« Eh Merde ! » KatsuDeku

9. Hello mom'. I promise mom'.

« Hello mom'. »

Une chaise fût doucement tirer sur le côté du lit d'hôpital. Un jeune garçon s'y installa , avant de s'approcher du lit et d'attraper la main de la personne allongé. Il grimaça en sentant la température si basse du corps et ses yeux jaunes remontèrent vers le visage de sa mère. Un masque d'oxygène lui prenait une grande partie de son beau visage , ses yeux étaient fermés , et ses cheveux éparpillés sur l'oreiller. Le garçon soupira , resserrant sa prise sur la main qu'il tenait. Ça lui faisait mal au cœur et dans tout son être de la voir allongé là , sans pouvoir ne serais-ce que ce redresser , lui sourire et tout simplement vivre. Voir ses deux parents s'embrasser où faire leurs disputes habituelles. Tomber sur des moment gênant qu'il aurait voulu ne jamais connaître , ou encore les sous entendues que sa mère pouvait faire en riant quand il traînait avec son crush de primaire. Tout ça lui manquait. La bonne cuisine , les réveils mouvementés ou en douceur, de voir les exploits de ses parents dans les journaux et non pas l'avancement de son état médical. Il n'en pouvait plus. L'autre endroit lui avait fait oublier tout ça. Parce que là bas tout allait bien pour le moment.

« Tu es réveillé mom'? Chuchota Kazuki , une main venant prendre une mèche de cheveux entre ses doigts comme si c'était une poupée en porcelaine.
- Mmh... , Ce fut laborieux pour la personne endormie de répondre , même avec un simple grognement.
- Ne te fatigue pas trop. Tu as encore besoin d'énormement de repos... Je suis venu pour te dire que tout va bien pour moi et Mirai. Qu'elle t'aime et moi aussi. Et... Et que j'essaie de régler les choses avec papa. Qu'on va réussir à te sauver. Peut importe les moyens employés. On retrouvera aussi ces enculer. »

Les yeux de la personne hospitalisé s'ouvrirent difficilement , alors qu'on pouvait voir la bouche faire de même dans l'espoir de pouvoir enfin parler - Pour une fois que son fils venait le voir , il ne fallait pas qu'il manque l'occasion , pour rien au monde. Et il savait que si il ne parlait pas maintenant , son fils serait encore plus tourmenté.

« Faite... Attention à vous... Ce n'est pas un jeu... , La voix était clairement teinté d'inquiétude.
- On sait ! Arrête de parler ! On va tout arranger. Je sais que tu n'es pas d'accord avec ça , que tu voudrais qu'on laisse ça comme ça, sans tout régler nous même , m-mais... »

La voix de Kazuki flancha , alors que des larmes se m'étaient à dévaler ses joues , roulant sur celle-ci avant d'atterrir sur la main de sa mère. Il ne voulait pas que ça se passe. Quitte à ce qu'il disparaisse lui. C'était hors de question. Tout ça , c'était de sa faute. Parce qu'il était un fils instable. Parce qu'il était imbu de lui même. Égoïste au possible. Parce qu'il n'avait pas vu les petits bonheur de ses parents. Parce qu'à ses yeux son père ne les aimait pas - Il ne montrait aucun signe d'affection ou très peu ou alors de façon trop bizarre. Il avait toujours eut faux. Il ne remarquait jamais les sourire tendre que son père avait pour sa mère. Il ne voyait pas non plus quand son père chouchoutait sa mère quand c'était leurs moment du soir. Il ne les voyait pas travailler ensemble. Il n'avait jamais fait attention à ça. Ni même à quel point son père l'aimait lui. Son fils.

Il savait aussi que le temps , les heures , les minutes et les secondes se jouaient de leur histoire.

« O-on a réussi partout. Que ce soit toi qui soit là où papa. Que ce soit dans un autre contexte... Alors... Alors ce n'est pas la vrai histoire qui nous échappera avec Mirai. Je te promet. Je te promet de réparer mes erreurs mom'. Je te redonnerai le sourire. Je te redonnerai ton héro.
- V-vous... Vous êtes... Mes héros...» Souffla l'homme allongé , avec une grosse difficulté.

Kazuki paniqua en entendant les machines commencer à s'affoler. Il releva la tête , les yeux empreint de panique et de désespoirs. Il se fit tirer hors de la chambre par une infirmière lui criant qu'il ne devait pas rester là alors que les médecins entraient en panique dans la chambre. Certain criant que le cœur lâchait , d'autre qu'il fallait le brancher d'urgence et le réanimé.