Perdu

301 19 0
                                    

PDV NICO

Je suis retourner en cours il y a maintenant un mois.
J'ignore simplement le crétin.
En réalité je me pose des questions. Je m'explique:
Au plus je repense à cette soirée, au moins j'ai de haine.
Même si ça me dégoûte je me suis même surpris à bander.
Le crétin me donne une lettre d'excuse tout les jours. Pas directement. Mais j'en retrouve toujours une dans mon sac.
Je suis dans le salon, avec mon frère et Chris. Les pauvres à chaque fois qu'ils veulent faire des yeux je rentre des cours ou je suis au milieux.
Mon frère est bizarre aujourd'hui, il semble énervé.
On sonne à la porte, mon frère y vas.
-Jonathan mon d'être venu. Sa voix glacial me pétrifie, à moins que se sois la présence de l'autre. Je ne lève pas les yeux, restant fixer sur mon téléphone.
Je les entend parler mais n'y prête pas attention. Seul la voix grave et terrifiante de mon frère me fait les yeux.
-POURQUOI TU LUI A FAIT ÇA! Je vais dans la cuisine pour trouver mon frère entrain de serrer la gorge du crétin, qui commence à devenir rouge, bleuté.
-J'étais défoncer aussi...
-ALEX LACHE LE! Il me regard de la plus mauvaise des manières qui sois.
- Je t'ai promit que je tuerai celui qui t'a fait ça. Chris nous regarde sans trop savoir se qu'il doit faire. La vois de mon frère et vide d'âme.
-Alex s'il te plaît lâche le je t'en supplie, j'étais bourré.
-Il a abusé de toi! Je pose ma main sur la sienne, celle qui maintient la gorge du crétin.
-Alex, je ne te dirais pas le contraire mais, je ne veux pas qu'il meure...
-Nico...
-Mon frère je t'en supplie. Il le lâche comme un malpropre.
-Je ne veux plus le voir avec toi.
-T'inquiète pas mon frère.
-Et toi aise parler de ça à qui que se sois et je te tue avec ou sans l'accord de mon frère!
-Oui messieurs. Il part en quatrième vitesse.
Je doit parler avec mon frère!
Je ne sais pas trop comment lui dire.
-Dis grand frère je peux te parler d'un truc?
-Oui dis moi.
-J'ai des sensation bizarre...
-Comment ça? Nous nous asseyons avec Chris sur le canapé.
-Ben au plus je pense à cette soirée, au moins je regrette...
-Pardon!?
-Bébé laisse le finir!
-Ben je commence à aimer...
-Comment ça!
-Bébé arrête de t'énerver, puis t'es mal placer pour juger!
-Explique toi?
- Quand on étais à cette soirée la première fois qu'on a baisé, tu étais pas consentant, et ça t'as pas empêché de tomber amoureux après!
-J'ai jamais dit que j'étais amoureux.
-Et c'était pas pareil! Mon frère et moi nous nous exclamons dans un même élan.
-Les gas je dit juste que pour toi Nico c'est normal ça arrive, et que toi Alex tu ne doit pas juger même si s'est ton petit frère et que tu veux le protéger. Il a pas tors, enfin je croit.
-Trésor...
-Bébé, déjà ton frère se confit, chose qui arrive rarement, donc profite.
-Ouais, désoler Nico, continu. Mon frère nonchalant s'allume un clope.
-Je ne comprend pas vraiment pourquoi j'éprouve un minima de plaisir. Je regarde Chris, lui a toujours réponse à tous, enfin la plupart du temps.
-Bonhomme, c'est peu être un fantasme tout simplement. Cette idée déplais à Alex, ça se vois dans ses yeux.
-Ca veux dire que je suis gay.
-Non juste que c'est une envie secrète.
-Ou tu t'es mit à y prendre du plaisir pour arrêter de souffrir. Je regarde mon frère puis rabaisse les yeux sur mes chaussure.
-Je fait comment pour savoir moi?
-Recommence et vois à se moment la.
-Ou tu attend que ça passe. Je soupir.
-Vous m'aidez pas là les gas.
-Mon grand, fait comme tu le sens, de toute façon y'a que toi qui peux savoir.
-Ton frère à raison, si t'as envie de le faire avec un mec fait le, et si tu ne veux plus jamais qu'un homme te touche c'est ton choix, personne ne tu jugeras ici.
-Vous êtes les meilleurs. Je les prend dans mes bras.

Le repas du soir est fini. Le chient couine à la porte ça fait un mois que je ne l'ai pas sortit. C'était Chris qui s'en chargeait.
J'ai envie de le sortir moi. J'attrape la laisse.
-Je vais sortir le chien.
-Apelle ou rentre dessuinte si il y a un problème.
-Je sais que t'es là je suis protégé mon frère. Je le regarde chaleureusement, je vois qu'il est inquiet mais il me souri quand même.

J'arrive au parc et lâche le chien. Il cours après le bâton que j'y lance. Il n'y a que le lampadaire pour m'éclairer. Je me pose sur le banc. Le banc ou j'avais l'habitude d'être avec le crétin. Une sensation de nostalgie me viens. Le chient reviens prêt de moi et se met à aboyer contre une silhouette qui avance vers nous. Je constitue que s'est le crétin. Le chien se met en position d'attaque mais je lui ordonne de se coucher. Il m'obéit en restant méfiant mal grès tout.
-Nicolas? Ça fait un moment que je te t'ai pas vu ici. J'ai l'impression qu'il est triste, sincèrement blessé, ou malheureux.
-Je sort le chien. Je lui parle sèchement. Je veux bien éviter que mon frère me tué mais ce n'ai pas pour autant que j'ai oublier la soirée.
-Je peux m'assoir?
J'hausse les épaules. Une sensation bizarre me prend. J'ai peur et en même temps je me sens bien. Nous restons assis dans le plus bruyant des silences. J'envoie le bâton au chient et le regarde partir au loin. De sa voix triste il rompt ce silence assourdissant.
-Je ne m'attendais pas à te revoir ici. Je reste fixer sur un arbre pour ne pas le regarder.
-Faut bien que je sorte le chien.
-Merci pour tout à l'heur j'ai vraiment crue que ton frère...enfin tu vois...
-Je ne veux pas avoir la mort de quelqu'un sur la conscience. Il allume sa clope.
-Après se que je t'ai fait je l'aurais parfaitement comprit. Je soupire.
-Comment va ta mère?
-Beaucoup mieux, elle a reprit du poile de la bête depuis ça crise. Je regarde le ciel en pensant à la mienne. J'aimerais qu'elle sois là.
-Et ton père?
-Extrêmement bien, il est heureux car il part avec ma mère aux Maldives pendant deux semaines.
-Ok. Je ne cherche pas à en savoir plus. Je me sort une clope et là fumes. Ma main se pose sur le banc, la sienne aussi.
-Voisin?
-Quoi? Mon ton sex lui fait baisser les yeux alors que sa main effleure la mienne que je retire aussi tôt.
-Tu as lu mes lettres?
-Oui.
-Pourquoi?
-Parce que j'estime que vue que tu as prit du temps pour les écrire je peux les lire.
-Et alors?
-Je n'oublie pas.
-Je comprend. Il a l'aire de plus en plus déprimé.
-Je ne comprend pas pourquoi t'as fait ça.
-Ça faisais un moment que j'avais envie de toi, et on était tout les deux dans le lit, puis je sais plus se que je t'ai dit et tu m'a dit je t'aime. Il fait une pose, je distingue une larme couler sur sa joue pendant que je retiens les mienne. J'ai perdu les pédales, tu voulais pas aller plus loins puis après t'avoir supplié ta juste détourner les yeux et j'arrivais pas à me contrôler. Je savais que tu voulais pas mais j'arrivais pas à m'arrêter. Et après j'ai eu un trou noir jusqu'à se que tu me réveille avec ton poing.
J'entends des sanglots dans sa voix.
Je ne comprend pas, pourquoi j'y ai dit "je t'aime"?
-J'espère que tu as conscience que tu as détruit notre amitié.
-Je sais oui, voisin si tu savais comme je m'en veux...
-Arrête de chialer ça ne va rien changer. J'ai un piqué au cœur en lui parlant comme ça.
-Un dernier, juste un dernier bisou et je disparaît de ta vie!
Mais j'hallucine après m'avoir violé il me demande ça!
-T'as pas eu ta dose à la soirée?
-J'aimerais juste un dernière fois t'es lèvres contre les miennes. Il est en larmes, étrangement j'aimerais aussi avoir nos lèvres coller.
-Arrêter de forcer.
-Plus jamais je ne forcerai à quoique se sois Nicolas.
Étrange qu'il m'appelle par mon prénom.
-Tout est partit d'un smak à la soirée...
Il me fait de la peine quand même à être dans cette état.
-Plus jamais je ne te toucherais sans ton accord, plus jamais.
-Il ne faux jamais dire fontaine je ne vivrais pas de ton eau.
J'ai toujours aimé cette expression.
Il me regarde suppliant, mais en refait il ne me touche pas, il ne me regarde même plus en faite.
-Je comprend.
-Un dernier pas plus, promit?
-Promit.
Sa main viens se caler dans ma nuque. Nos lèvres se collent. Je sent ses larmes coulé sur sa joue et la mienne. Sans forcer sa langue passe sur mes lèvres pour savoir si j'y autorise l'accès. Chose que je fais. J'ai toujours peur mais, je suis bien là.
Comme à mon habitude je ne pose pas les mains sur lui.
Ses main son d'une part est d'autre de mon visage. Il me câline en essayant de faire durer le baisé le plus longtemps possible.
À bout de souffle nous finissons par nous décoller. J'ai besoins de temps je suis complètement pommé. Cette sensation que j'ai eu pendant le baisé que je ne serrais décrire me perturbe au plus haut point.
-Merci...
Je ne prend pas la peine de répondre. J'appelle le chien, et part. Je le laisse seul.
Mon frère me regarde inquiet mais j'ai le sourire aux lèvres.
Lui est Chris viennent me dire bonne nuit.
Il m'est impossible de dormir.
Je relis encore les lettres du crétin en me demandant quoi faire... je suis perdu.

Un inconnu un amour [TOME2] [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant