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James s'était écarté de mes lèvres comme s'il venait de se rendre compte que je le brulais et avait gémi, le regard choqué.

Je le regardai dans les yeux avant de me mettre à faire bouger ma main le long de son imposant, mais magnifique membre.

– Avec toi, je peux surmonter ma peur et mes doutes. Je peux être la vraie Mae, c'est ce que la vraie Mae avait envie de faire.

Je caressai le bout de son membre.

– Et elle l'a fait.

On dirait presque j'avais une double personnalité, oh doux Jésus.

James parut être en pleine noyade.

Doucement, encore sous le choc, il enleva ma main.

Il posa ses mains sur mes hanches et me rapprocha de lui.

– La prochaine fois, je saurai à quoi m'attendre, cette partie de toi est dangereuse.

Je passai mes jambes de chaque côté de lui et passai mes mains dans son dos pour le caresser.

Sa main gauche alla dans mon dos tandis que la droite allait saisir ma fesse.

– Tu es le danger ici, Jamie et tu le sais. Ce soir, tu ne me laisses voir que ce que tu veux que je voie.

Il caressa mon dos.

– Dis-moi ce que tu veux.

– Un baiser.

Il m'embrassa sans hésiter et avec une fougue qui consuma tout mon corps, me laissant à sa merci, pantelante.

Pourrai-je me lasser de ses lèvres?

Quand il les écarta, la réponse me vint. Non. Jamais, j'en avais la certitude.

– Ensuite?

– Sois gentil au début, c'est tout ce que je te demande.

Cette fois, sachant exactement ce que je voulais, je glissai la main entre nous et le pris dans ma main.

– Comme ça?

- Tu crois que je risque de me faire mal ainsi? doutai-je.

– Pas du tout, mais c'est ce que tu veux?

– Oui, sure et certaine, tu m'aides, je ne suis pas...

Il déposa sa main sur la mienne et nous guida vers mon entrée.

OK, tu y étais.

– Tu peux encore faire marche arrière et on oubliera tout ça, dit-il.

– Tu passeras la nuit sous la douche.

– Mais tu n'auras rien à regretter.

– Donne-moi encore plus de raisons pour ne pas regretter ce moment alors.

Doucement, je me baissai sur lui.

OK, doucement.

– Mae...

– Je peux le faire.

Lentement, mais surement, je le fis entrer en moi. Quand j'arrivai à la moitié, je grimaçai et me serrai les dents.

Merde. C'était quoi ça?

– Regarde-moi.

Je le fis, redressai la tête et il m'embrassa.

Il le fit doucement au début avant d'y aller plus passionnément, faisant encore un ravage en moi.

– Détends-toi, respire, tout va bien, fit-il en me caressant.

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