Chapitre 89

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As-Salamu 'Aleykum .

« toi et moi Cest la même »

- chapitre 89 :

Mes mains sont devenu moites. J'ai commencer à trembler, mon s'est accéléré.. Nassim lui a dit. Vu l'expression de son visage ça ne pouvais être que ça.

-Moi : De quoi tu parle Imran !?
- Imran : je vient d'avoir mon frère au téléphone. Ça te dit quelque chose ?

Il lui avait dit..  Il tapa son poignet contre la table.

- Imran : T'as couchée avec mon frère !?
- Moi : ..désolée..

Il s'est levé, il a jeté la table et il est sortie du restaurant. Je lui court après.

- Moi : Imran c'est pas dans les conséquences que tu crois, écoute moi s'il te plaît.

Il disait rien..

- Moi. : IMRAN REGARDE MOI.

Il se tourne vers moi, m'attrape par les épaules.

- Imran : écoute moi petite conne, je vais pas me mettre dans tout mes états pour ta gueule. Si j'avais su que t'avais couchée avec lui, je ne t'aurais même pas regarder. MAIS TOI TU OSES ME REGARDER DROIT DANS LES YEUX ET ME DIRE QUE TU M'AIMES.

J'ai commencer à pleurer à chaude larmes, je le retenais par son avant bras.

- Moi : J'te jure que je t'aime. wAllah je t'aime. NE DOUTE JAMAIS DE ÇA! Je suis désolée pour ça, nous étions pas ensemble à ce moment.
- Imran : Mais de ça je m'en bats les couilles. T'aurais du me le dire, avant que je tombe love. Sale vicieuse.
- Moi : Imran arrête.. ne pars pas.. me laisse pas.. je t'en supplie..

Il dégage mes mains de son avant bras.

- Imran : JE NE VEUX PLUS JAMAIS ENTENDRE PARLER DE TOI, c'est bien claire Sofia ? Oui je t'aime. Moi aussi je t'aime putain.. JE SUIS QU'UN CON À CAUSE DE TOI. Dégage sort de ma vie maintenant.

Je m'écroule par terre.. dans la rue..

- Moi : s'il te plaît..

J'avais une petite voix..

- Moi : ne pars pas Imran..

Il m'a lancer un dernier regard avant de s'en aller.. Tout était si parfait entre lui et moi.. je l'aimais d'un amour indescriptible.. je l'aime toujours autant.

Je pleurais encore et encore dans cette ruelle.

- moi : IIIIIMRAAAAAN

J'ai crié ma douleur.. j'ai crier ma souffrance... sans lui je ne suis plus rien.. il me donnait une raison de vivre.. je suis peut-être une folle à l'aimais comme ça.. mais c'était toute ma vie..

Toute décoiffée, mon maquillage qui avait tout couler, mes habits souiller. Mais je m'en foutais. Je veux juste Imran. J'ai perdu la seule personne qui me comprenne sans qu'aucun mots sortent de ma bouche..

J'ai sorti mon téléphone et j'ai appeler Sonia..

- Moi : il m'a abandonner Sonia.. il m'a laisser..

J'étais toujours en pleure.

- Sonia : envoie ta localisation. Tout va bien aller Sofia.

J'lui ai envoyée.. je suis aller m'installer sur un banc.. Sonia est arrivée avec Aliha. Je leur ai courue dans les bras.

- Moi. : il est parti les filles.. JE PEUX PAS SANS LUI..
- Aliha : tient,  boit de l'eau, assis toi.

Elle me fait assoir et me passe l'eau.

- Aliha : Tu vas sûrement pleurer plusieurs jours. Jusqu'a ce que tu l'acceptes.
- Moi : jamais je pourrais accepter ça..
- Sonia : il le faudra putain.
- Moi : mais je l'aime les filles.. c'était ma raison de vivre.
- Aliha : Pleure. Sofia pleure un bon coup.. tu en as besoins pour tout évacuée..

Elle m'a prit dans ces bras et j'ai pleurer.. encore et encore. Mes larmes n'arrêtaient pas de couler.

- Sonia : Sofia on est là..  on te laissera pas.
- Moi : Je veux simplement.. Imran !..

Aliha me serrait fort dans ces bras. Je pensais que j'allais vivre heureuse jusqu'à la fin de ma vie au près de lui..

- Aliha : Sofia, t'aura sûrement la tête pour rien aujourd'hui. On va t'accompagner chez toi. Et la nuit, fait ta prière de consultation. Allah est notre raison de vivre Sofia.

[...]

Arrivée chez moi, j'ai prit une douche.. je me regarde dans le miroir..

- Moi : t'es vraiment qu'une conne Sofia..

Tellement que mon reflet m'énerver j'ai envoyée un coup de poing dans le miroir.. ma main a commencer à saigner.

- Moi : putain..
- Aliha : Mais ça va pas Sofia ? Faut pas se faire du mal comme ça !
- Sonia : je vais chercher le désinfectent.

Je me suis allonger par terre dans la salle de bains.

- Moi : j'arrive pas à le digérer..
- Aliha : vous aurez sûrement une autre discussion Sofia. S'il t'aime vraiment il arrivera à faire impasse sur ça. Vous n'étiez même pas ensemble lors des faits. Là, tout c'est passé sous les coups de la colère, et retient que même sur ce coup de colère il t'a dit qu'il t'aimais Sofia.

Elle a le dont de réconforter les gens. Elle me soigne la main.  Je me lève du sol.

- Moi : désolé les filles de cette crise.
- Sonia : c'est compréhensif ne t'inquiète pas.

Je leur sourit, et elles partent. J'ai voulue l'appeler.. mais j'me suis dit que ça sera sûrement mieux si je le fais demain.

Quelques jours plus tard

Il n'a jamais répondu à mes appels. Voilà maintenant une semaine que je suis sans Imran.. c'est difficile de vivre sans lui.

Je sortais même plus de chez moi. Je pleurer chaque nuits, et même pendant mes journée je pleurer..

Je me dit que, si c'était moi qui lui avait dit peut-être que ça serait passer autrement ?.. je me posais un tas de question ainsi.

Mon téléphone s'est a sonner, j'ai courue pour répondre pendant que c'était Imran. Mais c'était Adam.

- Moi : Allô ?
- Adam : Salut Sofia, il faut qu'on se voit.
- moi : Je veux pas te voir Adam.
- Adam : J'te jure que je n'ai aucune arrière pensée. Je veux simplement te dire quelque chose. Et je préférais te le dire en face.
- Moi : Je peux m'en passer. aller bye.
- Adam : Non ! Raccroche pas. C'est en rapport avec Camélia.
- Moi : Elle a faillit me tuer y'a quelques semaines.
- Adam : Oui.. je suis au courant. C'est pour ça que je t'appelles. Si tu veux tu peux venir avec imran.
- Moi : C'est bon, je vais venir. On se voit dans 10 minutes c'est bon?
- Adam : Ouais, je vient en bas de chez toi.
- Moi : D'accord.

Ça m'inquiétais un peu.. quand on parle de Camélia j'ai toujours un peu peur à vrai dire.
Je suis descendue. A vrai dire, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vu. Mais j'imagine qu'il est revenu en France.

- Adam. : Surpris que tu ne soit pas venu avec imran.
- Moi : Tu pourrais simplement venir à ce que tu voulais dire ?
- Adam : Quelqu'un a tuer..

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Hlel à Keh Où les histoires vivent. Découvrez maintenant