chapitre 20

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Wouly se dirigeait vers la voiture qui l'attendait, Tamsir l'attendait pour lui ouvrir la portière...

-Miss Wouly. ..

-Bonjour Monsieur Tamsir

-appelez moi Tamsir c'est mieux.  Fait il .

-d'accord. 

Sur le trajet Wouly repensait à la lettre que Clara avait laissé.  Qu'en était il de son corps.  Sa famille. 

-Le dîner à été mis demain au palais , alors vous allez rester au chalet jusqu'à ce que Mr Hassan ne vienne vous chercher.   Lui dit Tamsir en la faisant sortir de sa rêverie. 

-Monsieur Le Cheikh n'est pas la?

-Non Miss, il est allé  d'urgence à New York pour une réunion.  Il sera la demain matin .

-je vois. Fait elle un peu déçue de ne pas le voir. 

Arrivés au chalet,  wouly montait dans sa chambre après avoir insisté pour aider Tamsir à ranger les courses et ses affaires.  Elle aperçu sur le chevet de son lit une rose blanche et des boîtes de chocolat avec un mot inscrit " bienvenue" . Comme il pouvait être formaliste ce cheikh. Voulant ranger son sac de séjour,  Elle remarquait la penderie pleine à craquer de vêtements les uns aussi beaux  que les autres . Elle ne comprenait pas.  Elle aperçut une boîte rose enroulée d'un ruban rouge . Elle s'assit au sol en position moine et l'ouvrit.il y avait des bouquins et un mot à l'appui disant "espérant que ça te plaise ". Elle se mit à sourire bêtement jusqu'à ce que son coeur reparte vers Clara  elle referma rapidement la boîte et le penderie.  Elle se mit dans son lit et recommença à pleurer. Elle pleura tellement qu'elle s'endormit .

Il devait être sûrement tard en Russie, avec ce décalage horaire , Al Hassan n'avait qu'une seule envie, vite rentrer au chalet pour voir le visage magnifique de wouly . Il espérait vraiment que ses cadeaux lui auraient plu . Il venait à peine de finir sa réunion avec ses partenaires d'affaires Turcs . Il appela Tamsir pour savoir si tout allait bien.

-bonsoir Tamsir...  je vais bien.  Vous êtes bien arrivés , tout va bien ? Comment ça elle s'est endormie sans manger ? Je vois.  D'accord a demain. 

Wouly avait pleuré durant toute la soirée lui disait Tamsir, elle s'était même enfermée dans sa chambre.  Il fallait qu'il sache ce qu'elle avait.  Ça ne servait à rien s'il restait ici encore puisqu'il avait fini . Il fallait qu'il rentre immédiatement pour savoir vraiment ce qui se passait.  Hassan passa un coup de fil et trente minutes plus tard il était dans un Jet qui le ramenait en Russie
.

Assis dans le Jet , il repensait au plan qu'il avait élaboré.  Il craignait que ça ne fonctionne pas et là il aurait un gros soucis . Il avait confiance en son ami il savait que tout allait bien se passer. 

Arrivé au chalet,  Hassan montait rapidement les escaliers pour se rendre dans la chambre de Wouly . Fermée à clef il utilisa le double pour l'ouvrir.  Il s'approchait d'elle à pas de velours pour éviter de la réveiller.  Elle avait porté la nuisette en soie rouge qu'il lui avait acheté. Cette couleur contrastant avec sa peaux mettait   Son corps exquis en valeur.  Elle était semblable à un vin vieux de quarante ans . Rien que sa comparaison le faisait rire . Il enleva ses chaussures et je glissait dans son lit . La regardant dormir... il ne put s'empêcher de caresser son visage si beau et fin avec son pouce . Lorsqu'elle ouvrit les yeux comme s' il était pris en flagrant délit de quelque chose.  Il rangea  alors sa main. 

-Vous êtes la... fait wouly encore endormie ...

-Oui oui , j'ai fini plus tôt que prévu et je suis rentré directement. Tamsir m'a dit que tu n'allais pas bien.

-vous vous êtes inquiété pour moi ?

-oui wouly j'étais inquièt pour toi . Alors dis moi ce qui ne va pas. 

Wouly inspira un grand coup. Elle savait très bien qu'elle risquait sa vie et celle de sa famille en racontant tout au Cheikh
Mais une chose en elle lui faisait confiance . Elle se mit alors à lui raconter tout ce qui était arrivé.  Hassan l'écoutait muet . Lorsqu'elle eu fini.  Il la regardait droit dans les yeux :

-Tout va rentrer dans l'ordre je te fais ma promesse.  Plus rien ne t'arrivera fais moi confiance. .

Elle essayait de dire quelque chose mais n'y arrivait pas. Elle se contentait de se blottir dans ses bras  . Il passait ses main dans son dos et la rasssurait...

TRAFIC DE FEMMEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant