avoir de tels axés de fureur. J'en venais à la conclusion que mon Harry était ce qu'on appelé un ange déchu.

J'étais là, et je devais l'aider à se remettre debout avant qu'il ne tombe encore plus bas. Mais comment j'allais faire si cet ange ne m'aidait pas et qu'il repoussait toutes mes tentatives pour l'aider ?

Je m'avança à pas lent vers lui. Il venait tout juste de finir de ranger, il se retourna vers moi.

Sans qu'il n'est le temps de réagir, je me jeta dans ses bras enroulant mes bras autour de son torse. J'en avais besoin, j'avais besoin de ce contact, de sa chaleur, de son odeur, de lui.

Il enroula ses bras musclés autour de ma petite taille répondant a la demande de mon câlin. Je resta un moment la tête niché contre son torse.

Je releva la tête pour croisé ses yeux verts perçant me fixant. Et dans un mouvement commun nos lèvres se rencontrèrent.

Mes mains glissèrent jusqu'à ses cheveux et mes doigts jouèrent avec ses boucles. Ses mains prirent mes cuisses en coupe et les monta jusqu'à son bassin.

Pendant ce temps nos lèvres ne s'étaient pas quittés une seconde, glissant dans un élan d'amour et de passion. Nos langues se battaient pour la domination de l'autre.

Il s'assied sur mon canapé sans détaché nos lèvres. J'étais entrain de gagné notre duel, je souriais contre ses lèvres.

Ma position dominante ne dura pas longtemps et je me retrouva allongé sur le dos. Il avait coupé notre baiser alors je fis la moue.

Il me surplombait, ses boucles tombaient devant son visage, lui donnant une allure angélique.

Ma main caressa sa joue avec douceur. Il me sourit avant d'apporter ses lèvres à mon cou, l'embrassant encore encore et encore.

Il parsemait ma peau de baiser doux et chaud. Je ne l'aurais échanger contre personne d'autre.

Mon épaule fut aussi ardemment embrassé par ses lèvres quand il tira sur mon t-shirt pour la dénudé.

Je sentis ses mains glisser sous mon t-shirt pour saisir ma taille tandis qu'il continuait à embrasser mon épaule, mon cou.

Des frissons à répétitions transpercé mon corps comme une lame.

J'aime le sentiments qu'il crée en moi, j'aime la sensation qui se crée dans mon ventre quand il m'embrasse, j'aime tout ces choses qu'il me fait ressentir juste avec un sourire.

Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime

Je ne pouvais rien explique de mes sentiments, il était bien trop fort.

Pour la deuxième fois, son portable vibra dans sa poche et mes lèvres laissèrent échapper un gémissement.

Il grogna en retirant ses lèvres de mon cou avant de répondre.

- Hey mec !

De là où j'étais je pouvais entendre la voix de Louis le saluer.

- Je te dérange.
- Un petit peu oui.
- Tu es avec Joy ?
- Oui pourquoi ?
- Vous étiez pas entrain de .... ? Oh tu sais quoi je veux pas savoir.
- Non on était pas entrain de faire l'amour Lou. Dit-il en me souriant malicieusement en même temps.
- Comment elle va ?
- Mieux, du moins je pense. Tu veux que je te la passe ?
- Ouais je veux bien.

Il posa le téléphone à mon oreille, pour que je le prenne.

- J'ai su pour ... tu sais ... cette après-midi. Il cherchait ses mots ne cachant pas trop ce qu'il devait dire. Comment tu vas ?
- Ça va.
- Ne me mens pas s'il te plaît.
- Je ne te mens pas, j'ai un merveilleux remonte moral. Je souris Harry qui avait les yeux fixaient dans les miens
- Alors c'est vraiment un meilleur coup que je le pensais.
- Mais non on a pas ... Je ris. Écoute peu importe.
- Passe moi le brun ténébreux qui est, je suis sûr, assis sur toi.

Je ris repassant le portable à Harry.

- Ça te dit une soirée entre mecs ?
- Rêve Tomlison, il est à moi ce soir !
- Elle nous entends, pas bon pour nos affaires ça !

Harry rit, ce son je ne pourrais jamais mon passé, il était si doux.

- Bon tu l'as entendu.
- Mec sérieux ?
- Non je ne la laissera pas tomber. Dit-il en caressant ma joue.
- Harry ?
- Oui ?
- Tu es trop amoureux.
- Et c'est mal ?
- Non, bon, bonne soirée les amoureux.
- Bonne soirée Lou. Répondis-je en chœur avec Harry.

Il raccrocha son portable et le glissa dans sa poche.

- Alors que veux faire ma fabuleuse petite amie ce soir ?
- Tu disais pas ça tout à l'heure.
- Joy, peu importe ce qui se passera, jamais, tu m'entends bien, jamais je ne cesserai de t'aimer et de penser que tu es parfaite.
- Je ne le suis pas.
- Arrête ça !
- Quoi ?
- Me tenir tête.

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