Point de vue de Nancy
Quand je me réveille, je me suis retrouvé dans cette voiture noire, avant même que j'analyse ceux qui me tiennent compagnie, la voiture s'arrête devant une grande villa. L'un des hommes m'ouvre la portière, pendant que l'autre me tient la main, comme s'il ne veut pas que je m'échappe. Je le suis sans me faire prier.
Après une longue marche, ils s'arrêtent devant une chambre, malgré la beauté de la maison et toutes ses choses que j'imagine être de grandes valeurs, la maison reste comme sans âme, beaucoup trop calme et tellement silencieuse que j'entends les battements de nos trois coeurs. Ce silence de cimétière est beaucoup à mon goût, cette maison même me rappelle notre première maison, là où vivaient moi, mon père et ma mère, malgré cette harmonie qu'il y'avait entre nous, malgré nos rires, nos joies, notre maison restait toujours calme. Malgré ce calme, on ressentait tout les trois cet immense et grand amour qui nous unit. À ces souvenirs, une larme coule sur ma joue.
Je l'essuie rapidement, quand l'un des hommes frappe à une porte. Puis j'entends une voix digne d'un homme de confiance affirme:-Vous pouvez entrer.
Les deux hommes suivit par moi, pénètre la pièce, que j'imagine être un bureau, un grand bureau, plus grand que le salon de ma maison.
L'homme derrière le bureau s'avère être un grand homme, de la cinquantaine, avec des cheveux bien coiffés, disons trop bien coiffés à mon goût, il portait des lunettes , son bureau remplit de feuilles bien arrangés. Sur le mur, il n'a aucune photo.
Cet homme fait signe à ses hommes de sortir, ce qu'ils exécutent à l'instant même. Il enlève ses lunettes et n'arrête pas de me regarder comme s'il enregistre chaque détail de mon corporel. Et quand ses yeux marrons se fixe dans le mien, je le regarde hautement sans cligner des yeux. Il est le premier à me quitter des yeux, mais pour la fixer sur une photo de moi. Je me demande ce que cet homme veut de moi, est ce qu'il fait partie de ceux qui voulaient m'enlever.
Il me sort de ma bulle quand il me demande:-Comme ça tu es Nancy Jones !
Avec une pointe d'ironie dans sa voix.
-En chair et en os!! Réponds je sur le même tonJ'ai jamais été une soumise et je ne la serai pas auhourd'hui. Etre respectueuse ne veut pas dire se laisser faire. La vie m'a bien appris à ne pas faire confiance à ceux qui se montre être digne de confiance.
Il pousuit:
-Tu t'es peut etre demandée la raison de ta présence ici?
-Vous avez presque bien déviner cher monsieur, je me suis demandée la raison de mon ENLÈVEMENT'!!-J'y vais directement, j'ai une proposition à te faire chère Mlle Jones.
-Une proposition? À moi?
-Oui, à nulle autre que toi.
-Alors je t'écoutes!
-Tu acceptes de te marier à mon fils, et tu auras la vie de rêve que tu as perdu......
J'arrange une mèche de cheveux, et je lui fixe profondement, d'un regard peut être intéressée, mais qui est cet homme? Qu'est ce qu'il en sait sur ma vie? Me marier? Moi? Qui est son fils?
Il n'en est pas question. Je resterai avec ma mère jusqu'à ce qu'elle n'aura plus bésoin de moi. Jamais je ne lui quitterai, jamais.
L'homme me fixe des yeux et continue:
-Tu auras autant d'argent que tu voudras, là maison qui te plaira. Tout et tout.. Alors tu en dis quoi?J'allais lui répondre quand mon téléphone sonne, ce sont les urgences.
Sans réfléchir, je décroche;
-Mlle Jones?- Oui c'est moi
-Votre mère est à l'hopital, elle souffre d'une pneumonie et celà necessite à l'urgence une opération, notre pneumologue est malheureusement en retraite.
-Ça veut dire quoi tout ça?
-Il y'a une solution, il n'a pas de medecin specialiste dans ce domaine digne de faire l'opération de ta mère dans notre continent, cependant d'après nos recherches, il existe un hopital à Port-vila une petite ville en océanie, oú il y'a un spécialiste disponible. N'ayant pas trouvé d'autres membres majeurs de votre famille, l'hôpital se charge du tansport, et les frais seront transférés sur le compte de ta mère. Mais on a besoin de quelqu'un d'autre que toi de ta famille pour signer le contrat de l'opération.
-Ce sera fait madame, j'accepte. Merci, j'y serai dans quelques minutes.
Le téléphone raccroché, désormais ma vie n'existe pas, ma mère, ma chère mère, j'y crois pas. Il n'en est pas question que je faiblis. JE N'AI PAS LE DROIT D'ÊTRE FAIBLE..
La tête haute, mon regard dans celui de mon interlocuteur, je lui répond avec une voix remplie de rage et d'amertune:
-J'accepte.......
JE JURE, QUAND LA VIE S'OBSTINE À VOUS FAIRE DES SURPRISES DIGNE DE CE NOM, ELLE NE S'ARRÊTERA...... PAS
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REGARDS DE FEUX
Romance-Mais tu es vierge! dit il de sa voix rauque et sensuelle -Prends mon sang, je te l'offre! l'ordonnais t-elle. Qui aurait imaginer Nancy Jones, dans les bras d'un inconnu à lui offrir la seule chose qu'elle a toujours préservé, sa virginité. Pourtan...