Je ne peux pas bouger. Il me tiens dans ses bras et cela me déstabilise. Il y a encore quelques minutes, il voulait abuser de mon corps, et désormais, il joue le gentil...Aaaah !! Il me dégrafe mon soutien-gorge !
Penda : - "Qu'est-ce que vous faites ?!
Djigo : - "Je termine ce que j'ai commencé.
Oh, dieu du ciel, sauvez-moi ! Sauvez-moi, sauvez-moi, sauvez-moi...je ne crains de ne pouvoir plus rien faire pour me sauver de cette sensation, et la position dans laquelle nous sommes ne m'arrange pas d'autant. Qu'est-ce qui m'a pris de me blottir dans ses bras ?! Si j'étais restée à distance, j'aurais pu fuir de la chambre et m'enfermer dans la salle-de-bain jusqu'à ce qu'il se calme...
Djigo : - "Tu as une jolie poitrine.
Penda : - "Lâchez-moi...
Djigo : - "Voyons voir si le toucher équivaut au visuel.
Il se met alors à me caresser le sein, d'une main à la fois aigre et douce, me paralysant tout le haut du corps. Et, sans m'y attendre, il empoigne prestement mon deuxième sein, ce qui me fait tressaillir encore plus.
Penda : - "Ne me touchez pas...
Djigo : - "Quoi, tu n'aimes pas ? Pourtant, tu en a l'air. De toute manière, tu devras t'y habituer. Il en sera ainsi tous soirs, à partir d'aujourd'hui. Et encore, ce n'est que le début de l'interminable et rude supplice qui t'attend.
Thiéy Allah...je suis totalement terrorisée. Les larmes me montent aux yeux de plus en plus, et je ne peux contrôler mes tremblements. Je ne sens plus aucune partie de mon corps, à croire que la peur a mis fin à son existence. Il ne cesse de me toucher le haut du corps, de balader ses mains sur les contours de mes seins avant de les agripper et de les tripoter violemment, et les passages de ses doigts sur mon ventre, mes hanches et mon dos me tourmentent davantage. Qu'est-ce qui va m'arriver ? Que va-t-il advenir de mon corps ?
Djigo : - "Cesse de couiner. Tes larmes de vierge ne te sauveront pas de ta cage.
Mes jambes tremblent de plus en plus, et l'envie de vomir me subvient au quart de tour. Je ne peux lui résister désormais, et, vu l'état dans lequel je suis, je ne peux même plus penser à fuir. Il m'emprisonne les bras, et mes jambes sont aussi engourdies qu'un phallus en plein spasme.
Djigo : - "Passons aux choses sérieuses.
Djigo insère alors une de ses mains dans ma culotte et débute ses attouchements les plus rebutants. Il n'hésite pas à me malaxer l'arrière-train et me toucher au niveau de mon intimité la plus précieuse.
Djigo : - "Nooon !! Arrêtez ça ! S'il-vous-plaît, je ne veux pas...
Je me mets alors à crier de plus bel et à gigoter dans tous les sens, l'empêchant de fixer un point de palpitation.
Djigo : - "Calmes-toi ! Nous sommes mari et femme devant Allah et nos familles respectives.
Il sors ensuite sa ceinture de son pantalon et me détache les deux mains, puis baisse son caleçon et laisse apparaître L'OBJET, celui que certaines femmes désirent, et que d'autres craignent. Car, s'il est l'organe le plus précieux chez l'homme et l'origine du plaisir charnel, il est aussi la cause d'affreuses douleurs.
Djigo : - "Tu l'as cherché !
Ni une, ni deux, il me pénètre sans m'y préparer, et me déchire la seconde d'après.
Penda : - "Aaaaaaaaaaaaah
La douleur que je ressens à ce moment-là est plus qu'atroce. J'ai l'impression qu'une marche de soldats de l'armée sénégalaise me passe ardemment sur le corps tout en me plantant des épées, chacune recouverte de milliers d'aiguilles, elles-mêmes remplies de venin, me faisant alors saigner à chaque perforation. Et chacun de ses mouvements ne fais qu'empirer les choses...
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PENDA.
Любовные романыReprise par le sentiment de vide, de manque, PENDA va basculer dans une zone de souffrance et d' impuissance qui demeure présente en elle où s'y mêlent sourires, mariage forcé, douleur et souffrance.