-Je n'ai pas l'impression que se soit une bonne idée...
En ce moment, je me trouve en haut d'une pente qui a l'air de descendre à pic, entourée de Maria, Shadow, Tail, et tout le reste de l'équipe. J'ai chaussé ma paire de ski violette, et j'avoue que j'ai encore du mal a tenir dessus. Je manque de tomber en arrière mais Maël me rattrape à temps.
-T'inquiète, tu vas assurer..., dit Blaze d'un air convaincu.
-Et moi je continue de répéter que c'est une mauvaise idée, je rétorque d'une voix qui est tout le contraire d'une voix convaincue.
Pour définir quel est mon type, mes amis ont décidés de me mettre au ski alpin slalom sur une pente plus qu'abrupte. Au début, j'ai été ravie, mais dès que j'ai vu la tête de la pente, on peut dire que j'ai changé d'avis illico presto. Les jumeaux, Maria et Tail m'encourage une dernière fois. Descendre cette pente ne doit pas être si terrible, surtout que Blizza est là pour me protéger. Enfin, j'espère...Les autres m'encouragent une dernière fois, puis Gaëtan me donne une bonne tape sur le dos qui me propulse sur la piste! Je me sens tomber en arrière alors que la neige me mitraille le visage, entrant dans ma bouche. La foule (oui oui, il y a toujours des curieux pour venir regarder ce que vous faîtes) pousse un cri et retient son souffle. Une force inconnue et puissante me fait redresser et je commence à comprendre ce que je dois faire. Je continue de dévaler la piste à toute vitesse, de plus en plus rapidement. Je slaloom entre les barièrres aisément. La fin de la descente est en vue. Je passe la barrière à toute vitesse et fait un dérapage spectaculaire avant de m'immobiliser, couverte de neige. J'éclate de rire, tellement je suis heureuse. J'ai l'impression d'avoir fait ça toute me vie et pourtant, ce n'est que la première fois...
VOUS LISEZ
L'Île des rêves: Amélia
Fantastik"Raconte moi. Je veux tout savoir. -OK. Je suis orpheline. Aussi loin que remonte mes souvenirs, j'ai toujours vécu sur cette île. L'Île des Yoshis. Une mère Yoshi m'a pris sous son aile, et m'a nourri comme si j'étais sa propre fille. Bien entendu...
