Un inconnu un amour [TOME2] [TERMINÉ]

Le parc

PDV NICO

-Chris je vais au parc promener le chien je serrai de retour avant le repas du soir.
-Ça marche, mais tu vas rester au parc pendant six heure?
-Oui.
-Faire quoi?
-Je vois Emma. Je n'aime pas lui mentir, mais je vais pas lui dire que je vais voir le crétin.
-Soyez sage. Il me fait un clin d'œil.

Je marche en repensant à toute cette semaine ou crétin et moi avons passé tout nos soirée à s'embrasser. Sauf se weekend, j'y ai dit que je voulais arrêter. Vue j'ai roulé une pelle à Emma, mais c'était pas pareil qu'avec crétin. C'est vraiment bizarre, pourtant je ne suis pas amoureux de lui. C'était moins bien, même si elle m'a dit que l'embrassais bien, et elle aussi embrasse bien mais pas comme crétin.
Une main se pose sur mon épaule.
-Pourquoi tu voulais me voir voisin?
-Je veux que tu arrête ton chantage! Je veux que tu arrêtes tout, j'en ai marre de faire t'es devoir, marre que tu me face chanter!
-À une condition.
-La quelle?
-On continue.
-Continuer quoi?
-Les bisous. Cette idée ne me déplaît pas.
-Ça marche, mais si tu me fait encore une fois de chantage, on arrête tout.
-Ok. Il se rapproche de moi et me relève le menton, il ne fait pourtant que conque centimètres de plus que moi, mais je me sens petit quand il fait ça. Soudainement ce que Chris m'as dit sur le fait que le crétin m'aime me reviens en tête. C'est la première fois que je remarque que son regard, tendre, et enflammer.
-Pourquoi tu me regarde comme ça?
-Comment ça?
-On dirait que tu vas me dévorer.
-Arrête de parler.
Ses lèvres se collent au miennes. Sa main passe dans ma nuque. Des frissons me parcours le dos.
-Pourquoi t'es comme ça avec moi? Nous nous assoyions sur le banc.
-Et toi?
-Je sais pas.
-Moi non plus, j'adore te faire chier, mais j'adore aussi prendre sous mon aile.
-T'es bizarre.
-Dis celui qui reste coller à moi même si il peut pas me saquer.
-Pourquoi tu veux qu'on continue à s'embrasser?
-Chez pas. Il sort une clope et m'en donne une. C'est pas la meme chose d'embrasser un mec, qu'une fille, c'est différant.
-Ouais. Nous fumons tranquillement.
-Puis tu veux, la vérité, je trouve que tu embrasse mieux qu'Emma. Je tourne ma tête et le regarde avec des yeux rond. Mais rougis à son compliment.
-T'es sortis avec elle?
-Oui l'année dernière, puis on c'est quitter en bon terme.
-Ah ok. Dans un sens ça ne m'entonne pas.
-Tu sais que t'es rouge tomate. Je devis les yeux sur le sol.
-Di tu le dit. J'écrase la clope et regarde le chien courir après les pigeons.
-On fait un actions ou vérité?
-Commence.
-Vérité.
-Y'a une filles qui te plaît au collège?
-Non, à toi.
-Vérité.
-T'aime Emma?
-Je l'aime bien, à toi.
-Vérité.
-C'était comment ta première fois?
-Bien et bizarre, j'avais peur, et les sensations était nouvelle, à toi.
-Vérité.
-Pourquoi cette question?
-Pour savoir, à toi.
-Vérité.
-C'est quoi ton fantasme?
-Faire un plan à trois, à toi.
-Action pour changer.
-Embrasse moi. Je le regarde, perturber par ce qui viens de me dire.
-Sérieusement.
-Oui.
Je m'approche de lui et dépose mes lèvres sur les siennes. Je ne pose toujours pas mes mains sur lui. Or les siennes se pose sur ma hanche et ma nuque, puis glisse dans mon dos. Des frissons me parcourent dans tout le corps. Il me soulève et m'assoie à califourchon sur lui. Je suis tétanisé. Je le regarde perdu.
-Jonathan...pourquoi...
-La ferme.
Il reprend mes lèvres, sa langue se crée un chemin et vien à la rencontre de la mienne. Elles commencent à danser entre elles. Une de ses mains tiens ma tête, l'autre passe sous mon teeshirt, et caresse mon dos. Les miennes se déposent dans son cou. C'est la première fois que je suis aussi déstabilisé. Je le sens me griffer, je me courbe automatiquement, ce qui colle nos tors. Mes mains passent dans ses cheveux et dans son dos. Je n'arrive pas à me contrôler, ça me fait peur. Il grogne contre ma bouche en glissant sa main dans mon jeans. Je me décolle terrifier.
-Non. Il la retire.
-Calme toi, je suis désolé. Il caresse mon visage pour me rassurer.
-Pas grave.
-Tu veux arrêter? Je rougis.
-N...non.
Il rapproche ma tête, et reprend mes lèvres. Je repose mes main timidement sur ses épaules. Sa tête descend dans mon cou. Je le sent le faire un suçons. J'ai envie de le repousser mais j'en suis incapable. J'ai l'impressions d'être complètement soumis, ça me dégoûte, je suis prit entre l'énervement, et le peur, l'envie de pleurer me prend. Je laisse une larmes s'échapper. J'ai vraiment peur de ce qu'il peut arriver.
On fini par ce décoller. Il sort un paquet de  Marlborough encore neuf, pendant que je m'assois à côté de lui.
-Tiens c'est pour toi. Il me tend le paquet avec un briquet apparement nouveau aussi.
-Non je ne peux pas accepter.
-Fait pas chier et prend les.
-T'es sur?
-Oui, aller. Je les prend et les range dans mon blouson en cuire.
-Merci.
-Y'a pas de quoi. Il me sourit.
-Action ou vérité? Il se mord la lèvre inférieure.
-Action. Le chien reviens à mes pied.
-Passes moi une clope. Il me la passe, je l'allume.
-À toi.
-Vérité.
-Ça fait combien de temps que tu vis avec ton frère et son copain? Je baisse les yeux et caresse le Narcos.
-Avec mon frère, ça fait un bail je croit que ça fait depuis mes trois ou quatre ans, et avec Chris il est arrivé dans notre vie and j'avais cinq ans.
-Chaud, donc t'as vraiment aucun souvenir de tes parents?
-Étrangement, je me souviens de leur visage, sourire, leur voix, ou même des moments avec eux et mon frère. Je commence à tomber dans la nostalgie. Le chien me lèche la main, je souris.
-Voisin?
-Crétin?
-Si t'as besoin d'en parler, tu peux compter sur moi. Il me tapote l'épaule.
-Merci mais je t'avoue que je ne suis pas vraiment alaise avec le sujet.
-C'est normal.
-La dernière fois tu m'as dit que t'es parents était sevrèrent, pourquoi?
-Pour te donner une idée, ils ne supportent pas vraiment l'insolence, ja dernière fois que j'ai répondu, je me suis prit un coup de ceinture et une gifle.
-Tu sais que c'est de la maltraitance, la ceinture.
-C'est exceptionnel, puis c'est plus souvent le gifle, ou rester consigner dans la chambre sans manger.
-Dure. Il pose sa tête sur mon épaule, je pause la mienne sur la sienne.
-Ça me fait du bien de passer du temps avec toi.
-Et moi je commence à regretter à cause du suçon que tu m'as fait.
-T'as cas dire que s'est Emma.
-Et je l'explique comment à Emma?
-Tu dis que c'était une action.
-Ouais, je ne pense pas qu'elle va apprécier. Il relève sa tête et plonge sont regard dans le mien.
-Et toi t'as apprécié? Je rougis.
-Et toi? Je glisse mes lèvres dans son cou et lui fait un suçon. C'est la première fois que j'en fait un.
-Oui. Il me dit ça dans un soupir.
Après quelque minute je me décolle de son cou. Ses lèvres viennent trouver les miennes. Nous sommes repartis dans un long baiser. Je commence à me sentir alaise avec lui, même plus qu'avec Emma. Pourtant je ne l'aime pas. C'est extrêmement perturbant.
Nous nous sommes décoller et partons dans une discutions qui ne fini pas, nous trouvons toujours un truc à dire.
Je finis par rentrer chez moi, mais j'ai une boule dans le ventre, que je n'avais pas quand j'étais avec lui. Je passe la porte, avec un sourire aux lèvres malgré moi. Chris me regarde, Alex n'est pas encore rentré, sinon ils serraient collés l'un à l'autre.
-Ben elle s'est lâchée. Le chéri de mon frère me sort ça un sourire au lèvre. Je passe ma main sur le suçon.
-Ouais, il m'a fait un peu mal. J'enlève mes chaussure, pour ne pas salir tout la maison.
-Il t'as fait mal? Qui Il? Je capte ce que je viens de dire.
-Le suçon sur le moment il m'a fait un peu mal.
-Ah. Ça a l'aire de passer.
-Demain je peux ressortir?
-Le matin oui, l'après midi, tu as rendez vous au dentiste.
-Pourquoi? J'ai pas mal aux dents, ni de caries.
-C'est juste une visite de contrôle, comme chaque année.
-Et comme chaque année il vas me dire que j'ai des dents parfaite, et en plus que je n'ai pas besoin d'appareil dentaire.
-Et là il vas aussi voir pour t'es dents de sagesse.
-Et alors? Ça peux attendre elles poussent pas!
-Mais t'as quoi à faire demain après midi pour absolument vouloir louper le dentiste?
-Rien de spécial, pourquoi?
-C'est la première fois que t'essaie de l'éviter, d'habitude tu t'en moque.
-Ben j'avais autres choses de prévu.
-Comme?
-Voir Emma.
-Vous venez de passer six heures et demis ensemble.
-Dit celui qui rentrais chez nous, sans invitation, à n'importe quelle heures,parce qu'il voulais voir mon frère.
-C'était différant.
-En quoi?
-À treize ans t'es pas encore capable de savoir si c'est l'amour de ta vie, a dix sept dix huit ans oui. Puis ton frère m'avais dit où était planqué mes clef en cas de problème.
-J'ai jamais dit que c'était l'amour de ma vie, et j'ai juste envie de profiter.
-T'as deux semaine pour profiter.
-Une, la deuxième, comme chaque vacance, on la passe avec mes grands parents.
-Le fait étant que tu as rendez vous chez le dentiste et tu iras point. Je souffle.
-Alors se soir je ressort!
-Si ton frère est d'accord.
-C'est chiant.
-Triste vie que tu as, met la table s'il te plaît ton frère ne vas pas tarder, le repas chauffe.
Je met la table à la vas vite et monte dans ma chambre. J'envoie dès messages à Emma, et au crétin. Emma met du temps à répondre, elle m'avais dit qu'elle avais une réunion de famille se soir. Mais le crétin répond du tac au tac.

Crétin:
Alors tu sors

Moi:
Je sais pas si je peux se soir mais normalement oui.

Crétin:
Et demain

Moi:
L'après midi j'ai rdv au dentiste.

Crétin:
Ben le matin moi je pas trop sortir mes parents son la

Moi:
Au pire tu peux dire que tu viens réviser chez moi.

Crétin:
Je te tiens au courant à+ Voisin

Moi:
Ça marche, à plus crétin.

Je passe à table, mon frère a passer une mauvaise journée, il est à fleur de peaux
-Dit grand frère, je peux sortir le chien se soir?
-Oui.
-Et demain après midi, je peux sortir?
- Non, je sais que t'as déjà demandé à Chris.
-Mais...
-Y'a pas de mais! Écoute moi, demain tu vas à ton rendez vous, j'ai prit exprès deux heures pour que Chris n'ai pas à bouger! Donc tu y vas! Je roule des yeux.
-Ok, ça va calme toi.
-Vu le ton que le quel tu me parles, tu sors pas demain.
-C'est une blague! Je me lève en tapant du poing sur la table.
-Non dégage dans ta chambre. Il se lève et me fixe droit dans les yeux. Je n'arrive jamais à soutenir son regard. Je dévie le yeux et pars dans la chambre en claquant la porte.

J'appelle le crétin deux fois avant qu'il répond.
-Allo voisin.
-Salut crétin, demain je suis privée de sorti je ne peux pas...
-T'inquiètes pas je viendrais chez toi. Sa vois et vraiment douce et délicate.
-Ça marche, tu viens à quelle heure?
-Neuf heures c'est bon?
-Ok.
On reste ensemble, au téléphone, pendant une bonne heures....