Le monde des rêves, ce monde mystérieux plein de choses étonnantes. Certains le perçoit comme juste monde irréel, lié à notre imagination, réaction de notre corps pour récupérer de l'énergie... Mais d'autres, le perçoit soit comme un fragment d'une...
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J'étais avec Ambre dans une sorte de ruelle de campagne. La ruelle était très calme : il n'y avait aucun passant ni aucun animaux. On suivait Bella de loin. Elle semblait être très en colère.
Puis, elle s'était fait agressée avant qu'on la rejoignait. Heureusement elle n'avait rien eu , sûrement parce qu'on était là car on l'avait suivi.
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J'étais accompagnée d'une fille, dont je ne savais plus si c'était Bella. On était dans le hall d'une entrée d'un magasin de grand surface du genre Carrefour ou Auchan.
Bizarrement, ce magasin semblait être fermé. Il y avait personne et il faisait noir, mais on pouvait tout de même y voir, notamment grâce à la lumière de l'extérieur. On s'avançait toutes les deux dans le magasin.
Plus on avançait, plus j'avais un sentiment de mal-être, de danger qui m'envahissait : il y avait quelque chose dans le noir, mais je ne voyais rien j'entendais rien. On s'avançait jusqu'à un ce que le chemin se sépare en deux : le chemin de gauche le plus sombre, et le chemin de droite le plus rassurant.
Je sentais que le danger était juste devant, il était trop proche ! Il fallait qu'on se barre d'ici et tout de suite ! J'avais alors dit à la fille sur un ton sérieux : « On ne peut pas rester ici, y'a quelque chose dans le noir ». Je pense que la fille aussi ressentait la même chose que moi car elle était terrifiée.
Après quoi, on courait alors le plus vite possible vers la lumière de la porte de sortie, mais c'était trop tard : la porte s'était refermée toute seule, la chose dans le noir l'avait fermé afin de nous empêcher de partir.
Le sentiment d'angoisse grandissait de plus en plus, au fur et à mesure que le danger s'approche de nous. Coincées au milieu du magasin, on n'avait plus le choix : il fallait se battre. Alors je m'étais préparée à contre-attaquer, prête à me battre pour ma survie. Mais bizarrement, je sentais que le danger commençait à s'éloigner jusqu'à disparaître.
La porte du magasin s'ouvrait alors, révélant deux employés en tenue de caissières. Elles rentraient dans le magasin sans se soucier de nous et allumaient la lumière par un moyen quelconque.
Tout était alors redevenu normal. Après quoi, on suivait les caissières jusqu'à être à nouveau devant la séparation de chemin. Le chemin de gauche donnait sur une galerie marchande, tandis que la droite donnait sur l'accueil et les caisses.
Le chemin de gauche semblait toujours plus sombre que le chemin de droite . Une sorte de sentiment de non-sécurité émanait de ce chemin.
Les caissières se dirigeaient ensuite vers des caisses et l'accueil, avant de s'installaient tranquillement, ne s'intéressant toujours pas à nous.
Après quoi, on se mettait alors à discuter avec ces caissières. Je ne me souviens plus de la conversation, mais je sais qu'une des caissières avait réussi à nous convaincre de faire un don. Elle sortait alors une demi-boîte coupée et le posait sur l'accueil.
On avait donc mis tous nos sous dans cette boite à don. Pour ma part, je n'ai pu mettre qu'un euro et quelques centimes. Puis, on s'était dirigée vers le fond du chemin de droite.
Un peu plus tard sur ce chemin de droite, je m'étais rappelée que les sous que j'avais était exactement le prix de mon ticket de bus. Alors j'étais obligée de retourner à l'accueil pour reprendre mes sous.
Arrivée devant l'accueil, j'avais remarqué qu'il n'y avait plus personnes. La boîte contenant les sous était toujours posée sur l'accueil. J'avais alors repris mes sous sans attendre, avant de repartir.
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Cette fois-ci, j'avais l'impression d'être une genre d'espionne ou un agent secret. J'étais habillée d'une tenue "d'agent de terrain" et j'étais accompagnée d'une autre agent.
On était dans une sorte de base souterraine, dans une salle assez chic et moderne. On était en train de chercher des informations quelconque. Il n'y avait personne d'autre avec nous.
Tandis que ma collègue était partie fouiller dans la salle d'à côté, je m'étais dirigée vers un sort de grand aquarium intégré dans le mur.
Derrière la vitre de l'aquarium il y avait une mini forêt tropicale avec des arbres, des cailloux, une cascade... Mais sur le bas de l'aquarium derrière la vitre, j'avais vu deux dessins d'œil sur deux petits bouts de papier distinct et séparé de ~20cm.
Sur la première feuille, il y avait le dessin d'œil que les filles (de mon lycée) dessinent souvent et sur l'autre un œil de démon.
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J'avais l'impression que c'est la suite du 3efragment de rêve. J'étais toujours accompagnée de la même collègue, mais cette fois-ci il me semblait qu'on était sur le toit de la base ennemie.
On était poursuivi par plusieurs personnes armées jusqu'au dents, femmes et hommes. Au bout d'un moment on était obligée de se séparer. Elle était donc partie vers la gauche et moi vers la droite.
J'avais pris la forme d'un loup afin de courir plus vite et de tenter de semer 5-7 ennemis qui me poursuivaient toujours. J'avais fini par perdre de vu ma collègue, mais j'avais continué à m'enfuir sans m'arrêter tout de même.
