8- Morning

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* Loving you more, Tom Tripp. *

- C H A P I T R E 8 -

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PDV Skylar :

Les yeux encore clôts, un vacarme retentit dans la paroi de mes oreilles.

Shit, qui vient foutre son cul dans ma chambre ?

Un oeil après l'autre, la lumière s'infiltre agressant mes iris qui me brûlent désormais. Rahh, qui a aussi ouvert mes rideaux ? Si je trouve cette personne elle peut dire adieu au reste de sa vie, parce que je risque de ne pas être très clémente.

Je crois que le plus affreux dans tout ça, n'est pas le fait du bruit ou même de la lumière, mais de la scène qui se produit en face de moi. Je suis en plein rêve érotique – et en même temps en plein cauchemar, qui ferait que cette vision paraît totalement illusionniste, ou alors, je suis bien réveillé et la personne devant moi est bien à poil avec une serviette sur l'épaule gauche ?

Quand je vois son rictus s'affichait sur ses lèvres, la compréhension me gagne, ce n'est clairement pas un rêve, et Deavon se trouve clairement à poil dans MA chambre avec MA serviette et SON horrible rictus au coin de la bouche.

— Sors de ma chambre ! Crié-je en me redressant dans mes draps.

— La vue ne te plaît pas ? Me demande-t-il en tapant une posture telle une statut.

Je reste muette quelques instants, la situation est totalement ridicule.

— Clairement pas, soupiré-je en me renfoncant dans mon lit.

À cause de sa débilité, je me réveille avec son corps nu comme un ver dans ma chambre, certes il est pas mal, mais c'est pas la vision que j'ai envie de voir à mon réveil.

— T'es sûr que tu vas t'en remettre ?

Il prend la serviette en s'essuyant les cheveux ne daignant pas partir.

— Qu'est-ce que tu comprends pas dans dégage de ma chambre ?

Son regard comme à son habitude se fait amuser, déjà bien démonstratif auparavant il se rapproche encore de mon lit.

— On ne me donne pas d'ordre, ricane-t-il les cheveux désormais secs.

Ma rancoeur vis à vis de lui ne fait que s'agrémenter un peu plus de jour en jour. Je le déteste d'être là, d'être partout en réalité. Faut toujours qu'il apparaisse et qu'il fasse des situations les plus génantes possibles.

Sincèrement, j'ose même plus regarder son corps entier, faisant tout ce que je peux pour éviter de poser mes yeux sur lui.

— Si tu ne sors pas je vais--

Brothers Against Hell [EN PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant