Instincts De Prédateurs ||TOME I|| Terminée

Chapitre 19

#Point de vue de Chuck#

Je vois rouge. Je n'ai plus aucun contrôle sur moi. Je me jette sur elle, je pose mon nez contre sa gorge. Elle se réveille en sursaut.

- Blair : Chuck ! Qu'est-ce que tu fais ?

- Moi : Blair... va-ten dans la chambre de Jane tout de suite !

- Blair : Mais...

- Moi : Ne réfléchis pas ! Fonce !

Elle court jusqu'à la chambre de Jane. L'odeur de son sang, me rend fou. Même quand elle est partie, les images de son cou me reviennent. Mon dieu qu'est-ce que je fais...

- Moi : Serena ! Viens vite !

Elle mit quelques secondes à arriver.

-Serena : Quoi ... Chuck mon dieu il t'arrive quoi ?

- Moi : Jai... Faillit mordre Blair... mon dieu. Je suis un monstre. C'est à cause de ce foutu ours !

-Serena : Chuck. Regarde-moi. Calme-toi. Tu ne lui feras pas de mal tu le sais. Tu as réussi à te retenir avant la catastrophe. Tu es plus fort que tu ne le crois.

-Moi : Je lui ai fait peur. Je ne peux pas me laisser aller avec elle. C'est impossible.

-Serena : Maintenant que tu es calmé, va la voir. T'excuser.

- Moi : Je ne crois pas qu...

- Serena : Tait toi et va la voir !

Je me dirige vers ma chambre de Jane, à reculons. Je toque.

- Moi : Blair... ? Tu es la ?

J'entre. Elle était avec Jane, dans ses bras. Les larmes aux yeux. Qu'est-ce que j'ai fait putain...

- Moi : Blair écoute. Viens avec moi en bas...

- Blair : Daccord... j'arrive.

Je descends au salon et je me pose sur le canapé en attendant. Elle descendit les marches, avec une marche pas très assurée. Elle a peur.

- Moi : Viens à côté de moi. Sil te plait.

- Blair : Chuck, qu'est-ce quil test arrivé ? Qu'est ce qui ta pris ?

- Moi : Écoute Blair. Même moi je ne peux pas expliquer ce qui viens de se passer. Excuse-moi s'il te plait. Je suis vraiment désolé.

- Blair : Tu m'as fait vraiment peur Chuck... tu allais me...

- Moi : Oui. Je crois. Mon dieu Rien que d'y penser j'ai envie de me tuer d'énervement. Je n'ai pas le droit de te faire du mal.

- Blair : Et si tu aurais fait ce que tu dis... si tu ne m'avais pas tué... Je... Je serais comme toi ?

- Moi : Sûrement.

- Blair : Alors pourquoi ne là tu pas fais ?

- Moi : Tu rigole j'espère ?!? Tu ne voudrais quand même pas devenir un monstre ! Je rêve !

- Blair : Chuck... ne t'énerve pas..

Elle commence à pleurer.

- Moi : Non... Blair ne pleure pas s'il te plait... Excuse-moi, encore. Mais je ne veux pas mettre ta vie en danger encore une fois. Je ne peux pas me laisser aller avec toi.

Elle ne répond pas, elle se contente de prendre mon visage entre ses mains et elle m'embrasse.

- Blair : Chuck. Je t'aime. Peu importe ce que tu veux, moi je veux rester éternellement à tes côtés. Bon, demain on retourne en cours d'accord ? Aller hop ! Au lit monsieur Bass.

Elle ne me laisse pas le temps de répondre. Je monte avec elle me coucher. C'est impressionnant de voir qu'elle n'a même pas peur de moi. Je nen reviens pas. On se couche, elle dans mes bras.

Le lendemain matin fu rude. J'avais l'impression d'avoir bu de l'alcool, d'avoir pris une cuite. Pourtant, j'avais seulement bu un ours. Peut-être que le sang dours à le même effet quun verre de vodka ? Blair était déjà debout, à mon grand étonnement. Elle était déjà prête, elle préparait le petit déjeuner.

- Blair : Bonjour Monsieur Bass, désolé mais vous avez déjà manger.

Elle vient me déposer un baiser et repartis à ses casseroles.

- Moi : Tu as bien dormi ?

- Blair : Comme un loir, et toi ?

- Moi : Ça va.

Après le déjeuner, on partit à la fac. La matinée passa très longuement. Je n'étais pas avec elle en cours, et elle en revanche était avec Elena. Ça craint vraiment. Mais je ne m'en fais pas, Blair sais se défendre maintenant.

A la pause de midis, je la retrouve et je lui propose d'aller manger en ville, pour changer. Elle accepte avec un sourire étincelant. Que je l'aime.

Le repas commençait bien. Jusqu'à un certain moment. Ce moment était le plus redouter depuis 2 jours. Au fond de la rue ou notre cafétéria se trouvait, je vis Marcel. Ce lâche était présent dans cette ville. La colère surgit. Je sortis de table, avec une seule envie, le tuer. Létriper.