Instincts De Prédateurs ||TOME I|| Terminée

Chapitre 21

! Âme sensible s'abstenir, ce chapitre va contenir du contenue sexuel !

#Point de vue de Blair#

Cette histoire est juste hallucinante. Je n'arrive pas à réaliser que je suis en fuite, pour échapper à un vampire. Cest... improbable.

Si on mavait dit cela il y a 3 mois, je n'y aurais pas cru. Seulement, aujourd'hui, c'est réel. Je ne peux échapper à mon destin. Celui qui me lie à Chuck.

La voiture zig-zag entre les autres. Il roule vite. Trop vite. J'ai peur, et pour cela, je cramponne ma main gauche à mon siège, la droite, à la poignée de la portière. Chuck la surement remarqué car il ralentit aussitôt. Je brise le silence.

- Moi : Chuck...

-Chuck : Quoi ?

Il est froid est dur. Je prends une grande inspiration avant de continuer.

-Moi : Eu... comment tout cela a pu arriver ?

- Chuck : Parce que j'ai eu la stupidité de tomber amoureux d'une humaine.

Ses paroles me blessent. Comme si tout cela était ma faute. Comme si le fait d'être humaine était une erreur. Je ne relève pas. Je me contente de tourner la tête vers la vitre avant qu'il ne voie les larmes couler.

- Chuck : Écoute Blair, ce n'est pas ta faute...

- Moi : Ce n'est pas ce que tu laisses sous-entendre.

- Chuck : Blair ! Tu vas m'écouter maintenant. Je t'aime bon sang ! Si je fais tout ça c'est pour te protéger. À l'heure d'aujourd'hui, tu es toute ma vie. Je ne voulais pas compliquer ta vie. Ce qui est fait est fait alors... on va te mettre en sécurité. Tu vas aller avec Serena et Scott jusqu'à Vancouver. Je te retrouverais là-bas. Je vais éloigner le traqueur.

- Moi : C'est de la folie ! Tu n'as pas le droit de me laisser seule !

- Chuck : Si tu ne fais pas ce que je te dis tu vas mourir ! Maintenant, repose-toi.

Avant que je ne puisse parler, il me posa délicatement l'index sur les lèvres. Il les caresse tendrement, puis, de petits vaisseaux commencèrent à éclater autour de ses yeux, qui sont rouges à présent.

-Chuck : Ne me regarde pas.

Moi : Arrête de te cacher de moi ! J'en ai assez que tu me mettes à l'écart comme ça !

Ma réaction le surprend. Il se contente de serrer fermement le volant.

- Chuck : Nous sommes en fuite, pourtant, j'ai envie de te baiser comme la première fois.

- Moi : Alors arrête toi sur un parking et fait moi l'amour.

Il me regarde, un air de défie traverse ses yeux.

- Chuck : Tu es sur ? Je crois que tu n'imagines pas ce que je vais te faire.

- Moi : Arrête-toi !

Il prend la première sortis qu'il trouve, et se gare sur une aire d'autoroute déserte.

Il me regarde. Je le regarde. Puis, ma folie me prend. Je le tire vers moi. Il se met à califourchon, et m'embrasse sauvagement. Ses yeux deviennent rouges à nouveaux. Il s'arrête.

- Moi : Ne te retient pas, s'il te plait... j'ai envie de toi.

Je sens son souffle court sur la peau de mon cou. J'ai envie qu'il le fasse.

- Moi : Si tu ne me mords rien que pour goûter, tu auras peut-être moins de mal à supporter l'odeur de mon sang, une fois que tu y seras habitué...

- Chuck : Cette idée et stupide et génialissime à la fois. Ne bouge pas. Laisse-toi faire et tout ira bien. D'accord. Ne bouge surtout pas.

Je me laisse faire. Il se penche sur moi. Il hume mon odeur. J'entends ses canines sortirent puis, sa bouche parcourir mon cou. Je prends sa main dans la mienne. Il la serre et plante ses dents dans ma peau. La sensation est étrange. D'un côté, la morsure et douloureuse, d'un autre côté, elle me procure du plaisir.

Quelques secondes après, il s'arrête.

- Chuck : Je savais que tu étais délicieuse mais pas à ce point.

- Moi : Je dois prendre sa comme un compliment ?

- Chuck : Bon dieu ce que tu es bonne ! Je nai jamais goûté ou même sentis un sang aussi bon de toute ma vie !

Je n'ai pas le temps de réagir, qu'il se jette sur moi. Aujourd'hui, je mettais habillée en robe avec un collant fin. Le collant ne fit pas beaucoup de temps. Il le déchire d'un coup de main, il soulève ma robe, pendant que je m'occupe de son pantalon. J'ouvre sa ceinture, je baisse son pantalon et son boxer, et je le laisse rentrer en moi.

C'est tellement bon de le sentir. Je me sens si proche de lui. La sensation qu'il me procure à chaque fois que nous faisons l'amour à un goût de vouloir y retourner. Il fait de petit vas et viens. Je presse sur sa fesse droite, pour lui signaler d'aller plus vite. Ce qu'il fit. Ma bouche laisse échapper des petits gémissements de bonheur et de satisfaction. Je prends sa tête entre mes mains et je l'attire contre mes lèvres. Je l'embrasse, langoureusement.

- Moi : Chuck, plus vite !

- Chuck : Je sais que je suis un vampire, mais je ne peux pas aller plus vite que la musique quand même hein... mais dit moi, tu avais envie depuis quand ?

- Moi : Ne réfléchis pas et baise moi !

Il m'écoute. Il va de plus en plus vite. Des papillons frémissent dans mon ventre. Je suis proche de l'extase ! Quand tout à coup, un énorme caillou atterrit dans le pare-brise. Le traversant, il s'écrase sur une de mes jambes.