Chapitre 51

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Je court et m'éloigne. Je m'enfonce de plus en plus dans la forêt, je saute et esquive les boule de feu qu'il m'envoie.

-Arrête de fuire!! C'est pas toi qui voulait combattre ? Crie t'il derrière moi.

Il apparaît soudainement devant moi, je m'arrête brusquement et tombe au sol. Je regarde derrière moi, l'école n'est plus visible. Ils ne risquent plus rien. Je me relève en un bond et lui donne un coup de pied qu'il attrape. Avec mon pied qu'il tien, il m'envoie dans les aires, ma tête tape une nouvelle fois, violemment le tron d'arbre. Si sa continue comme ça, je vais finir la tête éclatée. Je sens un liquide couler le long de mon front pour venir s'échouer le long de mon oeil gauche.

Je me relève pas encore battu. Je sors tous ce que j'ai. Mes encore une fois, il arrive a me frapper et ceux même de loin.

Est-ce mes ailes qui lui donne tant de force?

Dans ce cas, il faut que je l'ai brûle.. mais brûler mes ailes reviendra a me brûler... Bon.. mourir pour sauver des tonnes de vies, c'est plutôt cool, alors je me plaint pas!

Je joins mes deux mains à plat. Je murmure doucement l'appel à l'aide. Je murmure doucement mon souhait. Mes cheveux flotte, je le demande pourquoi Loïc ne m'attaque pas, en revanche il essaye de me déconcentrer :

-Tu sais comment j'ai fais pour devenir aussi fort? Pour passer ta sorte de barrière?

Je fronce les sourcils et évite de me concentrer sur ses paroles pourris.

-J'ai tuer ma propre sœur ! Juste pour devenir plus fort. Elle me casser les couilles avec ses "Je peux pas, Syna reste notre amie! On peux pas lui faire du mal". Ce qu'elle était chiante mais tu sais quoi? Même au dernier moment elle croyait que tu serai là, pour la sauver. Comme c'est pathétique..

Mes yeux s'ouvre grand. Des larmes coulent le long de mes joues. Quelques choses se brise en moi.. je m'écroule au sol. Je garde les yeux rivés sur lui, son visage reste aussi impassible, il ne ment pas.. j'ai beau sonder/lire sont esprit.. il dit la vérité, il l'a vraiment tuer... Mon coeur se serre, il s'écrase entièrement.. Elle était comme une soeur pour moi.. cette fille était tout.. elle était mon amie, ma meilleur amie, mon ennemie, ma soeur...

Mes épaules sont secouée par les sanglots, je hurle de douleur.

Une chose horrible se forme au fond de moi, une chose sans pitié et remplie de haine exactement comme il l'a souhaité. Ma douleur reste présente pour animé la haine qui dance. Je me relève comme un zombie et court vers lui. Il m'éjécte une nouvelle fois contre l'arbre mais je me relève oubliant la douleur physique.

Je saute et esquive sont coup, je lui envoie un coup de pied dans le ventre. Il deviens rouge de colère. Il me me pousse contre l'arbre et m'étrangle :

-Tu te croyais humaine alors autant mourir d'une façon humaine!

Il ressert son emprise. Mes yeux me pique. J'éttouffe..

Je vois déjà flou, je sens les battement de mon coeur ralentir..

FlashBack

-fermer les yeux et pensez fort a la mort. Accepter là et propulser la autour de vous, tous ceux qui seront à moins de deux mètres seras aussi morte que vous. C'est simple a dire mais difficile à réaliser, il suffit juste d'accepter la mort et de la partager. Chuchotais-je en lisant les pages du livre Noir.

C'est flippant! Jamais j'utiliserai sa, c'est sadique voir même psychopathe.. j'en frissonne rien qu'a y penser, celui ou celle qui a recourt à cette horrible formule et bien bonne chance.

La porte de notre chambre s'ouvre et se referme, je sursaute et ferme le livre pour le planquer en dessous du lit. Je me lève, un grand sourire sur le visage. Je papiotte des yeux et dit doucement :

-On peut dormir ensembles ?..

Un souris en coin se dessine sur son visage. Puis il me tire la langue. Je reste bouche bée devant se geste puérile, il s'allonge dans son lit et me tourne le dos. Il me fait la gueule?
Mon sourire s'agrandit, je me glisse a mon tour dans mon lit sachant que dans la nuit, il viendra me rejoindre mais je dors mieux quand je sais qu'il est a mes côtés..

Je souris en le sentant se glisser sous ma couette.

-Ça sera la dernière fois.

Je hoche de la tête, il dit toujours ça mais au fond, je sais que tout comme moi, il n'est pas prêt a me quitter. Je me retourne et pose ma tête sur son torse, j'enroule sa taille de mon bras. Un doux sourire sur le visage, je m'endors comme un bébé..

Puissance [Terminer]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant