Prologue :
« Trois pour cent de la population ne peut être atteint par le virus. Mais dans le camp il a fallu qu'il n'y ait qu'Enzo et moi. »
On aurait pu s'imaginer que j'étais enfin en sécurité derrière les quatre murs qui me séparaient du monde extérieur.
Que les infectés ne pourraient jamais me toucher, me briser et m'entraîner dans des choses inconcevables.
Les infectés n'étaient pas capable de cela mais les humains, eux, oui.
Tout cela partait d'un bon sentiment, ils voulaient sauver l'humanité mais au détriment de quoi ? De ma stabilité mentale ? De la possible perte de l'homme que j'aimais mais aussi de celle de mon petit frère ?
Je ne pouvais pas les haïr, j'étais incapable de ruiner tout ce qu'ils avaient construits mais je pouvais essayer de faire une chose que je faisais depuis deux ans et demi :
sauver mon frère de tout les dangers possibles et inimaginables.
Avant propos :
Voilà enfin le Tome 2 que j'appréhende énormément. J'espère qu'il vous plaira, j'ai mis corps et âme pour essayer de rester dans le même thème que le Tome 1 tout en vous orientant sur quelque chose de nouveau.
Cependant cette histoire sera plus sombre et sans pitié. Je peux tuer n'importe qui, hommes, femmes et pourquoi pas enfants. Il y aura donc des scènes violentes et d'autres où l'espoir se perd peu à peu.
Je tiens à préciser que je ne fais pas d'études de Médecine et que je n'ai aucune donnée sur le matériel militaire, donc je tiens à vous dire que ma façon de présenter les choses dans cette histoire restent purement fictives et que si cela ne reflète pas la vérité dans le monde d'aujourd'hui je n'y peux rien. Je fais des recherches pour vous offrir au maximum du la réalité mais mes connaissances dans ces domaines sont aussi médiocres que mes résultats de Maths en seconde (voilà pourquoi je suis allée en Littéraire, mais on s'en fout.)
Voili voilou, le tome 2 se passe deux ans après leur arrivée à Washington.
J'espère que vous aimerez !
Xx, Manon.
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Vers Washington : Cobaye (Tome 2)
Science Fiction« Trois pour cent de la population ne peut être atteint par le virus. Mais dans le camp il a fallu qu’il n’y ait qu’Enzo et moi. » On aurait pu s'imaginer que j'étais enfin en sécurité derrière les quatre murs qui me séparaient du monde extérieur. Q...
