Chapitre 2

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PDV Jeff:

-On se revoit plus tard, Jeffrey Woods ...

-Hmpff... (traduction: « Salope... ») essayais-je de répondre malgré le foulard avant de me faire happer par le néant.

Ma tête me faisait souffrir, j'avais l'impression que quelqu'un avait décider de jouer du tambour à l'intérieur. Il n'y avait pas que ma tête d'ailleurs, tout mon corps me lançait, je sentais que quelque une des mes côtes n'avaient pas supporter le passage des trois monstres dans leur tentatives pour m'immobiliser. Toujours dans le patté, je voulus bouger mes mains dans le but de me redresser...impossible. Je réessayai mais rien. Je ne pouvais pas bouger et je ne voyais rien non plus, ce que j'identifiait comme un masque de sommeil ne m'offrait pour vision que du noir. En frottant ma tête contre le sol mou et tiède, je réussis à le retirer:

-Putain de merde...

La réponse à mes question concernant ma position et l'endroit où je me trouvais s'exposait à ma vue dans une blancheur aveuglante.

Hôpital psychiatrique.

J'étais retenu dans une camisole de force, m'empêchant de bouger et plaquant mes bras sur mes côtes blessées. Tout était blanc et capitonné: le sol, les murs, le matelas, seul la porte était faite dans ce qui me semblait être du plexiglas, épais de plus de 5cm, offrant une demi vue sur la chambre d'en face...

-Merde, répétais-je...

Je tentai une nouvelle fois de me relever en m'adossant au mur cette fois-ci; mon stratagème fonctionna. Mais à peine eu-je fais un pas que je chancelai et retombai lourdement au sol, la face contre mousse. J'étais comme vidé de mes forces, encore sous effet de la piqure qu'elle m'a faite? Elle!! Ou était-elle cette sale garce! Cette...CETTE SALE BLONDASSE AVEC SON AIR HAUTAIN!! VIENS QUE JE TE BUTTE!!! J'vais t'butter j'vais t'butter j'vais t'butter j'vais t'butter j'vais t'butter j'vais t'butter j'vais t'butter J'VAIS T'BUTTER J'VAIS T'BUTTER J'VAIS T'BUTTER J'VAIS T'BUTTER J'VAIS T'BUTTER J'VAIS T'BUTTER J'VAIS T'BUTTER J'VAIS T'BUTTER J'VAIS T'BUTTER!!!!! Je me relevai tant bien que mal, me jetai contre la porte et retombai en arrière. Je réitérai ce manège jusqu'à ce que deux infirmiers entre dans ma cellule et me ré-injecte une dose de calmant. Ils ressortirent aussi vite qu'ils étaient venus, me laissant étendu sur le sol à demi-conscient.


Petit chapitre, je l'admets, mais le prochain sera un peu plus long ^^' (enfin, je crois?). N'hésitez pas à me donner vos avis et impressions! J'espère que ça vous à plus! 

Zu bald mein Kinder!

-Chess-

Creepypasta:  "EDEN"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant