Libérée

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Elena :

ça fait une semaine que Thomas et les autres ont sauver les jeunes qui étaient dans l'autre wagon. Je n'ai plus d'espoir. Je n'ai pas revue Minho, plus depuis notre arrivée dans la dernière ville. Teresa non plus je ne l'ai plus revue, je ne sais pas pourquoi. Je suis installé dans une chambre avec le malade mental. Une fois il a essayé de me forcer à faire des truc mais je lui ai donner un coup de genoux bien placer, depuis il ne m'embête plus. Il garde ses distances. Mais je n'ai plus l'envie de rien, je me laisse allé. A partir d'aujourd'hui j'abandonne. Je ne veux plus me battre. Les autres ne viendront pas me chercher et je n'ai plus envie de lutter. Je vais arrêter de manger, ça m'affaiblira, et même si se sera douloureux jusqu'à la fin, j'en finirai vite. C'est malheureux qu'une fille comme moi, de tout juste dix-huit ans n'aient plus envie de vivre. Je sais que je dois passez des examens aujourd'hui, je ne sais pas vraiment pourquoi. Trois gardes viennent me chercher. Ils me conduisent dans ce qui sert de cabinet médical. La femme médecin me demande de m'allonger sur le lit et de tendre mon bras. Elle m'y fait une injection au niveau du biceps et attend un peu, ensuite elle me demande de me détendre, que je ne vais rien sentir et que ça va allez vite. Ça ne m'inquiète même pas, ils peuvent bien me faire ce qu'ils veulent ça n'a aucune importance. Finalement elle m'ouvre un tout petit peu le bras et à l'aide d'une pince, sort quelque chose de mon bras. Je ne sais pas ce que c'est et je m'en fou. Elle me met un pansement là-dessus et me demande de tendre l'autre bras, ce que je fais. Elle m'injecte un truc au même endroit, mais de l'autre côté et ça fait un mal de chien. Elle m'a mis un truc sous la peau mais je ne sais pas quoi.

Janson : C'est pour tes écarts de conduite avec le petit blond, ou avec un autre va savoir avec une salope comme toi. Il ne faudrait pas que tu nous ramène un gosse.

Il est appelé sur le talkie-walkie, et sort de la pièce. Il revient deux minutes après, l'air contrarié, et fais signe à l'un des trois garde de me ramener dans ma chambre, avec l'autre cinglé. Le garde ne dit pas un mot, me saisit par le bras et m'emmène hors de là. Quand il passe devant moi pour ouvrir la porte, je me dis que sa démarche est très sexy et qu'elle me rappelle quelqu'un. Mais aussitôt je me dis que je délire, que c'est juste parce que j'ai surement l'habitude de le voir. Le garde me prend le bras, et me traîne dans un couloir, je remarque que ce n'est pas la direction de ma chambre.

Elena : Hé on va ou là ? Ce n'est pas la bonne direction ça. Ou est-ce que vous m'emmenez encore ?

Bien sur le garde ne me répond pas. Il me pousse dans une pièce ou je constate qu'il n'y a ni fenêtre ni caméra. Je me demande ce qu'il va bien pouvoir m'arriver encore. Le garde s'approche de moi, et je ferme les yeux attendant de voir ce qu'il va m'arriver. J'entends le garde faire quelque chose et j'ouvre les yeux, il est en train d'enlever son casque qui pourtant cache son visage. Je n'ai jamais vu le visage de gardes qui s'occupe de moi, et ça m'inquiète que celui-ci se montre devant moi. Mais une fois qu'il a le visage découvert, je ne peux retenir les larmes qui coule de mes yeux, et de me jeter dans ses bras.

Elena : Newt ! Dis-moi que je ne rêve pas, tu es bien là hein ?

Je n'arrive pas à le lâcher, et ses bras autours de moi ne se relâche pas non plus.

Newt : Je suis là Elena, je suis là tu ne rêves pas. On est venu vous chercher Minho et toi, on doit sortir de là.

Elena : Ou est Thomas ?

Newt : Il est avec Gally, ils s'occupent de Minho.

Elena : Gally ? Il n'est pas mort lui ?

Newt : Longue histoire, je t'expliquerai, pour l'instant il faut te sortir d'ici.

le labyrinthe: l'épreuve sentimentale (terminé)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant