PARTIE 13

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Je pousse la porte de la chambre et je le vois là, allonger sur sur le lit. Je ne pouvais que me sentir coupable pour mon mensonge. C'est mon garçon qui est sur ce lit. La chair de ma chair.
Je m'approche de son lit pour lui parler.

Moi - Mon cachalot !? Je me sens responsable de ce qui t'arrive. Je te jure que je m'en veux terriblement. J'espère que tu vas t'en sortir et que nous pourrions reprendre notre ancienne vie là ou elle s'est arrêtée.

Thierry - Allez faut rentrer chérie, on repassera demain. Laissons-le se reposer.

C'était vraiment mon pillier et surtout c'est grace à lui si mon fils est encore en vie. Je ne voulais pas allez lui prévenir pour les pâtes à la carbonara mais lui il a insisté. C'est l'Homme parfait j'en suis sur et certaine. Après ma séparation avec le père de François je mettais jurer de ne plus retomber dans les bras d'un homme, mais avec Thierry c'est tellement différent.

Nous arrivons à la maison je vais direct m'allonger sur le canapé. Je n'avais plus de force. Je ne voulais rien faire juste m'allonger et avoir du silence tout autour de moi.

Thierry - Tu veux manger quelques choses ?

Moi - Non merci ! Je veux juste que mon fils reviennent à la maison tout de suite !

Lui - Ma puce ne t'en fais pas. J'en suis sur qu'il va s'en sortir. Faisant lui confiance. Mais j'aimerai savoir pourquoi il t'a pris de l'argent.

Moi - J'aimerai aussi comprendre tout au tant que toi. Mais pour l'instant c'est impossible et je ne sais même pas s'il va se réveiller. Je te jure (en pleurant) Thierry j'ai trop peur de le perdre.

Lui - (me prennant dans ses bras) Tu te fais du mal là. Personne ne pouvait se douter qu'il allait faire une telle chose. Maintenant faut juste y croire et prier le bon Dieu pour qu'il puisse l'aider à s'en tirer. Mais je te jure que je ne te laisserai pas dans ce chagrin. On va le vivre ensemble ce combat.

Je ne dis rien, mais ce qu'il me dit me rassure et je sais que je peux réellement compter sur lui quoi qu'il arrive.

...Trois jours plus tard...

Chaque jour Thierry et moi allions souvent à l'hôpital. Les médécins nous disent qu'il va s'en sortir mais tant que je ne l'aurai pas vu ouvrir les yeux je ne peux y croire en leurs paroles.

Il est 21h et on venait de rentrer de l'hôpital.
Dring Dring...

Moi - Un instant !

J'ouvre et c'était Youssouf le camarade de mon fils.

Lui - Bonsoir Madame excusez-moi de vous déranger si tard, mais ça fait 2 jours que j'ai aucune nouvelle de François. Il est là ?

Moi - Non. Il n'est pas là. Il est à l'hôpital depuis trois jours.

Lui - Il est malade ?

Moi - Si seulement. Il a fait une tentative de suicide et il est dans un coma artificiel.

Lui - ...

Moi - Youssouf je sais que tu es très proche de mon fils et j'aimerai savoir s'il avait un problème avec un camarade ou un malaise.

Lui - Ce n'est pas à moi de vous le dire.

Moi - Je suis sa mère et mon fils peut mourir à tout moment et je ne veux pas qu'il parte avec ce secret tu es le seul qui puisse m'eclairer dessus.

Lui - En fait il sortait avec une fille...

Il m'explique l'histoire avec les détails. Je n'en croyais pas mes oreilles, une fille qui se comporte de la sorte merite qu'on lui tape sur la gueule. Lui il l'aimait mais elle aimait ce qu'il sortait de sa poche. Quel gâchis !

Amour, Mensonge & TrahisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant