Le lendemain à lieux mon rendez-vous avec monsieur Kaplan et il faut absolument que nous signions ce contrat qui nous permettrait de faire un bond économique énorme.
Mais tel est ma surprise ce matin lorsque je sens une odeur que j'aurais aime ne pas sentir avant un très long moment s'approcher. Je fronce les sourcilles.
- Vlad, je vais te tuer, je grogne.
Je l'entends rire doucement, en me soufflant qu'il faut en mettre plein la vue pour avoir ce contrat pendant que la personne pénètre dans le réfectoire, il semble me chercher avant de s'exclamer :
- Mia cara, sono felice di vederti. Vlad mi ha detto che avevi bisogno del mio aiuto, allora eccomi, pronto ha trovarti la perla rara (Ma chérie, je suis heureux de te voir. Vlad m'a dit que tu avais besoin de mon aide, alors me voilà, prêt à te trouver la perle rare.)
Je force un sourire sur mon visage alors que je le sens se diriger vers moi, s'incliner pour embrasser ma main, j'incline la tête dans sa direction pour le saluer à mon tour avant de lui répondre.
- Piacere dividere ed io ti ringrazia di essere venuto, Gustavo. Il tuo aiuto c'è molto come sempre precisa e è un onore per me di portare le tue opere. E Vlad ha poi, anche bisogni di un nuovo abito. (Plaisir partagé et je te remercie d'être venu, Gustavo. Ton aide nous est très précise comme toujours et c'est un honneur pour moi de porter tes œuvres. Et puis, Vlad a besoin d'un nouveau costume aussi)
J'entends Vlad grogner à mes paroles, ce qui m'arrache un sourire de satisfaction.
-Occorre si mettere subito allora, il s'exclame en nous entraînant à sa suite. ( il faut s'y mettre tout de suite alors)
***
Cette journée fut longue et éprouvante pour mon moral, j'ai mal aux joues à force de me forcer à sourire, aux fesses à force resté assise pour qu'on puisse tester différentes coiffures et maquillages. En plus, je ne vois par l'intérêt de faire des efforts alors que je ne pourrais même pas en profiter moi-même. J'ai passé toute la matinée à essayer des robes, mais aucune n'a semblé lui convenir, il m'a à peine laissé manger à midi. Finalement, Gustavo semble se satisfaire d'une longue robe avec un long décolleté qui m'arrive en bas des rein d'après l'air que je sens frôler ma peau.
Actuellement, je suis en train de me faire maquiller, pendant que Vlad est en train d'essayer des costumes et ceux depuis déjà trois heures et d'après les grognements que j'entends, il commence à s'impatienter, ce qui me fait doucement rigoler puisque je sais que pour lui perdre son temps à choisir un costume et une pure perte de temps tout comme pour moi. C'est donc avec délectation que je profite de ma petite vengeance pour avoir appelé Gustavo.
Lorsque nous avons enfin fini de nous préparer, il est l'heure pour nous de parti, c'est donc au bras de Vlad que je rejoins la limousine que Léandre a accepter de nous prêter, je sens le regard de tout les soldat présent sur la base sur nous, mais un se fait ressentir plus que les autres, je sens qu'il bouille de l'intérieure même si je ne comprends pas tout à fait pourquoi puisque je vais seulement à un rendez-vous professionnel. Je sens alors une main sur ma peau exposer, je reconnais l'odeur qui nous a rejointes. Mais avant que je ne puisse dire quelqu chose un grognement nous parvient ce qui me fait légèrement sourire, mais pourtant ne dissuade pas Léandre d'enlever ça main, au contraire, il se penche vers moi et me chuchote à l'oreille :
- Tu es sublime, gardienne.
- Hôte tes mains, je me contente de lui répondre froidement.
Ce qu'il finit par faire non sans avoir effleuré mes reins une dernière fois. Il se recule alors pour nous laisser atteindre la limousine, Vlad m'ouvre la portière et m'aide à y rentrer vu que je porte des talons, ce qui par conséquent me rends complètement aveugle. John nous y attend déjà, il jouera notre garde du corps, sa première mission.
VOUS LISEZ
La dernière gardienne
ParanormalIl y a 78 ans, les créatures surnaturelles se sont révélées au monde, provoquant la 2nd Guerre Mondiale. Le dernier gardien a réussi à rétablir l'équilibre entre les espèces avant de mourir. Mais aujourd'hui, cet équilibre est de nouveau menacé et c...