Je vais vous faire souffrir! [Fairy tail] {Terminé}

Chapitre 20:

Pdv Lucy:

Je me réveilla en sursaut. Des larmes dévalaient mes joues. Je venais de faire un cauchemar, mais d'habitude, Zeleph est là pour me calmer. Il me réveille et me rassure avec son beau sourire et ses douces paroles.

Je regarda l'heure: 4:17 du matin. Je me leva tant bien que mal, m'habillais, finissais de remplir ma valise - mais il restait encore de la place - et sorti. Direction Fairy Hills. Pourquoi? Car il y a une boutique de vêtements la bas.

J'ouvrais la porte -qui n'était pas fermée à clef - et pénétrais dans la boutique. Je chercha l'interrupteur mais trébucha sur un chose par terre et m'étala par terre. Je me releva et continua à chercher l'interrupteur en faisant glisser mes mains contre le mur.

Trouvé!

J'alluma les lumières et me dirigea vers le rayon homme, pas pour moi, bien sûr, mais pour Zeleph. Il aura plusieurs habits. Je pris un sac et y fourra le plusieurs habits. Tous du style de Zeleph.

Je sais se n'est pas bien de voler. Après tout se que Fairy tail m'a fait, ils me doivent bien ça. Je ressortais en courant vers mon appartement avec la poche. Je l'a rentra dans ma valise et...

Non! NON! NOOOONNNN!

Une vague de magie noire sortie de moi. J'ai baissé ma vigilance et la malédiction en a profité. Les vitres explosèrent. Je dévala les escaliers et regarda si j'avais tué des gens.

La concierge. Elle est morte par ma faute. Il faut que je sorte qu'ici au plus vite. Je pris ma valise et sortis à l'extérieur. Il faisait encore noire et seul la lune et les lampadaires éclairaient la route. TOUT ÇA C'EST DE LA FAUTE DE FAIRY TAIL!! J'aurais dû les tuer une nouvelle fois! J'aurais dû les faire souffrir!! Les faire payer!! Je vis dans la peur à cause d'eux!! Si je les vois je vais les tuer!

Je cours pour fuir cette ville, pour fuir la population. Dès que la malédiction ou plutôt la pourriture a ouvert une brèche, elle peut revenir à tous moment même quand tu es vigilant.

Je passa à côté du train en courant. Il ne faut pas que je m'arrête. Ma valise me ralentissait et me tirait le bras. Mais je continuais.

À suivre.