Un inconnu un amour [TOME2] [TERMINÉ]

Mal

PDV NICO

Je le regarde complètement perdu. Il m'aime?
Réellement?
Je suis incapable de lui répondre.
Mon ventre se noue, mon cœur s'accélère. C'est très bizarre comme sensation.
Il se rapproche de moi. Mes mains se mettent à trembler. Il les attrape.
-Tu devrais aller voir ton frère et lui demander des bandages.
Je répond positivement de la tête et le laisse seul dans la chambre.
Je garde les yeux rivé au sol. Je ne le vois pas dans le salon. Je continue de chercher. Je le voie dans le jardin avec ses filles. Je reste bloquer devant la baie vitré. Il a l'aire heureux. Je reprend: il est heureux.
Ça fessais une éternité que je ne l'avais pas vue avec un tel sourire.
Il relève les yeux et me regarde en perdant son sourire. Je devis les yeux et commence à faire démit tour mais il fait signe de venir. J'ouvre la porte fenêtre et sort.
Mon frère s'approche de moi, tous en gardant sa fille dans les bras. Il me tend Ronni-Anne mais je refuse de la prendre. Je lui montre l'état de mes mains. Il la pose parterre.
-Sacha, tu peux t'occuper des t'es sœurs, je dois m'occuper de Nico.
-Oui bien sûre.
Il m'accompagne à la salle de bain et sort les pansements.
Nous sommes tout les deux gênés. Un silence pesant s'est installé. Je n'ai vraiment pas étais tendre la dernière fois avec lui...
-Alex...je...enfin c'est compliqué...t'es mon frère...et...
-Te torture pas à essayer de m'expliquer, moi aussi je t'aime. Je souris.
-J'ai vraiment pas étais cool avec toi...
-Ouais moi non plus.
Je déteste dire ça m'a le crétin a raison, je doit parler avec mon frère.
-J'ai l'impression que tu veux me remplacer...
Ses yeux se pose dans les miens. Je ne serrai décrire l'expression de son visage.
-T'es mon frère, t'es irremplaçable.
-J'en ai pas l'impression, Chris et toi, enfin vous deux, vous n'avez plus de temps pour moi, puis je ne comprend pas pourquoi vous ne m'avais pas dit que vous en adoptiez trois.
-On voulais en adopter qu'une au départs, Ronni-Anne, puis quand on apprit qu'elle avais deux sœurs, et qu'on allais les séparer, on a hésité, puis on a voulu adopte les trois, on ne savais pas comment te le dire...
-Ouais. Je referme le poing.
-Nico, je suis désolé je ne voulais en aucun cas te blesser.
-Ben c'est loupé.
-Nico regarde moi. Je relève les yeux sur lui. T'es mon petit frère à moi et je t'aime, jamais personne ne prendra ta place, je serais toujours là pour toi, même si j'ai trois filles, la seule choses c'est qu'il faut que tu me parles, je ne peux pas lire t'es pensées. Je laisse quelques larmes couler en silence.
-Mais c'est tellement dure de te parler, t'as l'aire tellement heureux avec elles, tout à l'heure t'avais un sourire que tu n'as plus eu avec moi depuis tellement longtemps. Et j'arrive pas à m'exprimer je comprend jamais se qu'il se passe je ressent des trucs que j'arrive pas à définir.
Il me ressert dans ses bras.
-Tu veux revoir un psy?
-Non depuis que papa et maman sont morts j'ai pas arrêté d'en voir, et j'en ai marre je veux juste être normal.
-T'es normal. Je suis entrain d'exploser
-Non! J'ai rien de normal! J'ai plus de parants, mon frère vit avec un homme et a adopter, puis pour couronner le tout le crétin m'a dit qu'il m'aime! Il me bloque contre lui pour éviter que j'envoie mon poing contre le mur.
-Ça tout le monde le savais qu'il t'aimait.
-Je veux juste être normal. Il soupir.
-Nico...tu l'aimes? Je me bloque.
-Oui, enfin j'en sais rien...
-Petit frère, s'il te plaît, arrête de dire que tu n'est pas normal et éclate toi.
-Comment ça?
-Profite de la vie, baise ou sort avec qui tu veux peux importe son sexe, mais pense à la capote. Je souris légèrement.
-Hm.
-Aller vas le rejoindre.
-Et j'y dit quoi?
-Ce que tu ressent.
-C'est dure.
-T'as rien à perdre.
-Tu penses? Je le regarde un peu perdu.
-Oui, vas t'amuser maintenant.
Je suite la salle de bain pour retourner dans la chambre.
Mon crétin, est accroupi entrain de ranger le bordel que j'ai mit sous la colère. Je m'abaisse pour ramasser.
-Non voisin t'as mal aux mains...
-T'inquiète pas. Il soupire.
Nous finissons de ranger.
Je m'approche de lui, mal alaise, et l'embrasse timidement.
-Merci.
-De quoi?
-D'avoir rangé mon bordel. Il prend mes mains délicatement.
-C'est normal tant pas à me remercier.
-Si tu le dit. Il pose ses lèvres sur mon front.
-Je suis désolé pour tout à l'heure...j'avais pas à raconter se que tu a fais...
-Laisse c'est pas grave, puis j'ai bien comprit que tu voulais juste nous faire réagir mon frère et moi.
-Petit prince. J'arc un sourcil.
-Ne m'appelle plus comme ça.
-Comment? Petit prince?
-Oui.
-Pourquoi? Je sens le rouge me monter aux joues.
-Je préfère être ton voisin.
Il souri avant de m'embrasser délicatement. Je met de la musique rythmé sur l'enceinte avant de l'embrasser plus violemment.
Il me plaque contre le mur, toujours en faisant valser nos langues, en caressant mon tors. Je grogne légèrement lorsque son genou viens frotter mon entrejambe. Je ressert mes mains dans ses cheveux et sa nuque. On décolle nos lèvres un instant pour respirer, il en profite pour enlever mon teeshirt puis le sein.
Je le pousse sur lit en passant au dessus de lui. Je niche ma tête dans son coup et y laisse un suçon. Il me renverse pour reprendre la place du dominant. Il embrasse mon torse et descend jusqu'au bas ventre. Je caresse ses cheveux pendant qu'il fait glisser mon jeans et mon boxer dans la foulée.
Il commence à me sucer de manière brutale sans pour autant me faire mal. J'aime ça. C'est vraiment trop bon. Ça ne fait peut être que cinq minutes qu'il me suce mais me sans venir. Je le préviens entre deux gémissement mais il continue. Il me cale au fond de sa gorge en attendant que je finisse de me vider. Il est à bout de souffle tous comme moi.
Sa lange remonte sur mon tors, puis mon cou, avant de se perdre dans ma bouche. Je le caresse avec encore un peu de gêne, contrairement à lui. Il commence à me branler, je me tend instantanément. Sa bouche reviens dans mon cou, il me mordille, en continuant ses mouvement de haut en bas.
-Je t'aime...
Sa voix et tellement délicieuse.
Je lui relève la tête en souriant. Il lâche mon membre. Nous nous asseyons, moi sur lui. J'ai peur, vraiment peur. Je l'embrasse.
Il est à ra de mon entrée. Mes yeux se plantent dans les siens.
-Je t'aime crétin. Un sourire se dessine sur son visage et sont regard pétille.
Il s'enfonce doucement. Je plisse les yeux en me crispant.
-Si te te crispe tu aura,mal détend toi.
Une douleur horrible me traverse le corps.
Je met ma tête dans son cou, c'est trop tard pour reculer de toute façon. J'ai mal. Il fait des tout petits vas et viens, puis accélère. J'ai quelques larmes qui coulent. Ça fait vraiment trop mal.
Je le griffe et me mord la lèvre pour essayer de contenir mes bruit de souffrance.
Il vas trop vite, j'ai l'impression que mon intérieur se déchire. J'en peux plus. Je suis à bout. Il accélère encore. Je laisse un bruit s'échapper, à la limite du cri.
-Nico tu veux que j'arrête? Mes larmes continue de couler, je refuse qu'il les voient.
-Non c'est bon fini.
Il continue ses mouvements. J'ai l'impression que la douleur ne fait que grandir.
Il fini enfin. Je le laisse se retirer. Je remet mon boxer et prend des affaires propre.
Je suis sous la douche, l'eau chaude me détend. Je regarde le sol.
Du sang!
Il y a du sang qui coule de mon corps!
Je commence à paniquer, surtout quand je réalise qu'il sort de mon cul.
J'ai beaucoup trop mal pour bouger. Je laisse les larmes sortirent.
J'entends mon frère nous appeler à table.
Je met des vêtements propres.
Je m'assoie à table en face du crétin, entre Sacha et Rouanitta.
La rouquine me souri, je lui rend. Chris me fixe avec insistance. Je devis le regard en continuant mon plat.

Nous sortons de table, le crétin part sous la douche. Je sort fumer une clope. Chris me rejoint.
-Ça va pas trop mal? Je le regarde surpris.
-Comment...
-Ta tête lorsque tu t'es assis. Je baise les yeux.
Peut être qu'il peut m'aider?
-Quand j'ai prit ma douche, il y avais du sang...
-Tu t'es trop crispé, et il a du y allais trop fort...
-Je fait quoi alors?
-Tu t'abstient, et si ça saigne encore demain matin, il faudras allais voir un médecin.
-Pas de médecin!
-Nico si t'as une déchirure, ça peut être dangereux. Je tire sur ma clope. Il y a une pommade spécial dans la chambre, je te la donne après la clope.
-Ok merci. Je suis un peu gêné par la situation.
-T'as eu trop mal pour aimer pas vrais? Je rougis de plus bel.
-Oui...
-Pour la prochaine fois, si il y en a une, il y a une crème spécial pour éviter d'être trop contracté.
-Ah...
-Bonhomme?
-Oui?
-Ton frère m'a vite fait parler de votre discussion. Je regarde le sol.
-Je m'en doutais.
-Tu sais, même si je ne suis pas ton frère, tu es de ma famille.
-Toi aussi, mais...j'avoue que tu ne t'occupe plus de moi...comment dire...ça m'a rappelais...ben...qu'on avais pas de...de liens par le sang.
-Et alors c'est pas grave qu'on ne sois pas liée par le sang, si?
-Toi t'es en aucun cas obliger de t'occuper de moi.
-Si tu pars comme ça c'est pareil pour les filles.
-C'est toi qui les a choisi, puis si un jour, chose que je n'espère pas, tu te sépare d'Alex, tu seras dans ton droit de ne plus me voir...
-Nico, te prend pas la tête avec ça, il n'y a aucune raison que je me sépare de ton frère.
-Il n'y avais aucune raison que mes parants décèdent et pourtant c'est arrivé, on ne sais pas de quoi demain est fait. Il me bras dans ses bras.
-Tu réfléchi trop pour un gosse de treize ans.
-Bientôt quatorze!
-Dans trois jours.
-Ouiiiii. Il sourie puis le perd peu après.
-Bonhomme, j'ai pas envie que tu nous fasse une crise mais, Sacha, est née le lendemain de ton anniversaire, donc on ne pourra plus te faire des cadeaux un peu or de prix...
-Tu sais que c'est l'intentions qui compte pour moi, mais toi comme Alex, ne vous attendez pas à ce que j'y offre un cadeau.
-Ça marche. Il embrasse mon front.
-Chris?
-Oui?
-Ça fait longtemps qu'on a pas fait un poker.
-Ben je te propose qu'on joue avec Ciara et ton frère après notre clope.
-Dac.

Nous rentrons. Chose dit chose promise. Nous prenons les cartes et commençons une partie.
J'aime jouer avec eux.
J'aime les battre à plat de couture.