BAD BOY [ruggarol] - TERMINÉ

7

C'est la fin des cours. N'ayant pas envie de marcher ce soir là, je décide de prendre le bus. J'arrive quelques minutes après chez moi. Je vais directement dans la cuisine pour prendre de la brioche et du Nutella. Cette nourriture est toute ma vie. Il est presque dix-neuf heures quand je reçois un message de Cande:

Cande:

Ma Karol! CA va ?

Moi:

Oui et toi ?

Cande :

Ya ! Je commande des pizzas là !

Moi:

Oh! Bonne idée Cande

Cande:

Je sais ! I'm very intelligente

Moi:

Parle français Cande 😂

Cande:

Déçue 😂 aller bonne soirée !

Moi:

Ouais ! Toi aussi ❤

J'appelle donc une pizzeria pour une délicieuse pizza mozzarella. On sonne a la porte. Je prends de l'argent dans le bocal qui se situe dans la cuisine et ouvre cette porte. Je salue le livreur et je m'installe dans le salon, sur le canapé, devant un film ( je ne connais pas le nom d'ailleurs).

Il est vingt heures quand on ressonne à la porte. Qui ça peut être ? Mes parents ont-ils finis plus tôt leur rendez-vous ? Non, impossible. Avec leur patron, ils discutent énormément longtemps, très longtemps même. Je vais donc devant le porte, méfiante. Celle ci sonne encore. Je l'ouvre, et là, surprise.

- Pasquarelli ?

Mais ? Que fait-il chez moi ?

- Mmh, Sevilla, sympatoche ici.

- Maintenant tu connais mon nom ?

- Ouais, ta copine parle de toi. Vraiment plus envie de te connaître.

- Moi, pas vraiment !

Je voulais lui claquer la porte au nez mais il la retient.

- Et pepep ! Sevilla. J'ai un truc à faire !

- Mes parents ne veulent personne chez eux. D'ailleurs, faut que j'aille les rejoindre.

- Mensonge. Ils ne sont pas là.

Je le regarde d'un air questionneur. Il rit et rentre dans la maison. Il s'installe sur le canapé et prend l'avant dernière part de pizza. Je le regarde, furieuse, et prend la dernière part de pizza.

- Vas-y fait comme chez toi Pasquarelli ! râlais-je

- C'est ce que je fais.

Je le regarde, très furieuse. Il retire son maillot, le jette à travers la pièce. Alors, à ce moment, je me surprends moi même.

- Non mais ! Pasquarelli ! Tu fous quoi là ?

- Je fais comme chez moi.

- Ahah, tu es drôle, je lui dis en frappant maladroitement dans mes mains.

C'est vrai que ses abdos sont remarquablement biens dessinées. Son jogging mal mis laisse apparaître son boxer. Enfin, si s'en est un. Après tout, ça peut être un caleçon. Karol, tu t'embrouilles pour un rien.

- Alors, ta vue est intéressante ? me demande-t-il.

- Non, non. Je... je

- Arrête de paniquer Sevilla.

Mon cœur bat ultra vite. J'ai peur de se qu'il va me faire.

Il se lève, se dirige vers moi, et me plaque ( encore ) contre le mur le plus proche. Il m'embrasse la tempe comme il a pris l'habitude de faire.

- Tu es belle aujourd'hui Sevilla.

Je rougis, ayant peur et le détestant en même temps. Encore un autre qui m'a remarquée. Mais est-ce que ça pouvait être quelqu'un d'autre ?

Salut salut mes chers lecteurs/lectrices ! 7eme chapitre ! J'espère qu'il vous plaira !

Bisous bisous ❤😊

Lyzéa