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Un long silence surplomba la pièce, mon cœur raisonnai entre les murs. Ma vie était entre les mains de cet homme, j'étais prête à tout ne voulant pas me faire exécuter ce soir..

-Tu sera à moi.

-Pardon ?

-Tu m'appartiendra, travaillant pour moi.

-Avec tout mon respect j'espère que c'est une blague ! Ai-je l'air d'être un objet ?

-Non du tout mais si tu préfère recevoir une balle entre le deux yeux c'est ton choix mais honnêtement abîmer ce jolie visage me ferais un peut de peine.

-Hors de question.

Je me redressa de la chaise, la peur, la colère c'était emparé de moi, je devenais folle, le sarcasme de cet homme aller me rendre folle.

-Si tu franchie cette porte Clary tu n'en sortira pas vivante.

Il contourna son bureau dans une lenteur confiante. Ses pas dangereux s'avancèrent vers ma personne sans découdre de notre regard.

-Tu ne sera pas déçu, tu travaillera  pour moi et connaîtra la vie luxueuse et surtout tu sera à mes côtés.

-Quel genre de boulot ?

-Je suis le patron d'un gang de mafia, l'un des plus grands, réjouis toi.

J'échappa un rire nerveux, il ne perdais pas le nord et me demandais d'être réjouis de travailler pour des tueurs, voleur et encore pire..

-Alors la même pas en rêve je serais ni à toi ni de la mafia.

-T'es sûr ?

-Certaine!

-Très bien.

C'était pas si compliqué finalement
-avais-je pensé-

-Namjoon !

Aussitôt un homme entra dans la pièce, il était aux ordres du noiraud se pliant à toute exigence ressemblant à des caprices.

-Tire lui une balle dans la tête.

Tout ce passa si vite, à peine avait-il prononcé l'ordre qu'une arme se pointa dans ma direction. Cette peur d'être face à une arme, ou d'un geste peut vous tuer..c'était monstrueux.

-Non pas ça..je t'en supplie je ferais ce que tu veux.. avouai-je.

Le noiraud fut satisfait affichant un rictus détestable sur son visage. D'un vaste geste de la main il ordonna à ce certain Namjoon de partir.

-Et bien voilà quelques choses que je préfère.

J'étais honteuse, son charme n'était plus visible, il me faisait peur et je ne réalisais pas encore dans quoi il m'avais embarqué. Une chose était sur il n'y avais pas de retour en arrière avec lui.

-Suis moi.

Je le suivais de pré sans dire un mot, le regard fixé au sol. Je n'avais aucune idée où je me rendais mais nous descendions dans un endroit moins chic et plus obscure.

Le noiraud poussa deux grande porte en acier. Mon regard se posa sur Lucas ligoté au milieu de cette pièce à peine éclairé d'une lumière jaune.

mapia Où les histoires vivent. Découvrez maintenant