Chapitre 22

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Je pénètre dans une sorte de boite de nuit. La musique électrique qu'il y'a ici est assourdissante. Les murs doivent être insonorisés.

Pas beaucoup de gens. Les femmes et les hommes sont tous sur leur trente-et-un. J'ai l'impression d'être une invitée à mon propre anniversaire. Ils sont encore plus beaux que moi.

Tout le monde à au moins vingt-et-un ans ici. Je suis la seule ado. Loin de me gêner, ça me plait au contraire!

Il n'y a pas beaucoup de monde. Même si les serveurs s'ajoutent, il n'y a pas beaucoup de monde.

C'est excessivement beau ici! Les murs sont recouvert de rouge pourpre et un grand damier blanc noir en marbre si je constate bien sied au dessous de nous.

La pièce a quelques allures de boite de nuit. Si elle n'en ai pas!

Il y'a des petits dessins africains partout. Ça rend la pièce un peu démon mais incroyablement magnifique.

Les éclats de rire résonnent malgré la musique excessive. Tous portent un verre à la main.

Il y'a tous les goût ici. Du vin, du champagne, du whisky, des cocktails que je ne connaissais pas. Boissons gazeuses de tout genre.

Je me plait déjà ici. Je tourne ma tête vers mon père pour lui dire mais déjà, je ne le vois plus!

Personne n'avait levé la tête en nous voyant arriver. Chose curieuse, mon père n'avait pas chercher leur attention. Je croyai que les chefs de gangs étaient des assoiffés du"craignez-moi!". Qu'on leur présence, surtout quand ils pénéteaient un endroit, même les mouches observaient le silence!

Au fait, sûrement c'est ainsi, mais mon paternel est bien different. Je le cherche du regard et ne le voit pas! Ciel! Il ne s'est pas volatisé comme ça! J'ai pris à peine une minute pour matter les lieux.

Un serveur s'approche de moi.

-Mademoiselle Lena soyez la bienvenue!

-Merci! Mais c'est Jenna et non Lena!

Il semble étonné puis par dans un rire nerveux mais poli:

-Excusez moi mademoiselle mais j'avais cru entendre votre père nous dire que vous vous appelez Lena! Excusez-moi!… Mon indiscrétion est surement impardonnable!

Il incline la tête en signe de profonde confusion. Son état m'alerte:

-Ne soyez pas ainsi! Mon père croyait lui-même que je m'appelais Lena! Je dis une main sur son epaule. En passant, l'avez-vous vu?

-Oui! Il venait de descendre au sous-sol avec la mademoiselle Carmen!

-Au sous-sol! Je répète ahurie. Et ça se trouve où?

Le serveur me regarde les yeux écarquillés, non d'incrédulité mais de peur. Il se mord la lèvre jusqu'au sang.
M'a t-il dit quelque chose que je ne devais savoir? En tout cas, c'est cette impression qu'il donne.

-Je dois m'en aller mademoiselle! Dit-il avant de chercher a se sauver!

-Ho ho ho! Restez-là et conduisez-moi aux prétendu sous-sol.

Je rajoute en lui empoignant la main.  Il m'observe en coin.

-Je…

-Non! Je ne veux rien entendre! Conduisez moi vers mon paternel!

-Promettez moi d'abord de me protéger!

-Je vous le promets! Je repond mécanique.

Je ne sais ni ne comprend pourquoi il disait ça! Néanmoins, je veux voir ce sous-sol!

Il me conduit sur ma gauche! Droit à un…mur! Il prononce quelque chose dans un chuchotement proche du mur qui maintenant se déplace dans un bruit sourd! Il a tellement parler bas que je n'ai rien entendu! Je le soupçonne même d'avoir ainsi parler exprès!

Personne ne nous a vu y entrer je crois!  Nous marchons maintenant dans un couloir très étroit et sombre! Cette demoiselle Carmen ne doit pas être grosse! Elle ne serai pas passer par ici!

-Quelle genre de relation entreprenne cette demoiselle Carmen et mon père?

Il sourit! Je ne le vois pas car il fait trop sombre mais je le sens!

-Une relation un peu compliquer! La demoiselle n'a que 12ans voyez-vous!

-Ahhh! Je dis un peu soulager! Et selon vous, que ferai mon père avec une enfant de 12ans?

-Ce qu'il fait avec les autres enfants et ados! Répond t-il mécanique.

-Et que fait-il avec eux?

-Je ne le sais!

Nous continuons notre descente qui semble interminable! Il n'y a pas d'ascenseur et j'ai deviner que le sous -sol se trouve vraiment au sous sol et que j'étais au dernier soit le 70eme étage!

-Et sinon, mon père n'a personne?

-Personnellement, je ne l'ai jamais vu avec personne! Mais comme tout le monde je pense qu'il doit avoir quelqu'un!

Ce fut tout ce  que l'on se dit dans ce couloir sinistre. Mes pieds, je croyais qu'ils allaient fuir mon corps car la souffrance que je leur avais infliger en descendant ses marches était surhumaine!

Enfin, la lumiere se pointe au bout de ce sinistre corridor sombre. Des  cris de douleurs retentissent!

Mon indic' semble avoir peur car sans demander son reste il rebrousse chemin! Je reste de marbre! Les cris s'empirent! Quelque chose me dit que je pourrais être entraint de crier à la place de cette… femme! Mais la curiosité est plus forte!

Doucement, très doucement, je m'approche sur la pointe des pieds car j'ai retirer mes escarpins depuis belles lurette!

Maintenant je suis penché vers la porte entrouverte qui mène à l'intérieure. Je suis surprise d'y voir personne. Je gagne donc le territoire! Les cris ont cesser! La pièce ou j'ai atteri est une horreur! Il s'y trouve des outils de tortures que je ne pensais pas! Des armes à lances! Des fusils! Des revolvers! Des couteaux de toutes tailles! Des matraques! Des fouets! Des choses que je ne connais pas et qui pourtant ne serve qu'à une seule chose:  faire souffrir!

-Qui t'a envoyer? Demande mon père d'une voix froide et qui me fait trembler!

-Antony Scooter! Répond la femme entre deux sanglots d'une voix lasse et pourtant pleine de haine!

Une autre porte mène à la salle de torture. Je m'approche d'elle à pas de loup afin de voir par le trou de la serrure ce qui se passe de l'autre côté.

Mon père est de dos! Penché vers une femme dont je ne vois que les mains et les pieds ensanglotés. Elle porte une robe que je devine d'origine blanche qui est devenue toute rouge! Je ne vois pas son visage! Et à côté de mon père se tient une fillette qui me semble dépourvue de sentiment car tout d'un coup elle plonge son couteau dans la main attachée de la dame!

Elle hurle au même moment qu'elle sauf qu'elle transmet un message à la place de crier de douleur!

-On veut la vérité!

Mon père se redresse et se met à faire des cents pas! Il y'a des hommes armés postés partout, dans tous les coins!

Je peux enfin voir la femme! Elle est rasée! Chauve, completement! Elle n'a plus qu'un oeil et son visage est une horreur. Elle a… oh merde!

La porte s'ouvre brusquement et je tombe dans l'autre salle! Je m'était pas rendu compte que je donnais tout mon poids à la porte! Elle n'a pas ceder! On la ouverte de l'intérieure!

Tous tournent leurs yeux vers moi! Et ceux de mon père s'illuminent en me voyant!

Oh! Non d'une curiosité! Je sens que je vais passer un mauvais très mauvais anniversaire!

Gangs ennemisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant