Chapter Thirty-two : Bad situation

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Depuis une bonne heure nous sommes là, assis à un table avec tout le monde; Bloom, Matthiew, Nath, Liliane et Clyde

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Depuis une bonne heure nous sommes là, assis à un table avec tout le monde; Bloom, Matthiew, Nath, Liliane et Clyde. On parle un peu de tout et de rien, on rigole toutes les deux secondes dès que Nath voit une nana. Parce qu'il bave et au moment où il dit « Bon je me lance !! », alors un cavalier débarque et anéanti l'espoir de notre ami.

D'un coup le rythme de la musique change et je vois Bloom et Matthiew allez danser. Et en tournant la tête je vois Clyde me regarder avec un grand sourire, il se lève et me tend sa main.

- M'accorderez-vous cette danse ?

- Avec grand plaisir.

Je saisi sa main et me lève. On avance vers la piste et d'un coup je vois son regard changer et il ne sait pas quoi faire.

- Bon faut je t'avoue un truc... Je ne sais pas vraiment ce que je suis censé faire là tout de suite.

- Tu n'as jamais danser avant ?

- Non. Au cas où tu l'aurais pas remarqué c'est pas vraiment mon style.

- Je vais te montrer.

Je rigole et saisit ses deux mains que je pose sur mes hanches avant de m'approcher un peu plus de son corps. Je pose mes mains derrière sa nuque et une fois qu'il a enfin compris le léger mouvement de balancier, je le laisse guider.

- Tu ne débrouilles pas trop mal.

- Tu trouves ? J'ai l'impression d'être un manchot !

- Non, c'est bien comme ça.

Il me lance un de ses sourires que j'adore voir et qui laisse dévoiler de petites fossettes dans ses joues. Mes yeux dévient vers ses lèvres et d'un coup mon rythme cardiaque accélère. Et je crois bien qu'il s'en rend compte parce qu'il les entrouvre légèrement.

- Hayden... n'ait pas peur. Je ne vais pas te manger.

- Oh tait-toi, idiot.

Et sur ces paroles je l'embrasse. Dès l'instant où mes lèvres ont été en contact avec les siennes sa prises sur mes hanches s'est resserrée pour que nos corps se collent. Ses lèvres sur les miennes, ses mains sur moi, j'en frissonne. Je voudrais ressentir cette émotion jusqu'à la fin de mes jours si j'avais le choix.

C'est un flash qui me ramène brutalement à la réalité , en tournant la tête je reconnais la fille des photos de début de soirée. Elle nous sourit et file prendre d'autres couples en photos. Je suis heureuse de me dire qu'il restera ces photos en souvenirs. Moi dans ma robe de princesse, embrassant mon prince lors du bal. Un peu cliché c'est vrai, mais on rêve toutes de ça.

°°°°°

- Oh mon dieu, mes pieds !

- Tu veux qu'on aille s'asseoir ? Ça va faire vingt minutes qu'on danse sans pose et tu n'arrêtes pas de sauter partout.

- Non, enfin si je veux m'assoir. Je dois aller au toilette en vitesse juste.

- Tu veux que je t'accompagnes ?

Il me regard avec des yeux sombres et un petit sourire en coin qui veux en dire long.

- Non ! Non ! Espèce de pervers.

- Je n'ai jamais prétendu le contraire, ma belle.

- Non, ça va aller. En plus avec cette robe je pense que sa va me prendre une heure.

- Je t'attends à la table.

- À tout de suite.

Je commence à filer mais il me rattrape par Le Bras et me pose un dernier baiser sur les lèvres. Je souris comme une idiote littéralement. Je ne sais pas trop ce que je ressens. C'est spécial, je n'ai ressenti ça avant. On dirait que tout mon corps réagis dès qu'il me regarde ou me touche. Et au fond j'aime ça.

Une fois dans les toilettes je soupire. Cette robe a beau être magnifique, ça ne vas pas être une pzrtie plaisir la tout de suite. J'ai une pensée à toutes les mariées, comment faites-vous ?

Il m'aura fallut dix bonnes minutes à me battre contre tout les voiles avant de sortir de cette petite pièce. Je sors des toilettes et j'avance dans le couloir. Il n'y a absolument personne, à mon avis ils couronnent la reine et le roi.

Et sans ne rien pouvoir prévoir, je sens un gros coup donné sur l'arrière de mon crâne et à part de là c'est le trou noir. Mes yeux se ferment, et mes jambes me lâchent au moment ou des bras musclés m'enserrent. Et pour finir, mon cerveau décide de lui aussi sombrer dans le noir.

°°°°°

Quand je commence à reprendre connaissance, la première chose que je sens c'est une douleur lancinante à la tête et au mains. Mes yeux s'ouvrent lentement et péniblement, mais ce que je vois m'est totalement inconnue. Je suis dans une immense pièce, c'est lugubre et sale. Les murs sont taguer et je ne me sens absolument pas rassurée.

En voulant bouger les bras, pas moyen. Comme si quelque chose les retenaient de force dans mon dos.

- Putain ! Mais c'est quoi le délire ?!

J'entends quelqu'un qui claque dans ses mains très lentement, puis ensuite une ombre qui se rapproche. Maintenant j'ai peur. Je suis même terrifiée. Et quand il se place sous la lumière, je le reconnais. J'aurais dû m'en douter.

- Bah alors bébé ? Qu'est-ce que tu fais seule ici et attaché ? Ho mais attends ! C'est ma faute.

- Jéremy ! A quoi tu joues, putain ?!

- Quel dommage. Mon frère avait l'air si heureux ce soir. Tu n'aurais jamais dû l'embrasser comme tu l'as fait, tu n'aurais jamais dû te rapprocher de lui !

D'un coup il s'accroupit devant moi avant de prendre mon visage dans une de ses mains de façon à ce que je ne puisse pas détourner le regard.

- Tu es à moi ! A MOI !

- Mais t'es complètement fou ?! Tu m'as kidnappée, putain ! Je croyais que t'étais juste psycho ou drogué pas un fou a enfermer !

- C'est vrai. Mais vois-tu, chérie. Je pense que tu dois reconnaître ceci.

Il sort ouvre la poche de sa veste et en sort un pistolet. Le même pistolet avec lequel je l'avais blesser.

- À quoi tu joues ?!

- Hm pour l'instant, à te maintenir ici. Ensuite, on verra bien comment tu te comportes petite chose.

- Espèce de connard, laisse-moi partir !!

Je hurle de toute mes forces, je crie tellement que s'en est douloureux.

- Ho toi tu vas vite arrêter de crier !

Et sans que je ne comprenne, j'entends un énorme bruit de tir. Et une douleur horrible se fait ressentir dans ma jambe gauche. Putain ! Je le vois sortir de cette endroit tandis que je pleure, crie et le supplie.

Jamais nous sans luiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant