De N à M

Chapitre XVII

          Hermione se réveilla.
Elle venait de pactiser avec la mort elle même. Du moins son plus fidèle serviteur : Lord Voldemort.

Elle n'en revenait pas.

Elle tourna rapidement la tête et vit la porte entrouverte. Elle s'habilla rapidement et sortit en trompe de la salle.

Elle fixa Drago. Il était pétrifié les veines de son front ressortaient.

_Tu as entendu.

Drago acquiesça, les sourcils froncés.

Hermione souffla :
_...Bon, tu n'as rien entendu d'accord ?
_Quoi ?! Tu tues quelqu'un tu pactises avec le Seigneur des ténèbres ! Mais putain qu-

Il fut couper par Hermione qui avait plaquer sa main contre sa bouche.

Elle le menaça de sa baguette et montra Pansy qui dormait à côté.

_Tu vas te taire et retenir ça Malefoy : Tu ne me connais pas et je ferais ce que j'ai à faire. Si je me suis confié à toi c'était par manque de confiance envers mes amis mais ne crois pas que tu as ton mot à dire sur quoi que ça soit. La cause de ces changements tu la connais et cette raison est une arme pour Voldemort. Je suis en danger plus que jamais. Maintenant tu vas me faire le plaisir de sortir d'ici et de ne pas te mêler de ce qui ne te regarde pas.

Elle n'avait aucune envie de faire ce "deal" et trouverais un moyen de passer en travers.
Mais Drago ne devait pas tout gâcher.

Il se leva et plaqua Hermione contre la porte.

_Ne me parle plus jamais sur ce ton. Ordonna t il. Tu ne mérites pas que je te parle alors cesses de te croire au dessus de moi. Ne pas m'en mêler ? Tu te fout de moi ! C'est toi qui a passer tes journée à fouiner dans toute l'école !...Ne me redonne plus jamais d'ordre.

Il reserra son étreinte sur le poignet de d'Hermione.

Elle poussa Drago de toute ses forces, le stupefixia et le sortit de sa chambre.

Elle le traîna jusqu'à la porte du dortoir et dit :

_Ne t'en mêle pas. Sinon il le saura "Finite".

Puis elle se faufila dans sa chambre et attrapa une feuille.

Elle avait décidé d'envoyer une lettre à Harry lui demandant de l'excuser et de finalement partir avec eux.

Même si elle ne le ferait pas, Voldemort devais penser autrement, au moins le temps de trouver un vrai plan.

Trahir son camp était tellement... frustrant. Bien sûr elle trouverait un moyen d'échapper à ça.
Elle réfléchis quelques temps. Puis attrapa sa plume :

"Bonjour Harry , je tenais à m'excuser pour mon attitude lors de notre dernière entrevu. Tu avais raison : je dois me concentrer sur notre mission. Je souhaite refaire parti du trio. Je mexcuse encore pour mes propos injustes. N'écoute pas Malefoy il a seulement envi de te faire renoncer à ta quête. Je te demande donc , de bien vouloir me raccepter dans la recherche des Horcruxes.
Ton amie ,Hermione"

Elle posa sa plume , plia et rangea sa lettre, puis la tampona.

Hermione souffla.
Comment avait elle fait pour ce retrouver dans pareil situation.

Plus l'année avançait, moins tous se déroulait comme elle le voulait.

Elle avait déjà fait deux crises , dût se confier à son ennemie. Elle avait repousser ses amis, pactiser avec Voldemort et maintenant elle devait mentir et trahir. Rien n'allait.

Pourquoi ? Qu'a t elle fait à par sauver sa vie ?

Elle baissa les yeux vers sa lettre et se rendit compte de la gravité de la situation.

De larmes commencèrent à perler ses joues.
Elle tourna la tête et vit un cadre où elle était représentée avec ses deux amis.

Ils souriaient et jouaient ensemble. Hermione rayonnait de bonheur.
Ses larmes continuèrent à couler comme si elles étaient libérées...

Elle avait vraiment tout gâcher.
Sa vie et celle de ses amis.
Bien sûr c'était un peu tard pour se lamenter.
Son cas était désespéré mais en regardant cette photo un espoir l'envahit.
Un jour peut être, retrouverait elle le bonheur ?

Pour cela elle devait d'abord faire par de sa situation à quelqu'un.

Elle ne pouvait vivre ça seule.

Hermione pensa d'abord à : Ginny ? Toujours vexé.

Harry ? Non ! Il va la détester d'avoir pactiser avec Voldemort!

Ron ? Aucune envie de lui dire quoi que ce soit.

Luna ? Hors sujet....

Elle réfléchis de longue minutes en vain.

Elle se leva et vit Pansy, qui dormait toujours paisiblement.
Soudain une idée plus ou moins satisfaisante lui vint.
Drago.

***