Romane, Drago, Sang mêlé et Sang pur [TOME 1]

Le passé.

Par le passé, vous le savez, nous avons créé ces quatre maison. Mais Salazar avait découvert un moyen de devenir, plus puissant, d'avoir plus de pouvoir, plus que n'importe quel sorcier ou mage.
Pour exemple, il aurait pu tuer un Magmar à pointes rien qu'en le regardant.
Un tel pouvoir ne peut être présent sur notre planète terre.
Personne ne peu le posséder.
Sans oublier que pour l'obtenir, il fallait d'innombrables sacrifices.
Tuer, tuer, tuer.
Tuer sans compter.
Les enfants, les adultes, les vieillards. Tous y passaient.
Nous avons décidé d'intervenir.
Il risquait de faire un mal bien trop grand à un nombre d'innocents incalculable.
Nous avons donc usé de tous nos pouvoirs pour l'empecher de faire du mal à un nombre trop important de personnes, sorcières ou moldues
Mais, lorsque nous fûmes confrontés, Salazar avait déjà acquis énormément de pouvoirs. Alors nous peinions à le vaincre. Nous finîmes par l'affaiblir assez pour l'enfermer. Mais son coeur était trop dur pour nous. Il aurait fallut, non seulement, de jeunes gens, mais un coeur de Tigre. Ce qui vexa profondément Goddric car il avait un coeur de Lion, et donc une immense fierté. Et il fallait aussi avouer que son égo avait pris un sacré coup.
Il nous à fait la tête pendant plusieurs semaines.
Mais la fatigue nous étraignait et nous savions que nous n'aurions pas la force de combattre Salazar une nouvelle fois. Alors nous avons écrit ce mot à l'intention de nouvelles générations. Nous avons posté une boîte temporelle qui avait pour unique mission de s'arrêter dans la période où les héros pourraient arrêter Le fondateur de la maison Serpentard. Cette une histoire bien trop longue à raconter en détail.
Mais malheureusement, bien que vous soyez de vaillant jeunes gens, il aurait fallut un  Serpentard pour nous aider. Pour connaître les points faibles et fort du fondateur de sa maison.
Bien que cela fasse mal à Gosdric, il fallait un Serpentard. Et nous nous excusions de vous avoir menacé. C'est vrai que nous n'aurions pas dû.
C'est enfin là que s'achève ce que nous avions à vous raconter.