Après le déjeuner, je suis de bonne humeur pour les cours. Pasquarelli nous a vu ensemble et il était déçu. Lui qui voulait nous séparer, et bien, c'est raté. Pendant les heures de permanence, Agus et Mike nous ont rejoint. J'étais contente de leur présence et je voulais savoir l'actualité du lycée. Ils étaient comme nos " journalistes " personnels.
- Vous savez quoi ? commence Agus.
- Non, répondons en même temps Cande et moi.
- Pasquarelli et Koppeliof sont ensemble, termine Mike.
Cande et moi, nous nous regardons, choquées. Et bien, ça été vite de trouver quelqu'un d'autre.
- Ce n'est qu'un connard, dit mon amie.
- Oui, je renrichis.
Pendant la récréation, on voyait Ruggero et Carolina se bécoter devant tout le lycée. Je le regarde, en colère contre lui. Quel crétin celui-là !
- Ne me dites pas que j'étais comme ça ?! nous demande Cande.
- Non, tu étais moins pire. C'était, comment dire, plus doux, je lui dis.
- Ouf, ça me rassure. S'il voulait pas de moi, il aurait dû me le dire avant, j'aurais moins souffert. Ou alors, il aurait dû ne pas se mettre avec moi.
Nous rigolons et partons à notre prochain cours.
Les cours se terminent et je marche jusqu'à chez moi. Mais avant d'y arriver, une personne dont j'ai une petite idée m'arrête tout de suite.
- Sevilla ! Attends un peu.
Bingo ! J'ai gagné ! J'essaie de partir mais il est trop fort.
- Pasquarelli, dégage !
- Pourquoi tu parles encore à ta copine ?
- Elle m'a pardonné. Tu n'étais qu'un con, elle s'en est aperçue ! Encore heureux. Qui peux être avec toi ? Tu n'es qu'un sal connard.
- Elle sait au moins que nous deux avions fait des petites choses, me dit-il en se rapprochant de moi.
- Oui, maintenant dégage connard !
- Hé, je ne suis pas un connard chérie.
Je lui lance un regard noir. J'allai partir mais il m'interrompt encore.
- Pas si vite Sevilla.
- Quoi encore ?
Il voulait embrasser ma tempe mais je le frappe.
- Non ! Arrête ! À ce que je sache, tu es avec Carolina, la madame-je-me-fais-respectée-par-tout-le-monde.
- Pourtant, quand j'étais avec ta copine, ça ne semblait pas te déranger non ?
Je deglutis. Pourquoi il a toujours les mots pour me foutre la merde lui ?
- Pasquarelli, dégage ! Je ne veux plus te voir ! Compris ?
- Cela sera difficile Sevilla. Nous sommes dans le même lycée.
Je rentre chez moi, en essayant de ne pas être suivie. Il me lance un sourire grandiose. Ce gars me donne les nerfs. Je n'en peux plus de lui.
Salut salut !!! J'ai repris les cours donc chapitre tous les soirs !!!! Alors ce 15 ème chapitre vous plaît ??❤
Lyzéa
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BAD BOY [ruggarol] - TERMINÉ
Fiksi Remaja" Je regarde autour de moi quand mes yeux se fixent à un homme sacrément beau. Chemise blanche, veste noire, jean noir, baskets noires, cheveux bruns et bouclés. " ... " - Tout vas bien. Elle est merveilleuse ta copine. Je l'adore. Mais il me manque...