Ouvrir les yeux

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- Il ont rompu après sa ?
- Non...
- Comment sa non ?! Ils sont toujours ensemble ?!!!
- On avait " oublier " de préciser à Jay qu'il allait récupérer Zoé morte.
- Morte !???!!!!!
- Oui, elle est morte par torture.
- Oh mon dieu ! Mais c'est horrible !!
- Et on compte bien faire la même chose avec toi...

Après qu'il ai prononcer cette phrase, tout c'était passer très vite. Je l'avais vu sortir une aiguille de sa poche, puis il m'avait fait une piqure avec.
Après ça. C'était le trou noir. Je n'ai pas trop compris ce qui c'était passer. Je crois qu'il m'avait endormi...
Enfin bref je venais de me réveillée.
Je regardais autour de moi pour voit si j'étais dans un autre endroit. Et la réponse était non.
- Tu es enfin réveiller fit une voix d'homme.
Je sursauta à l'Entente de sa voix. Je croyais être seule alors sa m'avais surprise. Il était dernière moi, et je sentais son souffle sur mon oreille.
- Qui êtes-vous ? Dis-je d'une voix tremblante. J'étais sûr que ce n'était pas le même homme que tout à l'heure.

Je senti sa main parcourir mon visage.

- Ce n'est pas important... Me répondit-il.
J'étais morte de peur, allait-il me violer ?
- Pourquoi êtes-vous là ?
- Pour t'annoncer la mauvaise nouvelle...
- C'est-à-dire ?
- Jay ne veux pas payer la rançon pour te libérer.
- Oh mon dieu, non ! C'est impossible !
- Malheureusement, si.

Même si j'avais du mal à le croire c'était peut-être vrai, que je le veuille ou non.

- Au pire demandez l'argent à mes parents. Je suis sûre qu'ils vous donnerons ce que vous voulez !

Il se plaça devant moi. Je ne pouvais pas voir son visage à cause de sa capuche. Je ne distinguais que ses yeux bleus perçant.

- Je ne pense pas qu'ils pourrait payer la somme que j'exige.
- Ils seraient près à tout pour moi ! Dis-je peu convaincu.
- Abon ? T'es sûre ? Tu pense sérieusement qu'ils seraient près à tout pour toi, ils n'arrivent même pas à rester chez toi plus d'une semaine. Ils favorisent leur travail à vous.
- C'est pour qu'on puisse vivre paisiblement moi et ma soeur.

Je ne savais même pas qui j'essayais de convaincre. Lui ou moi ?

- Avec tout l'argent que ton père et ta mère ont accumulés au fil des années, ils n'ont plus besoin de travailler autant.
- Ils aiment leur travail, c'est tout.
- Étaient-ils là le jour de ton anniversaire ?
- Euh... Ils avaient une réunion importante.
- Et alors ils auraient pu sacrifier une journée de travail s'ils t'aimaient réellement.

Je ne savait même pas pourquoi je continuais à les défendre. Cet homme avait complètement raison. Mes parents n'avaient même pas dénier de ce pointer le jour de mon anniversaire. Et je savais que la réunion importante n'était qu'une excuse.

Une larme coula sur ma joue. Cet homme m'avait fait ouvrir les yeux. Sa me faisait mal de l'entendre de la bouche de quelqu'un d'autre.
J'avais toujours su au fond de moi que mes parents ne m'aimaient pas, seulement, je n'arrivait pas à l'admettre. Ils avaient toujours préférer Maddie. C'est pour ça d'ailleurs que j'avais essayer de devenir la fille parfaite, qui avait toujours des bonnes notes à l'école, qui écoutait toujours ses parents. Mais sa n'avait pas fonctionner. Ils ne portaient attention qu'a Maddie.

- Ne pleure pas chérie... Dit-il en essuyant la larme avec son pouce.
- Ne me touchez pas. Dis-je sèchement.
- Ils ne savent pas ce qu'ils ratent. Dit-il en ignorant ma remarque.
- De toute façon, j'ai ma soeur donc je...
- Ta sœur ? Elle est égoïste ! Dit-il en me coupant la parole.
- Quoi ?! N'importe quoi !!
- À ton avis pourquoi elle à toujours des problèmes avec le collège ? Pourquoi elle à d'aussi mauvaises notes ? Contrairement à toi elle à compris comment capter l'attention de tes parents. Mais toi tu n'a rien vu.
- Je n'avait pas compris son comportement. Je me sens vraiment conne maintenant...

Il se rapprocha de moi. Plus que quelques centimètres entre nous.

- Laisse-moi te montrer le vrai amour.
- Pa... Pardon ?!
- Oublions tous ces connards, ils ne te méritent pas. Moi, j'ai lu en toi dès la première fois que je t'ai vu. J'ai remarqué à quelle point tu était exceptionnelle. Tu n'était pas comme les autres, tu était différentes.

Il caressa ma joue et ses lèvres se posèrent délicatement sur mes lèvres.

Face cachéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant