Le monde des rêves, ce monde mystérieux plein de choses étonnantes. Certains le perçoit comme juste monde irréel, lié à notre imagination, réaction de notre corps pour récupérer de l'énergie... Mais d'autres, le perçoit soit comme un fragment d'une...
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J'étais sur un genre de pont/route en plein milieu de la mer, où des rochers formaient la base de la structure en béton. Je ne savais plus où menait le pont, ni d'où il provenait. Je savais juste qu'il fallait que j'avance.
Ce pont était abîmé avec des fissures et des obstacles en tout genre : des parties du pont manquantes, des blocs de rocher, des voitures rouillées... Il y avait aussi un gros rocher à côté du pont, situé dans la mer. Ce rocher était assez près pour qu'on puisse y aller dessus.
J'étais sous la tempête : il faisait gris presque noir, la mer s'agitait fort, il pleuvait, il y avait de la brume... Bizarrement, je voyais sans problème dans la tempête malgré la pluie incessante, sauf à certains endroits où je ne vois que de la brume.
Au loin dans la brume, on pouvait voir un autre pont. Celui-ci était plus haut placé et semblait être plus neuf et entretenu. Mais je ne pouvais voir jusqu'où ce pont menait.
Il y avait aussi 3 autres personnes avec moi sur ce pont : un homme assez âgé, une femme et un autre homme dans la trentaine. Je ne me souviens pus exactement de leur apparence.
Debout à côté de la bordure du pont, nous étions en train d'observer l'horizon, sauf l'homme à la trentaine. Pendant que nous étions distrait, l'homme s'était dirigé vers le gros rocher et y était monté par un moment quelconque.
Après un moment, nous finissons par se rendre compte que cet homme n'était plus à côté de nous, mais qu'il était sur le rocher, prêt à sauter dans la mer.
J'avais essayé de l'en empêcher, mais il m'écoutait point et fini par sauter dans cette mer extrêmement agitée. Son corps avait tout de suite disparu dans les eaux. Sa mort était inévitable.
Alors, le sentiment de rage et de colère commençaient à m'envahir. Ma respiration était forte et mes dents était serrées. Mais après un petit moment, j'avais fini par me calmer.
Nous avions ensuite repris le chemin. Je guidais les survivants à travers le pont, sans s'arrêter, jusqu'au bout du pont. Là-bas, se trouvait une grande montagne très haute avec des pentes très lisses.
La pente était extrêmement difficile à grimper voir impossible à première vue. Mais malgré cela, le vieux monsieur et la femme commencaient à grimper tant bien que mal la montagne.
Tout un coup, je m'étais souvenue l'existence d'une petite porte tout en haut par laquelle il fallait que je passe. J'avais alors commencé à mon tour à grimper. Dès les premières prises, je m'étais rendu compte que je n'avais pas de gravité contrairement aux autres, ce qui me facilitais extrêmement la tâche.
Puis, bizarrement, je m'étais aussi rendu compte que me dirigeais instinctivement, sachant exactement par où passer, comme si je l'avais fait toute ma vie.
