L'elfe-magicienne(Thranduil love story)

Et merde!

Alors que le pin où tout le monde était se penchait de plus en plus, le salaud. J'ai nommé Azog, souriait comme un dégénéré. Enfin, ça change pas trop de d'habitude... Thorin,  jusque là, apeuré, décida de se lever et d'aller combattre l'orc pâle. Disons juste que je suis sure que tout avait été mis en place pour qu'il ait l'air majestueux... Azog se mis à grimacer. Je détournai les yeux vers la falaise pour voir si les nains allaient bien et surtout pour voir si les aigles arrivaient. Je vis avec horreur que Dori était en train de glisser, alors je sautai sur le tronc et couru jusqu'aux plus petites branches. Ce qui est utile c'est que les elfes ne pèse rien. C'est à peine si nous ne sommes pas en train de flotter dans les airs. Le pin craqua encore plus et Dori tomba, mais pu s'accrocher à la jambe d'Ori. Ils commencèrent tous à paniquer. Thorin se rua sur Azog et le combat débuta. Tout ce que j'attends pour intervenir, c'est que ça devienne trop violant. Je me retournai et vit Thorin en trin de se faire rétamer par Azog. Le pauvre nain était en sang. Pire encore, il n'avait plus l'air de respirer non plus.  La rage se propagea dans mon corps et mon œil gauche brilla d'une lueur chaude. Dans ma main, il y avait une énorme boule de feu qui grossissait à vue d'œil. Bilbon et moi agirent en même temps. Nous sautâmes sur Azog. L'un l'assénant de coup de dague, l'autre, le brûlant avec le feu le plus brûlant du monde.  Soudain, le hobbit fût projeté parterre. Débarrassé, Azog se dirigea vers le corps de Thorin, étendu contre une grosse roche, et  leva son bras fait de lames et de fer. Mais avant qu'il n'ait pu frapper Thorin, les nains s'armèrent et se jetaient sur lui. 

-Ouf! Laissais-je échapper avec soulagement.

Mais celui-ci fût de courte durée quand la branche qui retenait Dori et Ori de tomber céda. Tout se passa au ralenti, quand les aigles les attrapèrent au vol. Les aigles prirent chacun un nain sur leur dos. Leur chef prit Thorin entre ses pattes, le laissent à l'air, espérant ainsi le réveiller.  Après cinq minutes de vol, les aigles nous déposèrent au Carroc. Le Carroc, c'est le domaine d'un de mes bons amis: Beorn. 

À peine, les aigles, avaient-ils déposé Thorin sur le sol que nous nous jetions tous autour de lui.  Avant que mon père n'ait pu faire quoi que ce soit, je me jetai sur Thorin, mon œil droit brillant de sa lumière bleu. Je me penchai sur son visage et déposa une de mes larmes entre ses lèvres. Ça eu l'air de faire effet car il se réveilla en sursaut, se leva précipitamment et s'avança vers Bilbon avec fureur. 

-Êtes-vous malade?! Vous auriez pu être tué! Quand je disais que vous n'aviez pa votre place ici...  Je ne me suis jamais aussi trompé de ma vie.

Il l'enlaça. Soudain, il s'avança vers moi et m'enlaça aussi. Un truc drôle, c'est que vu que c'est un nain, son étreinte ne m'arrive qu'à la ceinture. 

Nous étions en train de descendre du Carroc quand nous entendîmes un rugissement d'ours. Derrière nous, les fourrés étaient agités avec force. Un ours gigantesque en sortit. Je le reconnu aussitôt. Mais sachant très bien de ne pas résonner avec Beorn dans sa forme animale, j'incitai les autres à courir de toutes leurs force jusqu'à la maison de Beorn où nous allons pouvoir reprendre des forces. Les nains ouvrirent la grande porte et s'engouffrèrent dans la grosse maison. Je restai dehors pour calmer Beorn, mais un certain truc féminin me fit me plier en deux et tomber sur le sol. L'ours s'arrêta aussitôt, étonné. Beorn se transforma en humain. Il me fixa un moment et m'aillant reconnue me demanda:

-Eh bien, qu'est-ce qu'il t'arrive, ma vielle amie?

-Et merde!!! Criais-je.

J'ai oublier mes trucs féminins pour ce genre de problèmes...

Prochain chapitre demain le 27 mars 2018.