Chapitre n°15

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Après une bonne douche chaude, je rejoins Eren qui parait déjà mort de fatigue alors que c'est moi qui suis malade. Je prends discrètement une cuillère de sirop trop bon, parce que... Bin... C'est bon, et je trouve que c'est excuse suffisante pour en reprendre. Je le rejoins quelques temps après, en ayant pris garde d'effacer toute preuve contre moi. Je me retourne et aperçois le grand Dadais me regarder intensément. Je place mes index en faces, avant de me tapoter le bout des doigts et de baisser légèrement la tête. Tel un enfant pris sur le fait.

-"Je t'ai vu... T'es vraiment pas discret ...

- Mais ! Heu ! C'est pas moi ! C'est le sirop !

- Pff... Arrête de dire des bêtises et vient dormir !!"

On rigola tous les deux comme deux gros dégénérés que nous sommes, avant que je rentre sous le lit chaud, je tiens à le préciser. Ça me fait un peu bizarre de dormir avec lui. Mais. . . D'une certaine manière c'est plaisant. Je me met de côté, et tourne ma tête de son côté. Il me regarde... Je dirais tendrement ? J'ai envie de vomir tellement c'est cul-cul la praline de la façon qu'il me regarde. Je lui fais mon fidèle scarFace, avant de me retourner de l'autre côté du lit. Je sens sa main sur mon épaule, il a décidément décider de me faire chier ! Je tourne légèrement la tête vers lui pour qu'il entende ma voix, mais avant qu'un quelque conque son ne sorte, il m'embrasse sur le front. Je fais mine de m'essuyer, en lâchant un grognement. Je sens mes joues s'empourprées. J'ai terriblement aimer ça en vrai. Je pose ma main délicatement sur ma joues, encore les joues rougies, avant de m'en dormir.

La nuit se passa plutôt calmement. Je me réveille doucement, mais à mon grand malheur, Eren n'est plus là, et un Eren pas là égal lit froid. Le lit était donc froid. Je précise pour ce qui avait pas compris. La pièce est sombre. Les rideaux tirés. La lumière éteinte. Je ne discerne quasiment rien. Je me lève chancelant, toujours sous l'emprise de la maladie. J'avance vers ce qui me semble une porte. Mais ? Depuis quand il y a une porte à cet endroit ? Normalement il n'y en pas... Et puis, la pièce me paraît plus petite. Je n'y comprends plus rien. Je suis vraiment chez Eren ? Je pousse lentement la porte qui émet un grincement bruyant, signe de son mécontentement. Ou alors pour me prévenir. Mais de quoi ? Je n'en savais rien. Je vis une lueur au loin. Je suis dans un couloir. Le vent souffle dans mon dos. La froideur de la pièce me donne des frissons. Je continue pourtant de marcher, malgré ma constante peur qui me prends la gorge, et me sers le ventre. Un léger son me parvint. Un son subtile. Je pris de l'allure, trottinant, je m'avança vers cette lumière qui brillait au loin, dans ce couloir sans fond. Le vent souffle plus fort. Je me mis à courir par réflexe, une larme coula le long de ma joue. Mes poumons me brûlent, mes dents sont serrées, mes mains crispées. L'angoisse m'étrangle. Je crie. Je crie un mot que je n'aurais jamais pensé crier.

- « Maman ! »

Je m'arrête soudainement. Maman ? Maman. Maman ?! La lumière disparue, une main me tapota le dos. Le visage éclairé de ma mère me fit face, un léger sourire protecteur glissa le long de ces lèvres, les yeux mi-clos. Une rivière rouge coula le long de son crâne jusqu'à son menton. Je resta la bouche grande ouverte. Ne pouvant ni faire le moindre mouvement, ni émettre le moindre son. Mes yeux étant écarquillés.

Elle ouvrit doucement la bouche et formula un son, des mots, une phrase. Elle me glaça le sang.

- « Livaï, fuis. »

Une lame luisante traversa son crâne. Des yeux méchamment lumineux surplombaient le cadavre. Je me mis à crier.

- « MAMAN ! »

Je me redressa en sursaut. Le souffle cours, haletant. Les joues rouges, et le regard choqué. Une main sur ma poitrine. Mon rythme cardiaque est beaucoup trop élevé. Je tente de me calmer. Mais les larmes coulent le long de ma joue sans que je puisse les arrêter. Je me mis à sangloter doucement.

Je sens une main se mettre sur mon épaule, et un corps d'une chaleur réconfortante se coula à moi. Je tourne la tête, pris d'une soudaine panique. Il est venue me chercher ?

Je vis juste la petite bouille d'Eren, à moitié endormi. Il s'approche de mon oreille.

- « Ne...Ne t'en fais pas, je suis... avec toi Livaï. Pour toujours. »

Je senti une douce caresse le long de ma joue. Il venais de m'embrasser, certes sur la joue, mais se contacte m'avais suffit pour tout comprendre sur ces attentions, ma panique se brisa. Mes craintes s'effondrent. Je me retourne entièrement vers lui, avant de le prendre dans mes bras. Le plaquant sur le lit. Je me laissa aller sur son torse, qui commençait à devenir mouillé. Il me caresse le dos tranquillement. Il m'embrassa à plusieurs reprise le front.

Il a vraiment un effet tranquillisant sur moi. Je ferme les yeux. Reniflant doucement. Il sent vraiment bon en plus. Cette odeur me disais vaguement quelques choses, une odeur familière, mais à la fois lointaine.

Je ne tarda pas à m'endormir.





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COUCOU LES GENS !

Devinez qui reviens avec une amie ? Owi ! C'est moi !! Alors je vous présente Inspiration, elle est très gentille et m'aide beaucoup dans la vie ! x)

J'espère que ce petit chapitre vous fera plaisirs ! °w°

Je suis contente d'être en état pour à nouveau pouvoir publier ! >3<

Et j'espère que vous êtes content aussi ! ¤-¤

J'ai pas grand chose à dire à part vous demandez comment vous allez. Et aussi, comment ça se passe la reprise ? La rentrée, les nouveaux potes, le self dégueu, tout ça, tout ça, ça se passe comment ? XD

Allez ! KISSYOU !

Mannequin Vogue, Eren Jaëger. ~Ereri !~ [Tome 1]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant