La lumière du jour projetait ses éclats dans la chambre quand je me suis réveillée. Je me suis retournée et je ne vois pas Beau dans le lit. Juste un petit mot de sa part « Désolé d'être parti si tôt, j'avais des choses plus urgentes à faire ». Choses plus urgentes à faire ??? Il est sérieux là ? Qu'est-ce que j'ai bien pu faire cette nuit qui le pousse à partir comme ça sans même m'avertit ? C'est parce que je n'ai pas pu répondre à sa demande ? Oh, Seigneur !
Soudain, j'attends des bruits dans la cuisine, je m'habille au plus vite pour partir d'ici afin de m'éviter une autre honte. Une fois au niveau de la cuisine, je vois Beau, habillé d'une culotte et d'un débardeur en train de faire le petit déjeuner.
Beau (surprit) : Tu vas où Princesse ?
Nadia (surprise à son tour) : Mais je pensais....ta note..... Beau tu m'as fichu la trouille.
Beau (triste) : Tu pensais que j'avais fuis ? Tu penses sincèrement que je suis ce genre d'homme ?
Nadia : Non, je n'ai pas .....J'ai eu peur Beau.
Il était un peu fâché, alors je m'approche de lui pour coller mes lèvres aux siennes. Je lui donne un tendre baiser auquel il répond avec brutalité. Je sens nos lèvres s'emballer et nos cœurs battants à l'unisson. Il me déshabilla et commença par caresser chaque partie de mon corps. Ces baisers étaient si doux et tendre, que chacun de leurs contacts sur ma peau me faisaient m'exciter encore plus. Je pense n'avoir été jamais autant heureuse de toute ma vie. Nos baisers nous conduisent dans la chambre. Je le supplie du regard de se retrouver en moi car ce divin supplice m'était insupportable. Et sans se faire prier plus longtemps, il se retrouve en moi, au plus profond de moi. Je suffoquais à chacun de ses coups de hanches.
Beau : C'est ici que je me sens l'homme le plus heureux. Juste là. Avec toi et en toi.
Au fur et à mesure que sa voix mêlée de ses gémissements se faisaient entendre, je me mis à crier son prénom. Il se retire et me pénètre de nouveau en recommença des va et vient à une vitesse miraculeuse. Il m'embrassa tendrement et je me rendors.
A mon réveil, il était à côté de moi, m'observant.
Beau : Bien réveillée Princesse ? Fatiguée ?
Nadia : Oui bb. Et j'ai faim aussi.
Il me sourit puis me tends un plateau de repas. Je mourrais tellement de faim, normal après un tel marathon. Une fois le repas fini, il enleva son débardeur. Dieu, je pourrais le regarder comme ça toute la vie, juste à admirer les courbes fabuleuses de son torse, telle la statue d'un dieu grec, de chair et de sang...
Beau : Douche ou bain, princesse ?
Nadia : Douche.
Il me souleva et m'amena sous la douche. Il me donna un bain et je lui en fais de même. C'était si merveilleux. Oh mon Dieu, que cette journée ne finisse jamais. Mais trop tard, on attendait une voix qui l'appelait du salon. Une voix qui ne m'était pas familière.
Beau descends pendant que je m'habillais. J'entendais sa voix depuis le salon avec une femme.
Je les rejoins et ils se taisent. Cette femme était beaucoup trop collée à mon mec à mon avis.
Beau : Oh chérie, tu es prête ?
Nadia : oui, je devrais rentrer maintenant je pense. Je prendrai un taxi.
Beau : Pas question ! Je te dépose.
Soudain un raclement de la gorge se fait entendre. « Si je vous dérange, faite le moi savoir inh » avait dit la jeune fille.
Beau : Nadia, je te présente Leila, une amie. Leila, je te présente Nadia, ma meuf.
Leila (surprise) : Dis plutôt une de tes conquêtes que tu jetteras d'ici peu.
Nadia (sourit) : Enchantée Mlle. Puis je me colle à Beau.
J'adore voir cette pétasse rouge de jalousie mais j'étais trop fatiguée pour lancer une troisième guerre mondiale. Alors je regarde Beau qui comprit que je devais rentrer. On laisse Leila plantée là puis on s'en allait chez moi.
Arrivés chez moi, il m'ouvre la portière puis m'embrassa tendrement. Il promit m'appeler dans la journée.
Belle nuit et belle matinée pour nos deux tourteaux. Mais ce bonheur risque de ne pas durer éternellement. Suite épisode 12.
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Le Passé nous rattrape
RomanceLes lois de la nature sont des commandements de la raison ou encore mieux des prescriptions divines pour assurer à l'homme sa bonne conduite en société. La gratitude, le pardon, le rejet de l'insulte, de l'orgueil, de l'envie pour ne en citer que c...