Le monde des rêves, ce monde mystérieux plein de choses étonnantes. Certains le perçoit comme juste monde irréel, lié à notre imagination, réaction de notre corps pour récupérer de l'énergie... Mais d'autres, le perçoit soit comme un fragment d'une...
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J'étais dans un endroit qui ressemblait à moitié à mon lycée mais qui n'était pas complètement mon lycée. J'étais avec Bella dans un genre de bar/snack ouvert sur une grande place bétonné. On était assise au bar et on discutait, il y avait des gens autour. Puis Bella s'est levée et est allée voir une personne qui était assise sur une table plus loin avant de revenir.
Elle avait ensuite continué à me parler encore, debout devant moi, avant de venir sur moi et m'exciter en bougeant sur mes genoux d'une manière très provocante. J'aurais voulu qu'elle continue mais malheureusement on était dans un endroit public de plus qu'une petite fille était derrière nous en train de nous fixer bizarrement. Je lui ai donc dis d'arrêter puis je suis allée dans la cour de mon lycée.
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J'étais cette fois ci avec une tout autre genre de compagnie : un genre de petit être rose avec des petits bras et des jambes. On était soi au fond d'une grotte soi tout en bas d'une vallée, dans le monde de Minecraft avec la terre en cube (J'ai encore une fois trop geeker à Minecraft avant de dormir XD). Alors, pour monter tout en haut, le petit être rose et moi avions pris un petit minecart (petit wagonnet, véhicule sur les rails), où c'était lui qui le pilotait.
Au long de notre monté, nous avons croisé des chevaux qui ressemblait aux chevaux de Minecraft, et des personnes dont on ne connaissait pas. Étant donné que le wagonnet monte doucement, j'ai pu faire des câlins à quelques chevaux au passage. Mais tout à coup, vers tout en haut de notre monté, une femme qui semblait nous suivre depuis tout à l'heur se met à tuer tout les chevaux qui nous suivaient.
J'ai alors pété un câble, je suis descendu du minecart et sous l'effet de la colère, je me suis transformée : je savais que mes yeux ont changé et mes dent ont poussé. Je suis allée la tuer en lui mordant dans le cou.
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J'étais sûrement arrivée tout en haut, dans une genre d'habitation japonaise. Le sol était couvert de planche de bois foncé et à droite de là où je venais, il y avait une ouverture pour aller dehors. Il y avait des 2-3 femmes noires et blanches dans cette salle ainsi que dehors. J'étais encore un peu sous la rage à ce moment là, je les ai donc alors tous tué de la même manière (en les mordant dans le cou) en commençant par les deux personnes qui étaient dehors. Puis j'ai terminé par la personne qui était dans la maison.
Bizarrement ces personnes n'avaient pas de sentiment de peur avant leur mort, ni de tristesse. Quand j'ai fini de tuer cette personne dans la maison et qu'elle était allongée par terre, là je ressentais que mon corps avait entièrement changé : j'étais plus grande et plus imposant que d'hab. J'ai alors compris que j'avais vraiment pris la forme d'un loup-garou. Après il y avait une autre femme qui venait tout juste de rentrer dans la pièce. Elle était trop loin pour que je l'atteigne alors, je ne sais pas trop pourquoi surtout sous une telle forme, je me mettais à faire semblant que j'étais assommée.
J'ai attendu un moment, puis quand j'ai ouvert mes yeux, la femme noir que j'avais tué ainsi que la femme qui venait de rentrer dans la pièce n'étais plus là et les traces de sang avaient disparu. Puis j'ai entendu des discussion dehors, j'ai alors tourné la tête et par la fenêtre, je les ai tous vu, les personnes que j'ai tué. Elles étaient tous vivantes et en pleine forme, en train d'arroser les plantes du jardin et de discuter. Je me suis alors recoucher pour pas qu'elle me voit puis j'ai ramper jusqu'à ne plus être devant la fenêtre. J'étais alors arrivé dans la salle jonction entre l'intérieur et dehors, puis c'était comme si j'avais une bref rage, une petite envie de tuer mais qui était très fort.
J'ai sauté sur une des dames et au lieu de seulement lui mordre au cou, je lui ai mordu puis avec mes deux mains, j'ai arrachée la tête de son corps sans effort. Là, enfin, un air horrifié se dessinent sur le visage de tout les dames. La tête de la femme que j'ai arraché tombe par terre et roule tout doucement.
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