Chapitre 29 :

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- Tony tu peux nous ouvrir la porte s'il te plait ? Demanda Steve.

Tony soupira mais commença à appuyer sur les touches de son ordinateur. Ça allait faire une heure qu'ils étaient au laboratoire secret de Trask perdu dans le Kansas et il avait l'impression qu'ils n'avançaient pas d'un poil. Ils avaient fait deux groupes : le premier groupe était constitué de Raven, Kurt, Hank, Ororo et Rhodes. L'autre était constitué de Scott, Jean, Vision, Steve et Bruce. Alors que le groupe de Raven était descendu dans les sous-sols du labo, le groupe de Steve avait exploré entièrement le rez de chaussé mais ils n'avaient rien trouvé et ils étaient à présent au premier étage.

- Pourquoi j'ai accepté de rester ici ? Râla Tony, ça doit la dixième porte que j'ouvre ! Que pour le groupe de Steve ! Steve tu as Vision avec toi ! Une hyper intelligence !

- Stark ouvre cette porte, grogna Steve, sinon je l'ouvre moi-même et l'alarme s'active !

- Aucune chance j'ai désactivé l'alarme ! Hurla Tony.

Scott et Jean se regardèrent désespérés. En voyant les Avengers agir ainsi, ils se demandaient bien comment ça se faisait qu'ils avaient plusieurs fois sauvé la Terre. On aurait dit des enfants qui se disputaient. De son côté, Bruce essayait de ne pas rire. Il avait l'habitude de voir Tony et Steve se disputaient, surtout à cause de la technologie, que Steve n'arrivait encore à très bien comprendre, mais ça le faisait toujours rire. Il avait l'impression qu'à chaque fois que Tony commençait à parler science et technologie à Steve, il prenait la voix d'un professeur désespéré. Vision de son côté, ne s'occupait pas vraiment des disputes entre Steve et Tony, il avait vite compris que les disputes entre le soldat et Trask étaient presque obligatoire pour une bonne entende dans le groupe. Il préférait vérifier grâce à ses différents capteurs, qu'aucun ennemi n'arrivait dans leur direction.

Tony appuya sur un bouton de son clavier et la porte qui coinçait le groupe de Steve s'ouvrit. Il soupira et se tourna vers Charles qui assuraient la communication entre eux et les deux groupes. Lui et Charles étaient restés dans le Quinjet, où Tony avait devant lui plusieurs ordinateurs et pouvait guider les groupes, tout en désactivant la sécurité et de son côté Charles assurait la communication grâce à son pouvoir.

Le groupe de Raven arriva devant une grosse blindée. Ils s'arrêtèrent puis se regardèrent, tous d'accord. Une si grosse porte devait cacher quelque chose. Raven sourit malgré elle, ils avaient enfin quelque chose, depuis le temps qu'ils courraient dans ce labo sans rien trouver. Ils avaient bien rencontré quelques scientifiques et gardes mais au milieu de la nuit, il y avait peu de monde, et ils avaient put le neutraliser rapidement.

- Hey Tony ! Tu peux nous ouvrir la porte...

- A456, finit Hank.

Tony tapa sur le clavier dont de ses ordinateurs et trouva la porte devant laquelle se trouvait le groupe de Raven. Il fit la grimace en voyant le nombre de défense qu'il avait autour de cette porte.

- Ça risque de prendre du temps, elle est très bien protégée, déclara t il.

- Il doit avoir quelque chose d'important derrière, dit Hank.

- Il ne faut pas être un géni pour le deviner, marmonna Tony.

Hank arqua un sourcil en se tournant vers Raven, se demandant ce que voulait dire Tony par là. La blonde roula des yeux puis secoua la tête. Il ne valait pas répondre à toutes les phrases de Tony, sinon ils n'en finiront jamais.

- Hey vous ! Qu'est ce que vous fichez là ?!

Le groupe de retourna et vit trois gardes devant eux. Raven soupira puis jeta un coup d'œil vers Hank. Ils se comprirent, puis s'élancèrent vers les gardes, Hank en se transformant en Fauve. Les deux mutants se jetèrent sur les gardes. Raven sauta sur les épaules de l'un puis l'amena au sol, tandis que Hank en jeta un contre le mur et désarma le troisième. Il l'assomma avec sa propre arme. Il assomma celui qui était à terre avec un coup de poing puis se tourna vers Raven. La mutante se relevait tranquillement, puis se tapa les mains tout en se tournant vers le garde qu'elle avait assommé.

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